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De nombreuses solutions existent pour payer moins d’impôts, mais encore faut-il, pour profiter pleinement de l’avantage fiscal promis, en maîtriser le fonctionnement et en connaître les limites. Décryptage.
Ordre et limite d’imputation. Si vous engagez des dépenses ouvrant droit à des réductions d’impôt et à des crédits d’impôt, le fisc commencera par imputer les premières sur vos impôts de 2026, puis il imputera les seconds sur les impôts restants. Mais vos réductions d’impôt seront prises en compte uniquement dans la limite du montant de vos impôts et la fraction excédentaire sera perdue. Elle ne vous sera pas remboursée et vous ne pourrez pas l’imputer sur vos impôts des années suivantes. Au contraire, si vos crédits d’impôt dépassent vos impôts diminués de vos réductions d’impôt, le fisc vous remboursera l’excédent.
Un plafonnement à optimiser. Certains bonus fiscaux ne sont pas soumis au plafonnement global et ils augmentent d’autant vos capacités de défiscalisation. C’est le cas des réductions d’impôt pour don, investissement immobilier en Malraux, versement d’une prestation compensatoire ou de primes sur un contrat de rente-survie ou d’épargne handicap, frais de scolarité ou frais de séjour en Ehpad, ainsi que des crédits d’impôt pour équipement du logement ou versement de cotisations syndicales. Ces dispositifs sont avantageux si vous êtes lourdement imposé. Vous pouvez les utiliser pour alléger vos impôts au-delà de 10 000 € par an en les cumulant avec des avantages soumis au plafonnement.
Des plafonnements à cumuler. Depuis janvier 2024 et jusqu’à fin 2028, vous avez droit à une réduction d’impôt de 30 %, ou de 50 % si vous investissez dans le capital d’une PME ayant le statut de jeune entreprise innovante (JEI), en direct ou via un fonds commun de placement dans l’innovation (FCPI). Ce bonus est soumis à un plafonnement spécifique fixé à 50 000 € par foyer sur la période 2024-2028. Vous pouvez aussi l’utiliser pour alléger vos impôts au-delà de 10 000 € par an en le cumulant avec des avantages soumis au plafonnement.
Bon à savoir : les réductions et crédits d’impôt sont généralement conditionnés au respect d’engagements stricts et les risques associés à certains outils de défiscalisation sont importants. Prenez-en connaissance avant de vous lancer, car défiscaliser ne vous aura servi à rien si le fisc remet en cause votre bonus ou si vos pertes dépassent vos économies d’impôts.
Le monde de la finance verte s’étoffe avec l’apparition, ces dernières années, de nouveaux organismes de paiement, comme Helios. Ces banques 100 % en ligne promettent transparence et prise en compte de l’environnement dans la gestion des fonds confiés par leurs clients. Promesses tenues ? Nous faisons le point.
Helios et Green-Got
Des engagements concrets
Les deux fintechs Helios et Green-Got offrent aux particuliers la possibilité d’ouvrir un compte courant, mais aussi de placer leur épargne dans une assurance vie. Dans les deux cas, elles jouent la transparence en indiquant la destination des sommes placées, sous l’une ou l’autre de ces formes.
L’épargne
S’agissant de l’argent épargné au sein de leur assurance vie, les prestataires de paiement affichent des engagements précis : 100 % des fonds disponibles via l’assurance vie ont une dominante verte, et une grande majorité affichent un label solidaire et responsable officiel (ISR, Greenfin ou Finansol). On trouve par exemple le fonds Mandarine Global Transition de Mandarine Gestion, le fonds BNP Paribas Funds Aqua de la BNP ou encore le fonds Novaxia FA (fonds privé spécialisé dans l’immobilier durable). Tous interdisent déjà les investissements dans les énergies fossiles et l’armement. En outre, Helios comme Green-Got affirment faire eux-mêmes un tri supplémentaire au sein des fonds labélisés, afin de déterminer (avec l’aide d’experts de la finance verte comme Carbon4) les plus vertueux en termes de transition énergétique.
Les dépôts bancaires
S’agissant des fonds déposés en compte courant, là aussi, l’information concernant l’utilisation est transparente. Comme ni Green-Got ni Helios ne possèdent pour l’instant d’agrément bancaire (ce ne sont que des prestataires de paiement), ils ne peuvent conserver les dépôts de leurs clients. Les sommes sont donc reversées à des banques d’adossement, le Crédit mutuel pour Green Got et le Crédit agricole pour Helios. L’argent est déposé sur un compte de cantonnement ou d’attente. « Depuis le lancement de nos comptes de paiement, il y a 3 ans, 85 millions d’euros de liquidités sont actuellement déposés chez Green-Got et ont donc été retirés des banques traditionnelles exposées aux énergies fossiles », affirme notamment la start-up Green-Got.
Quels effets ?
Première question que l’on se pose rapidement : existe-t-il un intérêt concret à mettre de l’argent sur un compte cantonné auprès du Crédit mutuel ou du Crédit agricole ? Car cet argent n’est pas réinvesti, il dort, en quelque sorte. De façon générale, les sommes en comptes courants ne sont pas utilisées par les banques de dépôt. Elles possèdent malgré tout un impact sur la capacité de financement de ces établissements. Leur montant est en effet pris en compte pour calculer le ratio de solvabilité à court terme de la banque. Ce ratio entre actifs et passif détermine la limite jusqu’à laquelle elle peut prêter. Donc, en retirant son argent des banques commerciales, on leur retire théoriquement une part de leur capacité d’investissement. « Dans les banques traditionnelles, votre argent ne dort pas, il pollue », résume à sa façon Helios sur son site.
Les néobanques vertes offrent une alternative intéressante aux consommateurs soucieux de l’impact de leur argent. Reste à savoir si leur montée en puissance suffira à peser réellement sur l’impact des grandes banques traditionnelles sur les énergies fossiles et les industries lourdes.
Suivi de l’activité physique quotidienne, gestion des appels, affichage des messages du smartphone, géolocalisation… Les montres connectées ont des fonctionnalités incroyables. Dommage que ces bijoux technologiques, pourtant vendus plusieurs centaines d’euros, ne tiennent pas la distance : 7 ans après le passage en caisse, seules 30 % des montres connectées sont encore au poignet !
https://www.quechoisir.org/comparatif-montre-connectee-n729/
Sélection
Honor Watch 5 15 jours d'autonomie NFC
https://www.quechoisir.org/comparatif-montre-connectee-n729/honor-watch-5-p279236/
Contrairement aux casques audio qui se posent sur les oreilles, les écouteurs sont intra-auriculaires. Ne vous y attachez pas trop : 5 ans après l’achat, la moitié des écouteurs sont hors service.
https://www.quechoisir.org/comparatif-casque-audio-n491/ecouteurs-s528/
Sélection
https://www.quechoisir.org/comparatif-casque-audio-n491/jabra-elite-8-active-gen-2-p278984/
https://www.quechoisir.org/comparatif-casque-audio-n491/jbl-live-flex-3-p279040/
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https://www.quechoisir.org/comparatif-casque-audio-n491/huawei-freebuds-6i-p279044/
Compos'13 est une association gérant le composteur collectif du square Héloïse et Abélard (Paris 13ème), créé en juin 2015. Elle permet à 180 foyers environnant de valoriser leurs biodéchets en les transformant en compost. Le projet fonctionne tellement bien que 3 projets d'essaimage sont en cours de création dans l'arrondissement
découvert par article UFC que choisir https://www.quechoisir.org/enquete-biodechets-la-france-aux-fraises-sur-le-tri-a-la-source-n172024/
Le rituel est toujours le même : tous les mercredis et samedis matin, les 140 foyers adhérents de Compos’13, qui vivent tous alentour, peuvent apporter leurs biodéchets dans ce composteur collectif. Il fait partie des 7 770 référencés par le Réseau Compost Citoyen.
Un bénévole confirmé est chargé, in fine, de scruter les nouveaux tas de biodéchets, à l’affût des erreurs.
Composter… en s’amusant
De fait, « il y a toujours quelques bourdes, glisse Denis, à ce poste lors de notre reportage. L’élastique de la botte de radis, l’étiquette de la peau de banane, le cœur de salade entier qu’il aurait mieux valu découper… » Et, parfois aussi, un économe égaré dans les épluchures. À Compos’13, on en sourit. Sous le pavillon, ces biodéchets naviguent entre trois bacs au fil de leur décomposition. Jusqu’à former, neuf mois plus tard, un compost mature, reconnaissable à sa couleur brune, prêt à être redistribué aux adhérents et aux jardins partagés des environs. Toujours l’occasion d’une petite fête. « Le volet social est capital dans un composteur collectif, insiste Mickaël. On est là pour apprendre ensemble, passer de bons moments. Combien disent passer le samedi en coup de vent, mais restent une heure ! » Myriam ne perd pas le nord pour autant. « Chaque mois, Compos’13 détourne 1,2 tonne de biodéchets de l’incinérateur, compte-t-elle. C’est la preuve que notre système fonctionne et fait sens. Et je ne vous parle pas des écoles qui nous rendent visite régulièrement, ou des passants intrigués qu’on sensibilise à la réduction des déchets. »
Pour répondre aux grands défis de protection de la montagne, Mountain Wilderness œuvre au sein de 3 champs d'action à la croisée de la protection de l'environnement et de l'émergence de nouveaux modèles de vie pour les êtres humains.
découvert par https://www.quechoisir.org/enquete-pollution-des-montagnes-des-benevoles-a-l-assaut-des-dechets-n172148/
Reportage - Une autre pollution, moins visible
En juin, 2 tonnes de barbelés ont été évacuées dans la vallée de la Clarée, près de Briançon (05). Nous avons participé au chantier.
Autre association, autre mission. Chez Mountain Wilderness, on s’est fait une spécialité de démonter des installations humaines laissées à l’abandon. Ici, un vieil abri pastoral, là, les restes d’un ancien téléski, là encore, d’antiques poteaux électriques. « Il nous est même arrivé d’extraire des carcasses d’un hélicoptère et d’un planeur qui s’étaient écrasés », se souvient Rémy Bernade, le délégué du département des Hautes-Alpes et le secrétaire général de l’association qui encadre l’événement. Néanmoins, ce que Mountain Wilderness retire le plus souvent, ce sont des fils barbelés et les cornières les soutenant. Ils ont été déployés pendant la Seconde Guerre mondiale par les armées, dans le but de ralentir les attaques ennemies. Or, 80 ans plus tard, une grande partie est toujours en place. Alors, depuis 2001, l’ONG organise six à sept opérations de démontage chaque année. Le 28 juin dernier, nous avons participé à l’une d’entre elles sur la commune de Val-des-Prés, à 8 km au nord de Briançon. Une trentaine de bénévoles âgés de 18 à 74 ans ont répondu présent. Après un mot de bienvenue, le rappel des consignes de sécurité et la distribution du matériel (gants, coupe-boulons, meuleuses, claies de portage…), ils se sont lancés à l’assaut des pentes abruptes du ravin de l’Enrouye. Pendant huit heures, ils ont coupé, tiré, dégagé du barbelé enseveli sous des pierres et des troncs d’arbres au gré des mouvements de terrain. À chaque fois, ils ont réalisé des petits fagots, qu’ils ont descendus à dos d’homme jusqu’à une benne installée 250 m plus bas par un ferrailleur local. Entre cinq et sept allers-retours ont été nécessaires. « J’aime skier et faire de grandes randonnées. C’est important pour moi de préserver ce bien commun », explique Ariane, 74 ans. Thomas, lui, revient aider après avoir fait une pause de quelques années afin d’élever ses enfants. « On ne peut pas laisser sur place ces débris qui dénaturent la montagne et blessent les animaux », estime-t-il. En une journée, près de 2 tonnes de barbelés ont été enlevées.
Plusieurs mois de préparation
Une telle opération ne s’improvise pas. Des mois auparavant, une équipe de Mountain Wilderness s’est rendue sur les lieux signalés par des promeneurs. Elle devait vérifier la présence des déchets et évaluer la faisabilité du chantier. « C’est cependant après que le plus dur a commencé, quand il a fallu obtenir toutes les autorisations nécessaires », sourit Rémy Bernade. Celles de la commune et du propriétaire du terrain, bien sûr, mais aussi celles de la Direction départementale des territoires (DDT) et de la Direction régionale des affaires culturelles (Drac). Et, enfin, pour cette zone fragile, celles de l’inspection des sites classés et du réseau Natura 2000. « Ici, par exemple, nous n’avons pas le droit d’évacuer les débris par hélicoptère, comme nous procédons parfois, car cela aurait perturbé des aigles qui nichent à proximité, poursuit Rémy Bernade. Il arrive, en outre, que des autorisations nous soient refusées parce qu’un inspecteur estime que les équipements revêtent un intérêt patrimonial. » Il restait ensuite à organiser le chantier proprement dit : mobiliser les bénévoles, instaurer le covoiturage, réunir le matériel nécessaire… « On nous dit souvent que c’est compliqué de lancer de telles actions. Nous, on veut montrer que c’est possible », soutient Jean Gaboriau, un représentant local de l’association. L’opération « Installations obsolètes » aura, en outre, fait évoluer la législation. Ainsi, en 2017, la loi Montagne 2 a introduit l’obligation, pour les exploitants de remontées mécaniques mises en service à partir de cette date-là, de prévoir leur démontage une fois en fin de vie… Aussi étonnant que cela paraisse, ce n’était pas le cas auparavant.
Hiver comme été, si vous trouvez que la montagne est belle, c’est en partie grâce à la mobilisation de milliers de bénévoles. Chaque année, ils s’affairent pour ramasser les déchets laissés par les entreprises et les touristes.
Bilan sur les années passées
En 2024, grâce aux 82 opérations de ramassage organisées sous l’égide de Mountain Riders, 18 tonnes de déchets ont été retirées des massifs français. C’est bien, mais on est loin du compte : selon l’association, pas moins de 142 tonnes de détritus seraient abandonnées chaque année en montagne. « La situation s’améliore dans certains territoires. Malheureusement, ce n’est pas le cas partout », se désole Marion Bouhet. Et la tendance n’est pas bonne : alors que l’association anticipait une diminution globale de 10 % de la quantité de déchets sauvages collectés en 2024 par rapport à 2023, elle a finalement augmenté, à périmètre constant, de 3,3 %.
Le constat est le même chez les autres acteurs du secteur. Depuis qu’elle a été lancée, il y a 28 ans, l’opération « Nettoyons la nature », mise en place par les centres E.Leclerc dans toute la France, n’a jamais réussi à passer sous la barre des 100 tonnes de déchets récoltés par an. En 2024, le chiffre a même atteint 165 tonnes, contre 110 en 2022. Idem pour l’association World Cleanup Day. Celle-ci orchestre, à l’occasion de la Journée mondiale du nettoyage de la planète dont elle est à l’origine, des opérations de ramassage des déchets (des « clean-ups ») partout dans le monde, à la fin du mois de septembre, avec l’aide de partenaires locaux (associations, écoles, collectifs d’habitants, entreprises…). En sept ans d’existence, l’antenne française a mobilisé 180 000 participants et récupéré pas moins de 6 800 tonnes de débris dans tout le pays. « Nous serions ravis de nous autodissoudre si notre action ne s’avérait plus nécessaire, mais les choses ne s’améliorent visiblement pas, souffle la vice-présidente de World Cleanup Day France, Anne Gril. Chaque année, il y a toujours autant de détritus à ramasser, ce qui confirme qu’il y a encore beaucoup à faire en matière de sensibilisation contre les déchets abandonnés. »
Objectif zéro déchet
Pourtant, aucun d’entre eux n’imagine un instant renoncer. Mountain Riders maintient même son objectif ambitieux de zéro déchet sauvage en montagne en 2030. Afin de relever le défi, elle a notamment édité une charte que les collectivités locales, les fédérations professionnelles ou les sociétés gestionnaires de stations de ski sont invitées à adopter. L’association s’engage à accompagner les signataires dans la mise en œuvre d’un plan d’action visant à abaisser leur production de déchets. Pour l’heure, 150 structures ont intégré le dispositif, et des expérimentations voient peu à peu le jour. Ainsi, certaines stations ont commencé à instaurer des espaces sans tabac et à déployer des collecteurs de mégots. Des communes ont installé des fontaines à eau et incitent les touristes à utiliser des gourdes plutôt que d’acheter des bouteilles en plastique. D’autres ont promis de tirer moins de feux d’artifice dans l’année, de façon à limiter la quantité de résidus métalliques générés par ces spectacles pyrotechniques…
Des professionnels s’engagent également. Par exemple, des restaurateurs ont disposé sur leurs tables des sucriers pour remplacer les dosettes individuelles, tandis que d’autres accompagnent désormais leurs cafés de meringues faites maison plutôt que de carrés de chocolat emballés. D’autres encore ont adopté des systèmes d’écocups (des gobelets réutilisables) à la place des canettes en aluminium. Des actions sont aussi menées à destination des acteurs de la construction : il faut qu’ils prennent conscience de l’importance d’attacher leurs matériaux, afin d’éviter qu’ils ne s’envolent, et de remporter ceux qu’ils n’ont pas utilisés. Si elles sont rares et doivent prouver leur faisabilité, ces bonnes pratiques ont le mérite d’exister.
Le fléau des mégots
Reste également à faire comprendre aux millions de visiteurs qui fréquentent les massifs tous les ans que tous leurs gestes comptent et que le moindre déchet, aussi anodin ou petit soit-il, a un impact sur l’environnement. C’est le cas des papiers. Outre la pollution visuelle qu’ils génèrent, mouchoirs et papier-toilette peuvent mettre jusqu’à un an avant de disparaître. Or, prévoir un contenant pour ne pas les abandonner dans la nature n’a rien d’insurmontable. Quant aux mégots, en dépit de leur apparence inoffensive, ils nécessitent entre 5 et 10 ans pour se dégrader. Surtout, en se décomposant, ils rejettent des substances toxiques, dont l’arsenic et l’ammoniaque, qui polluent les sols et l’eau. World Cleanup Day France affirme en avoir ramassé plus de 8 millions en 2024 ! Un chiffre à la fois élevé et dérisoire par rapport aux 7,7 milliards de mégots jetés par terre chaque année dans l’Hexagone, selon l’Agence de la transition écologique (Ademe).
L’enjeu est pourtant de taille. « Quel que soit l’endroit où l’on se trouve, il est important de ne laisser aucune trace de son passage. Mais ça l’est encore plus en montagne, car c’est là que débute le cycle de l’eau, conclut Marion Bouhet, de Mountain Riders. Diminuer les déchets sauvages sur les hauteurs, c’est limiter leur présence en aval, dans les rivières, dans les fleuves et le milieu marin. »
Agissons ensemble pour nos montagnes. Nous sommes une association d’éducation à la transition écologique fondée en 2001.
Malgré le tollé que cette décision provoque, Microsoft persiste à vouloir stopper les mises à jour gratuites de son système d’exploitation Windows 10 à partir d’octobre 2026. Voici ce qu’il faut savoir pour passer sans trop d’encombres le cap de cette obsolescence logicielle.
Souscrire au programme ESU, pour Extended Security Updates (mises à jour de sécurité étendues) afin de bénéficier des futurs patchs. Aux États-Unis, où il est déjà disponible, il est facturé 30 $, soit environ 26 € par machine pour les particuliers, mais 61 $ pour les entreprises et les organismes publics et 1 $ pour les associations.
Comment bénéficier de l’extension des mises à jour gratuites ?
En attendant de faire votre choix, vous pouvez profiter du prolongement des mises à jour gratuites jusqu’au 13 octobre 2026. Mais attention : pour en bénéficier, vous devez agir. Après avoir effectué les mises à jour disponibles dans l’onglet Mises à jour de sécurité, vous devez vous inscrire au programme Mises à jour de sécurité étendues en cliquant sur « S’inscrire maintenant », dans le même onglet. Si vous avez déjà un compte Microsoft (c’est le cas de la plupart des utilisateurs de Windows), vous devez vous y connecter. Dans le cas contraire, il faut en créer un et vous y connecter régulièrement. Si vous ne souhaitez pas rester connecté à votre compte Microsoft (pour éviter de céder certaines données, par exemple), c’est possible, mais dans ce cas, vous serez invité à payer la somme de 31,49 €.
Duncan MacArthur Photographe de nature, vente de photos du Queyras, paysages, montagnes, faune, Ecosse, voyage. Photos pour la décoration, cadeaux. Labo photo.
Dans les photographies de Stéphane Hette, où virtuosité graphique et émotions se côtoient dans un égal bonheur une vision onirique de la nature s'offre aux spectateurs.
Festival de mouans La 38e édition s’est achevée ce dimanche sur un bouillonnement d’idées et d’intenses échanges autour de tous les thèmes d’actualité
« Mouans-Sartoux me fait penser à une île enchantée au milieu de la Terre. Il y a cette sublime Méditerranée, ces flux de touristes, et puis il y a Mouans-Sartoux. Et depuis toujours, on se demande : est-ce que cette fragilité, on va pouvoir la sauver ? Ce climat de bienveillance, où l’on est comme des frères, comme des marins sur des bateaux. Ici, c’est le bateau Terre en réduction, celui où l’on prend soin de la terre, sans se prendre au sérieux, tout en sonnant l’alerte. »
Volubile en évoquant ce festival où il se sent comme un poisson dans l’eau, Erik Orsenna, doublement honoré par l’inauguration de la médiathèque portant son nom à Châteauneuf de Grasse et l’attribution du Prix du livre engagé pour la planète pour Adopte ta rivière (éditions L’iconoclaste) est forcément inspiré par le thème de cette 38e édition : Quel monde demain.
« Je suis économiste des matières premières et, il y a 20 ans, j’ai réalisé que la première des matières premières, à savoir l’eau, on s’en foutait. Car j’avais écrit un livre intitulé L’avenir de l’eau, et on m’a dit : ‘‘ce que tu racontes est intéressant, mais ça ne nous concerne pas. Nous sommes un pays tempéré, jamais nous ne souffrirons de sécheresse ni d’inondations’’. J’ai donc décidé de m’occuper des fleuves et des rivières, parce que ce sont des êtres vivants, alors que l’eau est une matière. Et que cela pouvait davantage émouvoir. »
Les rivières après la grammaire
Dans la foulée, l’Académicien crée en 2017 l’ONG Initiatives pour l’Avenir des Grands Fleuves (IAGF). Eprouve l’envie de sensibiliser les grand-enfants : les CM2-6e.
De la même façon qu’il avait apprivoisé les plus revêches avec La grammaire est une chanson douce, il passe une année complète sur le terrain avec des classes de CM2, au bord de la rivière la plus proche de l’école. Pour y observer la faune, la flore, les méfaits de la pollution aussi.
C’est ainsi qu’est née l’idée de ce véritable conte qu’est Adopte ta rivière, dont la magie a si bien opéré que grâce à l’association du même nom, une centaine d’écoles en France sont en cours d’adoption d’une rivière.
Quant à son livre Ces fleuves qui coulent en nous (éditions Julliard) il est né de l’idée selon laquelle il y avait des similitudes entre le métier de son épouse, médecin vasculaire, et le sien : « Je m’occupais des fleuves, de la planète, et elle des artères, des veines qui régulent le corps, et selon une vieille philosophie du Moyen Âge, la planète et le corps, c’est la même chose. »
À partir de là, cet éternel explorateur nous embarque dans un fabuleux voyage, parfaitement sourcé auprès d’experts tels que le professeur de géologie Pierrick Graviou, où il est question de similitudes entre le réseau cosmique des galaxies et celui des cellules neuronales de notre cerveau.
D’Hildegarde Von Bingen, cette sainte musicienne et naturaliste, dont une miniature a inspiré Leonard de Vinci pour son Homme de Vitruve.
Du combat de Robert Hue pour sensibiliser le public à la maladie génétique de la drépanocytose.
Mais aussi et surtout de cette idée, qui traverse d’un bout à l’autre cet ouvrage : « Ces fleuves qui coulent en nous ne sont pas faits que d’eau, mais aussi d’émotions. Et le plus vital, c’est celui de l’amitié. » Dixit Erik Orsenna.
Pays de grasse, cannes et la Casa
Au Cannet, l’association d’aide aux malvoyants Valentin Haüy a fêté ses 90 ans.
Nos bénévoles, voyants et non-voyants sont à la recherche de renfort pour soutenir notre développement.
Quelle est la mission principale ?
Accueillir les personnes qui perdent la vue pour les aider dans la vie quotidienne à se déplacer en sécurité, à utiliser leur téléphone et à lire. Elles participent à des activités adaptées qui visent à rompre la solitude, retrouver une vie sportive, culturelle ou artistique en partageant des moments agréables.
Nous avons établi de solides relations avec les communes pour leur offrir notre expertise. En participant aux commissions dans l’action sociale et rendre villes et bâtiments publics plus accessibles et sécurisés. Nos séances de sensibilisation dans les établissements scolaires pour montrer à la jeunesse comment aider les personnes aveugles et malvoyantes sont aussi très appréciées.
Notre grande évolution est de rapidement monter en compétence dans l’informatique spécialisée et pouvoir conseiller et former nos bénéficiaires dans la vie inondée par les applications numériques.
Des objectifs pour l’avenir ?
Le monde évolue très vite. Nous cherchons les moyens de faire des projets innovants.
Nos formateurs étudient ainsi la puissance des nouvelles technologies comme l’intelligence artificielle pour rendre la vie plus accessible.
https://expograndformat.fr/?fichier=duncan-macarthur-cul-blanc
Expo vu novembre 2025 à Pont du Fossé
Expo vu novembre 2025 à Pont du Fossé
Après avoir pratiqué l'apnée en compétition, Julie Gautier a trouvé sa voix dans la réalisation de films dans l'eau. Réalisatrice, plongeuse, chorégraphe et artiste française, elle met en valeur la beauté de la danse et du mouvement dans l’eau.
Enseigne la danse subaquatique
Rationalisez votre entreprise avec l'automatisation alimentée par l'IA. Gérez les devis, la facturation, les paiements et la planification sans effort.
Découvert par article Nice matin
https://www.nicematin.com/economie/ce-cannois-a-cree-une-solution-technologique-innovante-pour-liberer-les-petits-artisans-de-la-paperasse-10654786
De la coupe à la ligne de code, Rienzo Gimenez et Julian Bessiere, deux Antibois, ont imaginé Hairtogo, une application simple et pratique pour réserver un coiffeur à domicile, dans les Alpes-Maritimes, sans prise de tête.
Découvrez comment Android se défend contre les arnaques par SMS Android avec des outils innovants et de sécurisation des données.