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Découvert par Article Nice Matin https://www.nicematin.com/detente/et-si-vous-profitiez-des-feux-d-artifice-au-milieu-de-la-mer-entre-saint-raphael-et-cannes-c-est-ce-que-propose-cette-compagnie-maritime-pour-cet-ete-995655
L’antenne cannoise des Petits Frères des pauvres tire la sonnette d’alarme. Entre les bénévoles qui partent en vacances, ceux qui se redéploient pour pallier les absences et les nouvelles personnes isolées signalées, les quarante-cinq bénévoles actuellement engagés ne suffisent plus.
L’antenne suit trente-quatre personnes. Mais elle en compte huit sur liste d’attente. "Nous les appelons et leur demandons de patienter. Mais ce n’est pas l’idéal…", livrent Joëlle et Hélène, de l’équipe d’animation.
Inquiétant en effet, de même que l’effectif des bénévoles qui est en baisse depuis 2023. "Nous voulons juste rappeler qu’accompagner des personnes isolées n’est pas compliqué: il suffit d’être à l’écoute", reprécise Paul Simonet, responsable de l’antenne.
Disponibilité souvent limitée
La majorité des bénévoles sont en activité professionnelle, et leur disponibilité est souvent limitée. Pourtant, la solidarité et la volonté d’agir localement restent fortes. C’est sur cette motivation que l’antenne cannoise souhaite s’appuyer pour relancer l’engagement citoyen.
En 2024, dix-neuf signalements de situations d’isolement ont été reçus par l’association — contre quatorze en 2022. Près de 70% de ces alertes proviennent des services sociaux. La moitié a déjà débouché sur des accompagnements concrets: visites, appels réguliers, moments partagés.
Un peu de temps pour changer une vie
Les Petits Frères des pauvres proposent un accompagnement bienveillant et formé, pour permettre à chacun de s’engager à son rythme, selon ses disponibilités et ses affinités. " Il ne s’agit pas de faire beaucoup, mais de faire avec cœur", résume Paul Simonet.
L’association cherche aujourd’hui des femmes et des hommes de tout âge, prêts à consacrer quelques heures par mois pour rompre l’isolement des aînés.
Écouter, partager un café, marcher ensemble, fêter un anniversaire, simplement être là — des gestes simples, mais essentiels. Parce qu’aucune personne âgée ne devrait finir seule...
Les Petits Frères des pauvres, 17-19 rue Haddad-Simon, 04.93.99.89.66.
Yann Saint-Pé et sa compagne, parents de trois enfants, connaissent bien les contraintes d’une journée à la plage. "On s’est demandé pourquoi il n’existait pas un lieu où déposer ses affaires en toute sécurité, surtout dans une ville touristique", confie-t-il.
De cette réflexion sont nées deux consignes installées sur des plages cannoises très fréquentées: Bijou plage et La Croisette.
Le concept est simple: libérer les vacanciers de leurs sacs, valises, portefeuilles ou téléphones, le temps d’une baignade ou d’une promenade.
Moins de plastique, plus d’humain
Pas de casiers à code impersonnels, mais un accueil chaleureux et une approche artisanale. L’entreprise, autofinancée, repose sur la location à petit prix de chaises, parasols ou jouets de plage au multiple couleurs, le tout en échange d’une pièce d’identité. L’objectif est clair: éviter les achats compulsifs et limiter les déchets.
Les objets sont réutilisables, les équipements solaires permettent de recharger une vingtaine de téléphones par jour. "C’est du service, pas de la vente", insiste Yann.
Pour tous, et sans stress
Chaque jour, entre soixante et quatre-vingt personnes passent par ces consignes.
Locaux et touristes y trouvent un espace où poser leurs affaires, demander un renseignement ou louer du matériel adapté y compris des chaises XXL pour les personnes âgées ou en surpoids.
"On œuvre aussi pour les couples, sourit Yann. Ici, on peut nager ensemble sans que l’un reste à surveiller les sacs".
Un service de proximité, utile et humain, qui redonne à la plage son air de vacances.
mymeno.fr est un site créé par deux femmes approchant la cinquantaine, pour dédramatiser la ménopause avec humour, astuces et bienveillance.
Découvert par article Nice Matin https://www.nicematin.com/vie-locale/-partager-les-galeres-ca-fait-du-bien-on-se-sent-moins-seules-ce-site-internet-cree-par-une-cannoise-parle-menopause-sans-tabou-995839
Une nouvelle tentative d’escroquerie téléphonique prend pour cible les consommateurs en exploitant le nom d’une autorité de régulation bien connue. En effet, des cas d’usurpation d’identité de l’Arcep ont été signalés récemment. L’alerte lancée le 24 juillet par le régulateur est claire : des fraudeurs se font passer pour l’Arcep, puis prétendent relayer l’appel à la police pour extorquer des informations personnelles. Ce procédé inquiétant nécessite une vigilance renforcée, d’autant plus qu’il brouille les lignes entre institutions officielles et manipulation bien ficelée.
Le scénario de la fraude : une double usurpation bien huilée.
Selon les signalements reçus par l’Arcep, la manœuvre commence par un appel soi-disant émis par l’Arcep elle-même. Le prétexte ? Alerter la victime que son identité aurait été usurpée. Très vite, l’appel bascule dans un second temps : l’interlocuteur annonce transférer la communication… à la police.
Sous ce faux vernis d’officialité, les fraudeurs demandent alors des informations personnelles sensibles, parfois des documents d’identité, et vont jusqu’à poser des questions sur la présence ou non de la victime à son domicile. L’objectif est clair : collecter des données pour une escroquerie future, ou commettre une infraction à son insu.
L’Arcep rappelle qu’elle ne contacte jamais les consommateurs directement par téléphone, encore moins pour des questions d’identité. Elle invite à ne pas donner suite à ces appels, et à ne jamais transmettre d’informations personnelles à un interlocuteur non identifié.
Entre cybersécurité, ingénierie sociale et confiance dans les institutions.
Cette affaire est révélatrice d’un phénomène croissant : l’ingénierie sociale appliquée à la cybersécurité. En jouant sur la peur d’une usurpation d’identité et sur la crédibilité d’une autorité publique, les fraudeurs manipulent leurs victimes avec un scénario de plus en plus rodé.
Le recours à la fausse intervention de la police accentue la pression psychologique, rendant difficile la prise de recul. Ce type de fraude soulève plusieurs questions de fond :
Comment préserver la confiance dans les institutions publiques, lorsque leur nom est utilisé à des fins malveillantes ?
Quels moyens de prévention peuvent être mis en place pour éviter la propagation de telles pratiques ?
Quel cadre juridique encadre ces usurpations et les sanctions associées ?
L’escroquerie rappelle aussi d’autres cas où des fraudeurs se font passer pour la CAF, EDF, l’Urssaf ou encore des opérateurs télécoms, afin de tromper leurs cibles. L’enjeu dépasse ici la seule Arcep : c’est l’écosystème de la cybersécurité citoyenne qui est en jeu.
Quelques recommandations et bonnes pratiques à adopter.
Face à ce type d’arnaque, l’Arcep donne des consignes de bon sens mais cruciales :
Ne jamais fournir d’informations sensibles (RIB, carte d’identité, justificatifs…).
Refuser toute conversation suspecte, même si l’interlocuteur semble bien informé.
Contacter vous-même les autorités compétentes (police ou gendarmerie) pour vérifier l’authenticité d’un appel.
Déposer un signalement sur la plateforme gouvernementale www.internet-signalement.gouv.fr.
En complément, un signalement peut également être effectué auprès de la CNIL ou de l’Arcep elle-même via ses formulaires en ligne, afin d’aider à la remontée des cas.
Le scénario logique d’une régulation renforcée ?
L’Arcep devra certainement à terme, pousser le débat plus loin : faut-il renforcer la sécurisation des canaux de communication des autorités ? Déployer un système d’authentification d’appel (comme cela commence à se faire aux États-Unis avec le protocole STIR/SHAKEN) ? Ou même imposer aux opérateurs un filtrage plus strict des appels sortants frauduleux ?
En tout état de cause, cette nouvelle difficulté est assez symptomatique de la montée en puissance des arnaques numériques : phishing, smishing, spoofing… La montée en puissance de l’intelligence artificielle générative pourrait aggraver ces phénomènes avec des escroqueries de plus en plus crédibles.
En pleine fournaise, barbotant dans une Méditerranée surchauffée, comment le Niçois pourrait-il imaginer une histoire si farfelue?
"Comment ça des glaciers? À 40 bornes de la Prom’? Mais Chamonix, c’est plus loin." En effet, le Mercantour, ça n’est pas la vallée blanche.
Et pourtant, même ici, si bas dans le Sud, s’y accroche une poignée de résistants, acculés, décharnés mais bien vivants. Bouleversants.
Une expédition pour mesurer le bouleversement
Là, lovés aux flancs des plus hautes cimes, à l’ombre recluse de ces grandes faces nord, la neige éternelle recouvre des géants éphémères, en voie d’extinction. Sous les assauts méridionaux toujours plus violents du réchauffement climatique, ils auront tous disparu avant la fin du siècle. "La température moyenne dans les Alpes du Sud a augmenté de 2°C en un siècle, soit presque le double de la moyenne mondiale", rappelle le parc national.
"Ce changement bouleverse tout l’équilibre naturel: la biodiversité, le cycle de l’eau, la stabilité des pentes... et à terme les activités humaines plus bas dans la vallée", souligne Hélène Constanty, vice-présidente environnement de la fédération française des clubs alpins et de montagne (FFCAM).
Alors, comme on se presse au chevet d’un être aimé mais mourant, elle a monté une expédition avec la commission environnementale du Club Alpin Français et Nice-Matin.
Ensemble, nous nous sommes acheminés par-delà les cols, du 5 au 8 juillet 2025, à la rencontre de trois précieuses reliques: les glaciers du Clapier, de la Maledie et du Gélas.
Tous donnent sur le versant italien, en dehors du parc national, où le dernier des leurs – niché à l’aplomb du Grand Capelet – a complètement fondu à l’été 2023. Une subite fin de règne débouchant sur un grossier pierrier. Au détour du lac Autier, nous n’y prêtons même pas attention. Il n’y a plus rien à voir.
En 25 ans, galeries et crevasses ont disparu
Partis au petit matin de Nice, nous avons remonté la vallée de la Vésubie jusqu’au Pont du Countet, porte d’un massif ne s’ouvrant qu’aux marcheurs. Sur l’une des anciennes routes du sel, nous suivons le torrent de la Gordolasque. Neuf cents mètres de dénivelé nous séparent du refuge de Nice, première escale vers la frontière.
C’est là que nous retrouvons Christophe Fournier, le gardien: "Je suis arrivé ici il y a 25 ans. C’est rien à l’échelle de la nature. Mais le changement est déjà majeur. On nous annonçait un recul inévitable. Mais tout s’est accéléré plus vite que prévu. Le glacier du Clapier [qui est désormais le plus méridional des Alpes] a perdu ses galeries et ses crevasses."
Digne des Alpes du Nord, l’une de ces profondes brèches a été immortalisée par le célèbre alpiniste Victor de Cessole, en 1906. Dès cette époque, le glacier commençait à reculer, perdant en épaisseur, comparé au XVIIIe siècle où il s’étendait sur près d’un kilomètre et demi de long.
Cette décadence devient encore plus flagrante au fil de notre itinéraire. Le deuxième jour, après 1.000mètres d’ascension, nous faisons le même constat au refuge italien de Pagari. Juché à 2.650mètres, le chalet est le plus haut perché des Alpes du sud, assez élevé pour toiser au plus près le glacier de la Malédie.
Au pied d’une immense falaise en lame de couteau, le colosse révolu gît dans un silence irréel où résonne seulement l’eau s’écoulant de ses flancs à vif. " D’ici la fin de l’été, je crains que le névé, [cet amas de neige durcie qui alimente la langue glaciaire] ne protège plus assez le glacier."
Ne reconnaissant plus son vénérable voisin, Aladar Pittavino, gardien de Pagari, s’inquiète: "Jusqu’à la fin des années 90, je pouvais skier dessus. C’était mon cadeau d’anniversaire, en septembre, après les chaleurs estivales. Aujourd’hui, des clapiers affleurent de partout".
Géants bientôt fossilisés
Ce qui signe le déclin? Ayant étudié la question, le quinqua ne se fait pas d’illusions: "En dessous de ces pierriers, de la roche se mêle à la glace. Côté positif, le glacier étant abrité du soleil, il fondra plus lentement. Côté négatif, il va s’immobiliser et ne pourra plus se renouveler avec les chutes de neige. Inerte, il deviendra un fossile."
La sentence hante les esprits lors du troisième jour, dernière marche d’approche jusqu’au nord du Gélas. Du verbe gelà, geler en niçois, la plus haute cime des Alpes-Maritimes, culminant à 3143mètres, tire précisément son nom des glaciers qui l’ont enrobé durant des millénaires.
Au siècle dernier, ils ont quasiment tous péri. Seul le versant septentrional – atteint après de longs efforts – abrite d’ultimes survivants, larges coulées de glace recouvertes de neige et entrecoupées de pierres.
Puissant mélange de grâce et de désolation. C’est ce que nous étions venus chercher. Notre expédition touche à sa fin.
Mais avant de redescendre sur la Côte, campé depuis l’arrête vertigineuse du "passaggio dei ghiacciai" (passage des glaciers), James observe aux jumelles un traileur s’aventurant sur les pentes ajourées du glacier.
"Il n’a ni crampons, ni piolet. Il y a quelques années encore, ça aurait été impossible. Il y aurait eu trop de neige."
Le garde du parco naturale delle Alpi Marittime – ayant pris en charge notre groupe pour le versant italien – guette aussi l’évolution d’une masse glaciaire se penchant abruptement au-dessus de la vallée. "C’est un petit glacier suspendu. En fondant, il va se détacher par blocs entiers. Mieux vaut ne pas être là quand ces séracs tomberont."
La voix du garde se perd dans une violente bourrasque.
"Descendons", avise-t-il, "je vais vous montrer ce que le vent nous a récemment amené." Le suspense prend fin une fois arrivé au bord d’un magnifique lac alpin.
Là, sur l’onde bleutée, un petit iceberg a perdu sa blancheur immaculée. Noirci par les cendres des forêts canadiennes, consumées par des méga feux. Une autre victime du réchauffement climatique, échouée au pied d’un glacier en train de fondre. Comme un signe des temps.
"C’est notre réserve d’eau qui s’amoindrit"
Source de vie, le glacier de la Malédie se tarit, ce que craignait depuis des décennies son vieil ami Aladar. Le gardien du refuge italien de Pagari, installé à 2.650mètres d’altitude depuis 1992, a progressivement vu disparaître trois résurgences vitales.
"Il n’en reste qu’une. Si elle s’assèche, je ne pourrai plus accueillir de randonneurs", glisse-t-il en se lissant la barbe, l’air sombre. "Je suis le premier maillon de la chaîne à sauter. Mais le plus grave se passera dans le reste de la vallée. Quand il n’y a plus de pluie, ce qui arrive sur des périodes toujours plus longues, le glacier fait office de grand château d’eau. Sa fonte régularise le débit des torrents qui irriguent nos champs, nos pâturages. Comment vont faire les bergers et les agriculteurs?"
Sa question reste en suspens à la manière de ces nuages qui, tout en étant agglutinés aux cimes, refusent de s’y déverser.
Trois fois moins de neige en cinquante ans
"Il y a bien des orages", fait-il remarquer. "Mais le déluge passe. Rien n’est stocké. Seules les chutes de neige abondantes offrent un peu de répit."
Sauf que là encore, le dérèglement climatique a tôt fait de réduire les précipitations: "Il y a cinquante ans, à cette altitude, il tombait jusqu’à douze mètres de poudreuse. Aujourd’hui, l’hiver voit rarement s’accumuler plus de trois ou quatre mètres."
Le visage du gardien retrouve un peu de sa sérénité: "Depuis des années, je demande à construire un réservoir pour remédier au manque d’eau. J’ai finalement obtenu les financements de la région Piémont et de l’intercommunalité de Cuneo. Les travaux vont aboutir, début juillet, à une cuve de 24.000 litres. De quoi tenir la saison."
Vestiges de l’ère glaciaire
L’âge de glace prévalant il y a 20.000 ans a façonné nos vallées. À cette époque, le glacier de Saint-Martin-Vésubie mesurait 100mètres de haut et plus de 300 mètres dans le Boréon.
Quant au glacier du Gélas, il s’étendait jusqu’au village de Lantosque! Leur progressive érosion est à l’origine de la présence d’une multitude de lacs.
Aujourd’hui, comme le rappelle le parc national, "les glaciers ont quasiment disparu, remplacés par quelques névés résiduels." Il subsisterait ainsi quelque "200 glaciers rocheux, véritables réservoirs d’eau différée."
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Guide Approfondi pour l'Entretien et la Taille de la Lavande
La lavande, cette plante vivace et rustique typique de la Provence, est célèbre pour son parfum envoûtant et sa silhouette buissonnante. Sa culture et sa taille sont des aspects essentiels pour les jardiniers, qu'ils soient novices ou aguerris. Voici un guide détaillé pour vous aider à prendre soin de votre lavande de manière optimale.
Pourquoi et Quand Tailler la Lavande ?
Importance Cruciale de la Taille
La lavande, en se développant, produit du bois et perd sa densité à la base, ce qui peut entraîner un affaissement. La taille annuelle est donc primordiale pour maintenir une forme buissonnante, naturellement sphérique, et pour prolonger la vitalité de la plante. Elle stimule la croissance de nouvelles pousses et prévient l'apparition de maladies.
Période Idéale de Taille
La fin de la floraison, généralement entre août et septembre, est le moment optimal pour tailler la lavande. Cette période peut varier légèrement selon la variété de lavande et les conditions climatiques. Surveillez le moment où les fleurs commencent à se faner et prennent une teinte grise.
Techniques de Taille
Taille des Jeunes Lavandes
Pour les plants jeunes, la taille favorise un développement harmonieux et robuste. Dès la première floraison, coupez les tiges florales avec un sécateur, cela encourage la plante à se ramifier et à s'étoffer.
Taille des Plants Adultes
Utilisez un sécateur pour les petites touffes et une cisaille pour les massifs plus conséquents. Il est crucial de tailler juste au-dessus du feuillage et d'éviter de couper dans le vieux bois, ce qui pourrait empêcher la repousse.
Esthétique et Forme de la Lavande
Après la coupe des tiges florales, il est conseillé de modeler votre lavande en lui donnant une belle forme sphérique. Cette taille d'ornement améliore non seulement l'apparence de la plante mais favorise aussi une meilleure circulation de l'air à travers les branches, réduisant ainsi le risque de maladies.
Récolte et Utilisation des Fleurs de Lavande
La récolte de la lavande s'effectue idéalement en fin de floraison. Les fleurs peuvent être séchées en bouquets suspendus tête en bas ou égrenées pour une conservation optimale. Pour un parfum plus intense, choisissez de récolter les fleurs en début de floraison, lorsque les huiles essentielles sont à leur apogée.
Conseils pour un Entretien Efficace de la Lavande
Gestion de l'Arrosage
Durant sa première année, la lavande requiert un arrosage modéré, surtout par temps sec. Par la suite, la lavande est relativement autonome, se contentant de l'eau de pluie, sauf en périodes de sécheresse prolongée.
Surveillance des Parasites
Inspectez régulièrement vos plants pour détecter toute présence de parasites ou maladies. En cas d'infestation, une intervention rapide est nécessaire pour éviter la propagation.
Fertilisation : Est-ce Nécessaire ?
En général, la lavande n'a pas besoin d'engrais, surtout si elle est plantée en pleine terre. Pour les lavandes en pots, le renouvellement partiel de la terre lors du rempotage est généralement suffisant pour leur apporter les nutriments nécessaires.
En suivant ces recommandations détaillées, votre lavande continuera à prospérer dans votre jardin, offrant chaque année ses fleurs parfumées et sa forme esthétique. Ce guide vous aidera à maximiser la santé et la beauté de votre lavande, garantissant ainsi son épanouissement au fil des saisons.
En conclusion
L'entretien et la taille de la lavande sont des pratiques essentielles pour tout jardinier souhaitant profiter pleinement de cette plante emblématique. En suivant les conseils détaillés de ce guide, de la taille annuelle à la gestion de l'arrosage et à la prévention des parasites, vous assurerez non seulement une floraison abondante et parfumée, mais aussi une santé optimale de votre lavande. Que vous cultiviez la lavande pour son aspect esthétique, pour ses qualités aromatiques ou pour ses bienfaits thérapeutiques, une taille et un entretien corrects sont la clé pour en tirer le meilleur parti. Avec ces astuces et techniques, votre jardin ou terrasse se transformera en un havre de paix, embaumé par le doux parfum de la lavande, et sera un témoin privilégié de votre savoir-faire en jardinage. N'oubliez pas, tailler sa lavande est un art qui, maîtrisé, révèle toute la splendeur de cette plante intemporelle.
Les gestes sont précis et très délicats. Pour ne pas abîmer les plumes de l’oisillon qui tient dans le creux de sa main, Manon Prazuc, munie de gants ouvre délicatement son bec. Puis, à l’aide d’une pipette, la soigneuse donne à manger au martinet une bouillie de grillons et de vers. Epaulée par Sandra et Mireille, des bénévoles. Elles se relaient de 8 heures à 19 heures.
"On les nourrit toutes les deux heures, et, pour les plus jeunes c’est toutes les heures. Car les martinets ne peuvent pas manger tout seuls. Ici on supplée les parents pour qu’ils ne dépérissent pas. Et dans la nourriture on rajoute des suppléments vitamines, calcium", explique Alice Brunet, vétérinaire et présidente de l’association Totem Paca.
Blottis les uns contre les autres
Dans le centre relais de Cuers (Var), ouvert en urgence il y a une dizaine de jours, les poussins, se requinquent. A l’intérieur de grandes boîtes, posées sur des étagères das une pièce au calme, des petites cabanes en carton ont été fabriquées par Manon. "Ils adorent," sourit Alice Brunet.
Blottis les uns contre les autres, ils se nichent dans ces minuscules abris. "On essaie de reproduire un peu les conditions de leurs nids, mais évidemment ils ne sont pas dans leur environnement naturel donc ils sont assez stressés."
Plus de 220 poussins ont déjà été accueillis, dans le centre, aménagé dans l’aile d’un mas provençal au milieu des pins et des vignes.
Jusqu'à 50°C sous les toits
"On reçoit encore des dizaines d’appel tous les jours, d’habitants qui trouvent des martinets au sol. Les oisillons se jettent du nid, avant d’être en capacité de voler, pour ne pas mourir de chaleur, explique Alice Brunet. C’est une situation inédite par son ampleur. Elle est due à une canicule précoce, avec des températures records enregistrées depuis le 25 juin. A Toulon on a dépassé 43°C, sous les toits où ils nichent ça dépasse les 50°C."
Alors, dans le Var, les Alpes-Maritimes… Partout ces oiseaux migrateurs "tombent du ciel".
Et les SOS affluent.
"Cette espèce a la particularité de ne se poser que pour nicher: elle possède de toutes petites pattes qui ne lui permettent pas de sautiller ou se poser comme les autres oiseaux. Ainsi, un martinet au sol est forcément en détresse", explique la Ligue pour la protection des Oiseaux Paca.
Un vaste élan de solidarité
Face à l’urgence, l’association Totem Paca a lancé un appel sur sa page facebook. Et les renforts n’ont pas tardé à arriver. "On a réussi à mobiliser une quarantaine de bénévoles, qui viennent nous aider à nourrir les 150 martinets."
Sandra fait partie de cette "task force" qui permet aux oisillons de reprendre des forces. "Je ne me suis jamais occupé d’oiseaux, mais je veux être utile", glisse la jeune femme qui suit attentivement les consignes de Manon, la soigneuse.
De son côté, la mairie de Toulon a débloqué des fonds. "On a alloué 3.600 euros pour aider l’association à faire face aux coûts de cette situation d’urgence", note Clémence Mounier, conseillère municipale à Toulon en charge de l’animal en ville.
Tandis que l’association "Martinets d’ici et d’ailleurs", a remis lundi un chèque de 3.000 euros à Totem Paca pour soutenir son action.
"On a besoin de 3 à 4kg de grillons et de vers par jour pour l’alimentation des oisillons" note encore Alice Brunet.
Une fois que les martinets sont en capacité de voler, ils sont relâchés dans la nature. "On attend qu’ils pèsent entre 40 et 50 grammes, ce qui correspond à leur poids de forme."
Une cinquantaine d’entre eux se sont ainsi élancé dans le ciel. Non loin du centre d’urgence, dans un champ situé en bordure de vignes, Alice Brunet les aide à prendre leur envol. "Une fois requinqués, les martinets sont autonomes. Ils savent instinctivement se nourrir d’insectes, donc ils sont sauvés."
Dons, bénévolat, comment aider?
Pour venir en aide aux martinets, vous pouvez devenir bénévole au sein de l’association, qui doit faire face à une situation de crise. L’inscription s’effectuer par mail à l’adresse suivante:
contact@assototem.com
L’association lance un appel aux dons. Elle a ouvert une cagnotte en ligne.
Pour soigner et nourrir un martinet jusqu’à ce qu’il soit relâché, il faut compter 15 euros. "Les dons sont défiscalisés à 66%, seul 5,10€ resteront à votre charge après déduction d’impôts", souligne encore Alice Brunet.
Avant de lister le matériel dont ils ont également besoin: congélateur pour conserver la nourriture, caisses plastique 40×60cm, lampes et tapis chauffants, balances de cuisine, serviettes, sopalins, journaux, désinfectant Virkon®, tréteaux, tables, éponges, petits contenants…
Que faire si on trouve un martinet au sol?
Le placer délicatement dans un carton tapissé de tissu.
Garder le carton au frais, au calme.
Ne pas nourrir ni abreuver l’oiseau: son bec est extrêmement fragile.
Contacter immédiatement SOS Faune Sauvage. Tél: 04 83 65 02 79. De préférence par message whastapp assorti d’une photo de l’oiseau, ou par appel téléphonique.
Offrir un téléphone à son enfant fait aujourd’hui partie des rituels de l’adolescence, souvent en lien avec l’entrée au collège. Mais ce petit objet soulève de grandes questions, notamment pour les parents: à partir de quel âge? Avec quelles règles? Et surtout, comment s’assurer que leurs enfants en fassent bon usage? Pour répondre à ces questions, les boutiques Orange de la région organisent depuis plusieurs années des ateliers numériques dans leurs boutiques. Ces derniers ne sont pas réservés aux clients mais ouverts à tous, sur inscription. À l’occasion de la sortie d’un nouveau forfait, comprenant un pack Protection Enfant, la boutique de l’opérateur située rue d’Antibes a organisé un moment dédié à la bonne prise en main du premier téléphone de l’enfant.
Pendant plus d’une heure, trois familles ont pu échanger avec les professionnels et partager leurs expériences. Chacun encadre l’usage du téléphone à sa façon: applications de divertissement limitées à 30 minutes par jour et contrôlées par un chronomètre, notification reçue par mail dès que l’enfant installe une application, téléphone en dehors de la chambre la nuit, ou carrément une utilisation de ce dernier uniquement le week-end.
Savoir faire face aux contenus inappropriés
Pour Rachelle Savoie, ambassadrice numérique volontaire chez Orange, "l’enjeu n’est pas de se demander combien de temps les enfants passent sur leur téléphone, mais ce qu’ils y font et ce qu’ils y voient".
L’atelier met par exemple l’accent sur le fait de ne pas parler à n’importe qui en ligne et de garder ses comptes en privé, mais aborde aussi les questions de cyberharcèlement, et de contenus violents ou pornographiques, qui sont loin d’épargner les plus jeunes. "Les enfants, il est primordial que vous vous inscriviez en tant que mineur sur les réseaux sociaux quand vous créez un compte. Grâce à ça, vous ne tomberez pas sur des contenus inappropriés", conseille l’ambassadrice numérique aux enfants, avant de s’adresser à leurs parents.
"Un garçon sur deux regarde régulièrement des contenus pornographiques, et une fille sur trois. Il faut oser aborder ces sujets avec eux, sans tabou. Ce n’est pas pour leur faire peur, mais pour qu’ils aient conscience des risques, et pour qu’ils sachent qu’ils peuvent venir en parler s’ils y sont confrontés un jour", poursuit-elle.
Communiquer et instaurer un climat de confiance
Pour aider les parents à veiller sur l’activité de leurs enfants en ligne, le pack proposé par Orange inclut entre autres un système de contrôle parental ajustable, et un partenariat avec SafeBear, qui détecte les messages potentiellement liés à du harcèlement. Le système ne dévoile pas le contenu exact des échanges pour respecter l’intimité de l’enfant, mais alerte les parents en cas de problème. "Cela permet d’agir sans fouiller dans le téléphone de son enfant; c’est son espace, sa bulle personnelle. On reste dans le dialogue, pas dans l’intrusion. Si jamais quelque chose d’anormal est détecté par SafeBear, vous pouvez aller en discuter avec votre enfant, et, s’il le souhaite, il pourra ensuite vous montrer les messages problématiques", souligne Rachelle.
À l’issue de ce moment d’échange, Julie Maré, mère de Noé, 11 ans, se dit séduite par cette approche. "L’atelier nous a permis de lui montrer que les règles qu’on met en place ne sont pas là pour le brider, mais pour le protéger", déclare-t-elle.
Les parents doivent aussi montrer l’exemple
L’un des messages forts de l’atelier est aussi destiné aux parents. "Il ne faut pas toujours blâmer les enfants, parce qu’ils reproduisent aussi ce qu’ils voient, alerte l’ambassadrice numérique. On ne peut pas demander à un ado d’être raisonnable si nous-mêmes on ne l’est pas."
Car non, la nouvelle génération n’est pas la seule à se faire piéger par les algorithmes de TikTok ou d’Instagram. "Parfois, on défile les contenus les uns après les autres et on passe des heures dessus sans même s’en rendre compte", avoue Brigitte, grand-mère de Lou, 10 ans.
Pour changer cela, quelques activités simples peuvent aider à déconnecter, et à créer de vrais moments en famille: couper les notifications pendant les repas, utiliser un vrai réveil pour ne pas utiliser son téléphone à peine sorti du lit, pratiquer un sport, jouer à des jeux de société, ou même regarder un film en famille. Se détacher de son téléphone, c’est possible, la preuve à la fin de l’atelier: personne ne s’est aperçu que plus d’une heure s’était écoulée… sans que personne n’ait touché son téléphone.
Cinerooftop Le cinéma en plein air avec la plus belle vue de la côte d'azur se déroule tous les mercredis sur le rooftop de l'Anantara Plaza Nice Hotel ! Billetterie evenEment iconique Le 18 et 19 juillet, nous transformons l'Observatoire de la côte d'Azur en un cinéma immersif et insolite ! Au programme: E.T, Retour
On en a vu des shows dans notre vie: Metallica, AC/DC, System of a Down, Korn, Guns N’Roses, Beyonce, Pink, Iron Maiden, NTM, et on en passe mais, on va être tout à fait transparent avec vous, on a pris un immense pied à remonter le temps, l’espace d’une soirée sur la plage Cousteau de Saint-Laurent-du-Var dans le cadre de Beach 90, pour assister au retour sur scène de nombreux artistes de notre adolescence.
Menelik, Tragédie, Billy Crawford, L5, Las Ketchup, Corona, Allan Theo ou encore Worlds Apart, ils étaient tous là, face à une foule conquise à l’avance.
"Si vous êtes là, si on est là, c’est parce qu’on est nostalgique et que l’on veut revivre tout ça en musique", lance Coralie des L5, groupe féminin qui a remporté la première saison de Popstars en 2001.
Oui, certains ont vieilli, pris du poids, flirtent avec la soixantaine, assurent moins les chorégraphies ou tiennent moins la note. Et alors? Personne n’y a trop prêté attention.
Ils étaient heureux d’être sur scène et le public était aux anges de les retrouver, notamment le trio anglais des Worlds Apart, venu clore le show, et qui a toujours autant la cote auprès du public féminin.
Rebelote à La Garde ce jeudi
Dans un monde où la musique se consomme sans modération, avec sans doute beaucoup trop de facilité, les soirées nostalgiques de la sorte rencontrent un vrai succès.
Suffit de voir comment la foule a immédiatement reconnu le son du duo Tragédie, Hey Oh, avant leur montée sur scène pour comprendre que cette musique, faite pour s’amuser, a traversé le temps.
Parfois critiqué dans les années 90, ce son, si particulier, demeure une madeleine de Proust formidable. On oublie tout, on se déhanche, on kiffe.
"Cela nous étonnera toujours cette attente et ce succès populaire, souligne Tizy Bone du groupe Tragédie. On pourrait presque ne pas chanter tant le public connaît absolument toutes les paroles. C’est gratifiant, surtout quand on fête nos 20 ans de carrière. C’est une passion réelle, on est touché que les plus jeunes soient là, cela veut dire qu’on a réussi à trouver un côté universel."
Mieux, tout ce petit monde savoure ce retour au premier plan après un virage des années 2000 parfois délicat, entre l’oubli et l’étiquette, pour certains, de has been.
Billy Crawford, jubile, taille la bavette avec Tragédie et prend des photos avec les Worlds Apart. Menelik, qui a toujours le don de soulever les foules avec son tube Bye Bye, est accaparé par les selfies.
Qu’ils soient plus âgés ou plus jeunes, ces artistes, autrefois présents dans nos postes de télévisions ou dans les magazines comme Ok Podium sont aujourd’hui de retour sur scène, et pour une raison aussi inexplicable que magique, c’est un bonheur sans limite de pouvoir y assister.
Le côté imparfait rend même l’ensemble assez touchant. Cela aurait pu être ringard mais la magie est du bon côté et donne un côté attendrissant et bienveillant à tous ces artistes de notre adolescence.
Et ceux qui ont manqué le coche mardi peuvent se rattraper, ce jeudi, avec une Hit Party 2000 à La Garde avec un trio Worlds Apart-L5-Billy Crawford. Cerise sur le gâteau? C’est gratuit. Allez, on vous laisse, on a la chorégraphie de Baby Come Back à réviser.
Charly et Lulu: "On est une carte postale!"
C’est assez rare qu’un duo de présentateurs d’une émission musicale - le Hit Machine en l’occurrence - ait autant marqué une génération. Charly et Lulu, puisque c’est d’eux dont il s’agit, animait mardi soir la soirée Beach 90 à Saint-Laurent du Var, comme au bon vieux temps de leur règne sur M6.
Tous ces artistes ont été reçu par le duo quand l’émission de la "petite chaîne qui monte" était le passage obligé dans la promotion. Billy Crawford les appellent "Charly et Loulou". On sent une vraie tendresse entre eux.
"C’est toujours étonnant de voir que les gens répondent présents, souligne Charly. C’est une soirée payante en plus, cela veut dire que le public a fait la démarche de venir. Ce n’est que du bonheur, il ne faut plus s’étonner que des chansons qui ont 25 ans, 30 ans, marchent encore, savourons et remercions la vie. Il y a toujours eu des critiques sur les chansons, même du temps de Claude François ou Sheila, la seule chose qui compte, c’est l’accueil du public, c’est lui qui a raison."
"On est là pour s’amuser, embraye Lulu, quand tu vois un public, peu importe l’âge, qui veut chanter et danser, tu sais que tu es dans le vrai. Regarde Las Ketchup, elles vont envoyer la première note de leur tube et tout le monde va se rappeler de la chorégraphie".
Plébiscités sur scène par une foule qui a repris a cappella, leur tube Le feu ça brûle, Charly et Lulu sont des icônes malgré eux. C’est rare qu’un duo de présentateurs soit aussi apprécié, surtout avec le temps qui passe.
"Les gens ont du goût", rigole Lulu. "On a été les vecteurs, les véhicules d’une époque, il n’y avait que nous sur ce segment, sinon il y avait une forme de variété un peu ampoulée à la Drucker. Les gens se souviennent de nous, de la période, de la musique, des artistes qu’ils aimaient à l’époque", étaye Charly.
"On était les ambassadeurs de cette période, on est comme une carte postale que l’on garde précieusement pour se souvernir", conclut Lulu.
Allan Theo: "Les gens aiment parce qu'ils replongent en enfance"
Il fallait le voir, affuté, s’échauffer de longues minutes avant de monter sur scène. Allan Théo, la cinquantaine rayonnante, avait la lourde mission d’ouvrir le bal. Son tube, Emmène-moi, avait été un raz de marée en 1998 – disque dor - et résonne encore dans toutes les têtes.
"J’ai le même engouement qu’à mes débuts, pendant dix ans j’ai fait autre chose, du rock, et on m’a un peu forcé à revenir à cette musique, rigole-t-il, et je me suis apperçu que cette musique rendait les gens heureux et, par contamination, ça m’a rendu aussi heureux alors que j’étais dans la rage avec le rock".
Celui qui s’inscrit dans une mouvance latine depuis peu se souvient aussi de cette période si particulière de la fin des années 1990: "Je ne me suis pas rendu compte de ce qu’il se passait. J’étais dans une bulle, je n’étais pas forcément au contact du public au début et puis quand le single est devenu viral, je ne pouvais plus faire mes courses, je ne pouvais plus aller au restaurant, au cinéma, là, tu te rends compte que c’est une forme d’hystérie, les gens perdent une forme de contrôle et ça me fascine que la musique puisse faire ça".
Musique faite pour se lâcher
Alors qu’il a enchaîné ses tubes dont Lola et une reprise de Ricky Martin, Un, dos, tres, Allan Theo admet que le plaisir est toujours au rendez-vous.
"Les gens aiment car ils replongent dans leur enfance mais en plus c’est super joyeux, tu ne peux pas lutter. Tu commences à chanter une chanson, parfois il suffit de juste une note, et les gens hurlent, ils sont aux anges, c’est magique. On a dit que c’était de la musique commerciale mais tous les sons de cette époque-là sont restés dans nos mémoires, c’est qu’il y avait quelque chose..."
Les soirées Apéro Food
Conditions
Entrée libre, parkings gratuits
vendredi 18 & samedi 19 juillet de 18h à minuit.
Live music, Food Trucks et un Brasseur local vous attendent !
LES CONCERTS :
Vendredi 18 juillet <<
19h00 à 21h00 : MARJORIE MARTINEZ - Folk, Blues, Rock
21h30 à 23h30 : ELODIE B's - Pop, RockSamedi 19 juillet <<
19h00 à 21h00 : CUPCAKE - Pop, Soul, Rock
21h30 à 23h30 : BROOKLYN - Funk, Soul
LES FOOD TRUCKS :
- FELIZ STAR : Cuisine sud américaine
- AU BIDOCHON : Planches apéro et plus
- LAKAZALEY : Cuisine créole
- YVONNE : Burgers
- LA CASA PEYRANI : Piadine
- LES GLACES D'ANDRÉA : Glaces artisanales
LA BRASSERIE:
- RIVIERA BEER
En partenariat avec RADIO AS
Cagnotte pour vitrine réfrigérée https://www.leetchi.com/fr/c/remplacement-chambre-froide-et-vitrines-refrigerees-3633086#MoneyPot--Description
La Ville de Mougins crée le kit « Un animal m’attend chez moi ».
L’objectif est simple : en cas d’urgence, cette carte permet aux propriétaires de signaler la présence de leurs animaux chez eux.
Accidents, malaises…, la vie réserve parfois des coups durs, sans prévenir. Si vous vous retrouvez dans l’impossibilité de faire savoir que votre animal de compagnie est seul à la maison, le kit se compose d’une carte « Mon animal m’attend chez moi » à garder sur vous afin de le signaler, ainsi qu’un adhésif à apposer à l’entrée de votre domicile. Sur la carte figurent votre nom, celui de votre ou vos animaux ainsi que les personnes à contacter.
N’hésitez pas à vous procurer le kit auprès de certains cabinets vétérinaires, les associations de protection animale (SPA Espoir et ASA 06), les pharmacies, les accueils publics mairie (CCAS, pôle administratif, mairie annexe Mougins-le-Haut, îlot de police municipale de Tournamy, guichet unique, Scène 55, médiathèque, service des sports), les résidences et foyers seniors.
Antibes est la première ville en France à signer la charte pour la préservation de l'eau de l'association Valhor. La charte engage la ville à planter des végétaux peu gourmands en eau bien sûr mais aussi à utiliser les espaces verts pour éviter les inondations et autres gros ruissellements.
Depuis plus d’un an, du côté du Cannet, dans la lutte contre le moustique tigre, on a fait le pari des bornes antimoustiques qui évitent le recours aux insecticides.
"Comme ailleurs dans le département ça devenait invivable dans certains secteurs livre Marc Occelli, l’adjoint délégué à l’Environnement chargé de mener la lutte. Les restaurateurs, notamment dans le vieux-Cannet, les riverains… tout le monde se plaint. Ces moustiques sont devenus en quelques années un véritable fléau qui démarre dès le printemps et se termine à la fin de l’automne. Pour l’enrayer on a d’abord testé quelques bornes à des endroits stratégiques, comme par exemple une crèche et une résidence. Elles se sont avérées vraiment efficaces, certifie l’élu. Et depuis l’année dernière nous en avons installé vingt sur toute la commune. Leur rayon d’action peut atteindre jusqu’à 60 mètres, elles sont placées entre avril et octobre dans plusieurs endroits de la ville qui sont considérés comme les plus à même d’être touchés par les moustiques."
Une politique antimoustique qui a un coût puisque chaque borne revient à 1.000 euros pièce, sans l’entretien.
Sans produit chimique, ni bruit
Visuellement, cela ressemble à une grosse boîte. C’est à l’intérieur de celle-ci que se trouve une machine redoutable qui va disperser du dioxyde de carbone pour imiter la respiration humaine ainsi qu’un leurre olfactif qui simule l’odeur corporelle, toujours humaine.
Les moustiques n’y résistent pas. Ils sont attirés et aspirés par la borne. Tout ceci sans aucun produit chimique, ni bruit ni odeur. La machine ne prend pas non plus au piège les autres insectes comme les abeilles ou coccinelles.
"Les bacs sont relevés toutes les semaines, je suis incapable de vous dire combien de moustiques sont piégés, mais les bacs d’un litre sont pleins à chaque fois, ajoute l’élu. Et puis surtout, là où sont installées les bornes, les moustiques dérangent moins. Par contre elles doivent être installées à un endroit stratégique: déportées du lieu de vie à une cinquantaine de mètres en amont et en tenant compte du sens du vent."
Rémy est le gérant de La Maison Bellevue, dans le vieux-Cannet et il confirme "un changement radical avant et après la borne". "Avec la présence constante des moustiques, ça devenait très compliqué de travailler, en terrasse les clients se plaignaient à juste titre. La borne a été installée l’année dernière au milieu de la place et ça va beaucoup mieux."
Dans cette commune, depuis l’installation des bornes, "aucun cas de dengue n’a été détecté, indique l’élu. Mais il faut rester vigilant et nous menons la lutte sur plusieurs fronts. En plus de ces bornes, nous avons aussi installé des pièges pondoirs pour les femelles et nous répandons du larvicide dans les lieux où l’eau à tendance à stagner."
Il ajoute "la lutte doit être collective, on ne gagnera que comme ça. En plus de nos actions, nous multiplions les messages à la population concernant les eaux stagnantes dans les jardins. Et nous invitons les Cannettans qui le peuvent et le souhaitent à s’équiper de ces bornes redoutablement efficaces."
Les patous et autres chiens de protection qui veillent sur les troupeaux en montagne causent parfois des frayeurs aux randonneurs, ICI fait le point sur l'attitude à adopter lorsqu'on croise l'un de ces chiens lors d'une balade en montagne.
Contourner le troupeau, si possible,
À proximité du troupeau : se signaler en appelant les chiens (pour ne pas les surprendre),
Si les chiens viennent vers vous, s'arrêter, faire face aux chiens et leur parler sans les fixer dans les yeux,
Mettre un objet - chapeau, veste, sac à dos - entre soi et le chien pour mettre une distance entre vous et le chien,
Rester calme,
Éviter absolument de jeter des cailloux au chiens, de brandir un bâton ou l'usage d'une bombe aux poivres, cela risquerait de rendre les chiens agressifs,
Dès que le chien se calme, poursuivre son chemin doucement
Trouvez une mission de bénévolat dans une association, organisation publique ou une collectivité territoriale, sur le terrain ou à distance. Plus de 20 000 missions disponibles partout en France dans 10 domaines d'action : solidarité, insertion, éducation, environnement, santé, sport, culture ...
Soutenez le fonctionnement du Centre de Soins pour la Faune Sauvage des Alpes-Maritimes ! Bonne nouvelle : le centre de soins pour la faune sauvage des...
Relier Cannes à Théoule par la mer, c’est de nouveau possible depuis samedi et ce jusqu’au 31 août, grâce à la navette maritime Esterel.
L’occasion de se rendre dans le magnifique parc départemental de la Pointe de l’Aiguille ou à la plage de la Figueirette, tout en profitant de la beauté de la côte depuis la Méditerranée, notamment le château de Mandelieu, le Palais Bulle ou les petites criques de roches rouges…
Alors, on laisse la voiture au garage ou au parking et on se rend au quai Laubeuf, à Cannes, pour embarquer à bord de la navette qui peut emmener une petite centaine de personnes.
Ensuite, deux arrêts sont proposés: Théoule débarcadère (dans le centre du village) et le port de la Figueirette.
Quatre allers-retours quotidiens
Le service propose quatre allers-retours quotidiens au départ de Cannes (9h15, 11h15, 14h30 et 16h30).
Niveau prix, il faut compter 10 euros pour un pass journée adulte et 5 euros pour le pass journée enfants jusqu’à 10 ans (gratuit pour les moins de 3 ans). Un billet aller simple est également proposé au tarif de 6 euros.
Pour acheter des tickets, il suffit de se rendre dans un des cinq points de vente: au port et à l’office de tourisme de Cannes, à l’office de tourisme de Théoule-sur-Mer, à la capitainerie de La Figueirette et à la Maison du parc maritime départemental Esterel Théoule.
Il faut compter un peu moins d’une heure pour relier Cannes à La Figueirette, pour un trajet qui en mettra plein la vue aux voyageurs.
Renseignements : 04.93.49.28.28.
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Découvert par article Nice Matin https://www.nicematin.com/economie/quelles-sont-les-pepites-du-reseau-entreprendre-cote-d-azur-992615
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découvert par article nice matin https://www.nicematin.com/economie/quelles-sont-les-pepites-du-reseau-entreprendre-cote-d-azur-992615
Il aurait pu s’arrêter à 60 ans. Fermer les grilles de la pépinière, poser les outils, profiter. Dix-huit années plus tard, Jacky Rubino, travaille encore chaque jour. Parce que la pépinière ne le lâche pas. Parce qu’il aime ce métier au point de ne jamais vouloir le quitter. Parce qu’il dit que la terre lui a appris le respect. Et que le respect, ça s’entretient. Comme un jardin. "Je continue aussi parce que j’ai une super équipe, on s’entend bien… En fait, à l’approche des 80 balais j’aimerais bien faire la passation. Mais rester quand même… Que je puisse continuer à former, à transmettre…" Tout est dit…
Jacky Rubino vient d’être nommé Chevalier de l’ordre national du Mérite agricole. Un honneur qu’il prend comme "la concrétisation de toute [sa] carrière". Et quelle carrière! Cinquante-cinq ans sans manquer un jour. 6h45, tous les matins. 19h, tous les soirs. Et toujours cette exigence, ce goût du travail bien fait. Il aurait pu devenir ingénieur chez Thalès. Mais il a bifurqué. Un détour par le jardin d’un colonel en Allemagne pendant l’armée. Et puis la révélation du sécateur: ce sera les plantes. Avec une volonté tenace: "Être le meilleur. Meilleur élagueur, puis meilleur paysagiste." Et il l’a été, à sa manière: discret, tenace, passionné.
Ce jour-là chez la princesse
Quand on lui demande à quoi il a pensé lorsqu’il a reçu la médaille, il nous parle de sa défunte épouse emportée par la maladie il y a dix ans et nous raconte son premier jour. C’était le 2 mai 1969, il avait été envoyé élaguer les cyprès florentins et les palmiers d’une princesse: "La Begum Aga Khan. C’était à Yakymour, sa villa du Cannet. Et sous ses yeux en plus! D’ailleurs, je n’ai jamais cessé d’entretenir sa propriété", dit-il en montrant la photo de cette journée. "À 17mètres de haut, tout à la main et à la serpe. Cette allée était tellement belle que la municipalité du Cannet en a fait des cartes postales..."
En "collaboration" avec le végétal
Après avoir passé des années en l’air, il est redescendu pour créer et ouvrir sa pépinière.
Six hectares qu’il a imaginés et aménagés en 1984 à Mandelieu-la-Napoule. Une petite fierté aux 2.000 variétés qui fournit près de 700 jardiniers de Menton à Marseille. "Parfois je me dis que je connais chaque arbre de ce territoire…" Spontanément, il prend une feuille et un stylo et dessine une taille: "Il faut pratiquer le gobelage pour que l’air passe. Tout ce qui pousse à l’intérieur il faut le tailler. Ouvrir l’intérieur de l’arbre pour le faire respirer. Et le faire en pleureur à l’extérieur..."
Il enchaîne sur l’entretien de l’arbre: surtout par de cuvette autour d’un arbre, "vous le tuez..." Il faut - toujours à l’aplomb - faire des trous à la barre à mine que vous laissez ouverts. Vous en faites cinq ou six autour et vous y injectez de l’engrais bio, "ça, même certains jardiniers ne le savent pas". Il regarde son dessin, attendri: "Moi, quand je travaille un arbre, que je le nettoie, le taille, c’est comme si je lui parlais... C’est une collaboration..."
"C’est très rare qu’un arbre meurt chez moi"
Prendre soin du vivant, c’est important: "Il y a de la musique partout ici... Les plantes d’intérieur aiment beaucoup, elles poussent mieux. J’aimerais qu’on se souvienne de la qualité des plantes. De la qualité de la pépinière. C’est très rare qu’un arbre meurt chez moi."
Son essence préférée: le palmier phœnix. "J’ai commencé dessus et je suis né en dessous, dans une villa au Cannet..." Arbre qui porte la symbolique de la résurrection et de l’immortalité... En regardant le pépiniériste, on y voit l’arbre du passage entre les générations, le savoir transmis. C’est tout Jacky...
L'Arche à Grasse propose un accompagnent de personnes en situation de handicap mental à travers un concept de vie partagée.
Newsletters La Nef Juillet 2025
foodwatch fait la lumière sur les pratiques nuisibles de l‘industrie agroalimentaire et lutte pour le droit des consommateurs de se voir proposer des aliments de qualité.
Nous sommes en 2022. Laura est assistante vétérinaire. Depuis quelque temps, elle a remarqué que certains clients se retrouvent embêtés lorsqu’ils doivent emmener leur animal à la clinique.
Il y avait cette petite dame qui n’arrivait plus à se déplacer, ou encore ces personnes qui me disaient qu’elles travaillaient et qu’elles étaient coincées. D’autres ne pouvaient pas laisser les enfants seuls à la maison. Leur seule possibilité, c’était de prendre un taxi. Et c’est très cher sur la Côte d’Azur."
Alors une idée commence à germer dans sa tête. L’idée d’aider à transporter tous ces patients à quatre pattes. De devenir une sorte d’ambulancière pour animaux.
Elle en parle à son collègue vétérinaire qui lui dit que c’est une bonne idée et que "ça manque dans le coin".
Pour concrétiser ce projet, Laura investit près de 70.000€. Elle achète un fourgon, l’aménage totalement, l’équipe d’un brancard, d’une climatisation réversible, de grandes et petits cages en fonction de la taille des chiens ou des chats qu’elle devra transporter.
Elle s’équipe également de tout ce qu’il faut pour respecter les protocoles de désinfection. Sa maman la soutient, ainsi que son conjoint qui l’aide pour l’aménagement.
Elle se forme pour obtenir l’ACACED, qui est un peu le sésame pour travailler avec les animaux. Elle y ajoute la formation TAV pour Transport d’animaux vivants.
Il ne reste plus que les démarches auprès de la DDPP (Direction départementale de la protection des populations).
"Grâce à la rapidité de l'intervention, il s'en est sorti"
L’activité a débuté il y a un mois. Laura, qui pensait au départ couvrir le Golfe, s’est vite retrouvée à se déplacer dans tout le département. "Je suis dispo 7 jours sur 7, 24h/24. Il m’est arrivé d’aller sur Toulon, Saint-Laurent-du-Var ou Nice." Il peut s’agir de transporter du domicile à la clinique, mais aussi entre deux cliniques pour des cas compliqués.
Dans son "ambulance pour animaux", elle a tout pour pratiquer les premiers secours. Récemment, elle est intervenue pour un chat qui était tombé du 3e étage. "En arrivant sur place, la scène était tendue. Aslan gisait au sol, immobile, derrière une haute grille qui barrait l'accès. (…) Sans hésiter, j'ai escaladé la grille (…). Il était là, étendu, le regard un peu perdu, mais vivant. Avec une extrême délicatesse, je l'ai soulevé et l'ai passé par-dessus la grille à sa propriétaire, qui l'attendait de l'autre côté. Nous avons filé vers la clinique vétérinaire la plus proche, où une équipe nous attendait déjà. Aslan a été pris en charge immédiatement. (…) Grâce à la rapidité de l'intervention et aux soins des vétérinaires, il s'en est sorti. Le soir même, il était de retour chez lui", raconte-t-elle sa page Facebook.
Pour Laura, "les animaux ont le droit à ce genre de services" car ce sont des membres de la famille à part entière. "Qu’on leur donne une chance d’être transportés dans les meilleurs conditions, comme on le ferait pour des humains."
Contact: 06.69.63.12.80. Page FB: Secours Animalier du 83; compte Instagram: @secours.animalier.du.83
Découvert chronique le billet science 02/07/2025 https://www.radiofrance.fr/franceinfo/podcasts/le-billet-sciences/nous-proteger-ou-nous-faire-grossir-les-multiples-roles-du-microbiote-intestinal-1205010
Rendez-vous les 27, 28, et 29 juin pour trois jours de spectacles, de rires, d’émotions et de belles rencontres théâtrales à Auribeau-sur-Siagne !
Parce que nous avons à cœur de rendre accessibles et compréhensibles pour toutes et tous les dispositifs d’épargne entreprise, nous vous invitons à découvrir le podcast de Corine Goldberger et Thierry Ohayon « Argent, parlons cash les filles ! », auquel nous avons participé.
Laure Rabelle, notre responsable marketing et digital pour nos clients entreprises, s’est prêtée au jeu de cette longue interview, pour éclairer les femmes (et les hommes) sur toutes les questions qu’elles pourraient se poser sur leur épargne salariale et retraite et ainsi leur (re)donner les clés et le pouvoir sur leur situation financière et leur patrimoine, actuel ou à venir.
Publié le 26 juin 2025
L’assurance multirisque habitation est obligatoire. Cependant, si tous les contrats offrent un même socle de garanties, leur mise en application diffère. Faites le point, pour ne pas débourser un euro de trop.
Mauvaise nouvelle : en 2025, les tarifs des assurances multirisques habitation (MRH) ont augmenté sur tout le territoire, avec des progressions moyennes de plus de 10 %. Cette flambée est principalement due aux hausses des coûts d’indemnisation. En effet, la guerre en Ukraine a fait bondir le cours des matières premières, renchérissant les réparations. Le nombre de sinistres a, lui aussi, suivi une courbe ascendante, notamment dans les copropriétés anciennes peu ou pas entretenues. En outre, à cause de l’aggravation des risques climatiques, l’État a imposé une majoration de la prime catastrophe naturelle (Cat-Nat), qui finance le régime d’indemnisation des victimes et pèse sur tous les contrats. Le 1er janvier 2025, elle est passée de 12 à 20 %. Alors, pour être certain que le prix de votre MRH correspond bien à la couverture dont vous avez besoin, suivez nos conseils.
Analysez la qualité de votre contrat
Les compagnies d’assurances fixent leurs tarifs en fonction de leur perception du risque (incendie, dégât des eaux, cambriolage…). Or, leurs calculs sont réalisés à partir de statistiques qui leur sont propres. C’est la raison pour laquelle, par exemple, un assureur qui s’avère bon marché à Lille (59) peut afficher des tarifs moins intéressants à La Rochelle (17), ou qu’une compagnie comptant une majorité de propriétaires de maisons dans son portefeuille n’aura pas les mêmes montants moyens de sinistres qu’une société qui assure surtout des petits appartements.
Il est donc important d’intégrer cette donnée avant de choisir son assureur. Toutefois, attention : si le prix d’une MRH est un point capital, ne vous laissez pas séduire par le tarif le plus bas possible, car il faut impérativement examiner un deuxième paramètre : la couverture offerte par le contrat en cas de sinistre. Là également, le marché est très hétérogène, car certaines compagnies insèrent de hauts niveaux de franchises, quand d’autres limitent les garanties, ou encore en incluent en option payante, ce qui fait grimper la note.
Avant de souscrire, il convient donc d’analyser la qualité du contrat et, surtout, de vérifier qu’il correspond à ses besoins. « Le principal sujet avec l’assurance est son utilité réelle, et non sa rentabilité immédiate », met en garde Carole Thoumelin, responsable du pôle offre et marketing chez Pacifica (une filiale du Crédit agricole). Inutile de disposer d’options facturées si vous ne vous en servez jamais ou, a contrario, de risquer des franchises élevées alors que votre budget serré ne vous permet pas d’assumer une série de petits sinistres.
Le dernier facteur jouant sur le prix des contrats est le type et la qualité du service. Fréquemment négligé, ce critère s’avère pourtant essentiel. De fait, si vous avez souscrit via un courtier de proximité, ce dernier sera apte à vous conseiller sur les formules, et à vous épauler en cas de problème. Si vous n’êtes pas technophile, que vous habitez un bien qui sort de l’ordinaire (maison de caractère, nombreuses dépendances, secteur à risque…) ou que votre patrimoine est particulier (collection d’ouvrages anciens, matériel hi-fi ou électronique dernier cri…), mieux vaut opter pour cette solution.
En revanche, pour un petit appartement sans mobilier ni objet de valeur, vous aurez intérêt à préférer une assurance basique ou celle d’un néoassureur, souscrite en ligne en trois clics, bien moins coûteuse. La condition ? Accepter un conseil générique et un règlement de sinistres dématérialisé, ou réalisé via une plateforme téléphonique.
Faites jouer la concurrence
Pour toutes les raisons précédemment évoquées, les écarts de cotisation annuelle varient, sur une formule comparable, du simple au triple. Malgré tout, beaucoup de consommateurs se contentent, lorsqu’ils reçoivent leur échéancier de primes chaque année, de relever les hausses et de les accepter avec fatalisme. C’est une erreur ! Dans le domaine de la MRH comme de l’automobile, la fidélité n’est pas récompensée. En effet, pour attirer de nouveaux clients, tous les assureurs appliquent des prix d’appel la première année. Ensuite, ils augmentent les tarifs et les anciens contrats perdent leur compétitivité. Si on veut éviter de se retrouver piégé, « il faut régulièrement, c’est-à-dire a minima tous les deux ans, faire le tour de la concurrence, afin de vérifier que sa couverture n’est pas facturée trop cher par rapport au marché, qui évolue assez rapidement », conseille Julien Fillaud, directeur d’Hyperassur. Pour cela, passez par des comparateurs (LeLynx, Lesfurets, Meilleurtaux, UFC-Que Choisir…), ou rendez-vous sur le site de votre assureur, pour mettre votre contrat en balance. À la clé : des économies atteignant parfois 40 %.
Regarder ce que propose le marché a un autre avantage majeur : cela vous donne l’occasion de réévaluer vos besoins et d’adapter votre couverture en choisissant, éventuellement, une formule qui vous convient mieux. Le but ? Éliminer les options, anciennes ou nouvelles, inadaptées à votre profil, et en souscrire d’autres correspondant à l’évolution de votre situation (immobilière, mobilière…). À titre d’exemple, de plus en plus de contrats MRH disposent désormais d’une garantie, souvent payante, qui assure les vélos électriques contre les vols. Séduisante sur le papier, elle s’avère inutile si vous roulez avec une bicyclette musculaire. « L’analyse méticuleuse et régulière de son contrat permet de trouver de nouvelles assurances plus protectrices à tarif équivalent, ou d’autres, moins chères, qui offrent des garanties comparables », affirme Julien Fillaud.
Soyez aussi vigilant sur les garanties incluses dans la MRH, car « il existe des formules qui n’intègrent pas de couverture vol. Elles sont destinées à ceux qui estiment que le contenu de leur habitation ne mérite pas cette protection particulière », souligne Carole Thoumelin. Il s’agit essentiellement des contrats d’entrée de gamme, surtout adaptés aux petits logements avec peu de valeurs mobilières à assurer. Évitez-les si vous possédez beaucoup de meubles, du matériel hi-fi, de l’électroménager et que vous vivez dans une grande maison.
Adaptez les garanties de base
Un contrat multirisque habitation assure a minima contre les dégâts des eaux, l’incendie et les catastrophes naturelles. Il donne, en outre, une garantie responsabilité civile qui couvre les dommages que vous ou un membre de votre foyer assuré pourriez provoquer chez autrui. À cela s’ajoute, dans la grande majorité des cas, une garantie vol. Cependant, malgré un tel socle commun, chaque contrat prend en compte de manière différente, ensuite, les sinistres et leur règlement.
Premier point : les montants couverts diffèrent. Le capital mobilier assuré peut aller du simple au triple pour la même surface de logement. Les assureurs l’évaluent entre 10 000 et 30 000 € en moyenne par pièce. D’autres ajoutent parfois à ce montant un plafond global d’indemnisation qui peut être très bas, et largement insuffisant pour une grande maison. À ce propos, vérifiez la définition du nombre de pièces, car certaines compagnies considèrent qu’un grand séjour de plus de 30 ou 40 m2 compte pour deux, et d’autres non.
Attention, en cas de déclaration erronée de votre part, votre indemnisation risque d’être réduite proportionnellement. Soyez bien attentif sur ces points, parce que même si les plafonds d’indemnisation paraissent importants, ils ne seront pas forcément suffisants pour remplacer tout ce que vous pourriez perdre lors d’un sinistre grave (un incendie, notamment). Si vous possédez des meubles de valeur ou encore un niveau élevé d’équipement (bibliothèque de livres anciens, écran plat dernier cri, matériel informatique coûteux, électroménager haut de gamme, vêtements griffés…), choisissez sans hésiter une formule qui garantit des montants supérieurs. Vous paierez plus cher, toutefois vous serez mieux protégé en cas de grosse catastrophe.
Deuxième point : examinez si le capital couvert inclut les objets de valeur. En général, ils dépendent d’une couverture à part, avec un plafond différent. La plupart du temps, il s’agit des biens en métal précieux, de ceux qui intègrent des pierres précieuses, mais aussi des œuvres d’art (tableaux, statuettes, tapisseries, fourrures, montres onéreuses…) et de collection. Certains contrats intègrent, en plus, les caves à vins avec des grands crus. Sachez que « ne sont jamais considérés comme des objets de valeur le matériel hi-fi, vidéo, informatique et les appareils électroménagers », énonce Julien Hue, directeur de l’offre assurance dommages à la Macif. Voyez également s’il existe un plafond par bijou ou objet de valeur, car c’est parfois le cas.
Pour être certain d’être parfaitement couvert, faites une évaluation rapide de ces biens spécifiques et, si besoin, demandez à votre assureur d’augmenter les plafonds de couverture. En outre, ménagez-vous des preuves de leur existence : photographiez-les et, surtout, faites-les expertiser assez régulièrement par un professionnel qui vous délivrera un avis de valeur. Cette précaution est salutaire. « Si conserver des factures est utile pour l’indemnisation, cela ne donne qu’une indication du prix initial du bien, et pas forcément de la valeur actualisée », remarque un courtier en assurances.
Troisième point : après un sinistre, vérifiez si votre assureur va vous rembourser vos affaires pour leur valeur à neuf ou de remplacement, ou s’il calculera le dédommagement après avoir déduit une vétusté – en général, de 5 à 25 % si c’est le cas. « Une grille de vétusté doit être précisée dans le contrat. Elle indique les taux appliqués, qui varient selon la nature des biens. Elle ne sera pas la même, par exemple, sur du mobilier et du matériel électronique », précise Carole Thoumelin.
Gare à la garantie équipement à neuf, car il existe des subtilités : certaines formules, les plus chères, vous protègent de façon illimitée quel que soit l’âge du bien sinistré ; d’autres ne couvrent que quelques biens à neuf ; d’autres encore les soumettent à un coefficient de vétusté. Ces dernières fixent des durées au-delà desquelles le mobilier n’est plus remboursé, s’il a plus de 10 ans par exemple. À fuir si vous êtes adepte de meubles chinés et de pièces vintage. Enfin, regardez le montant des franchises du contrat, car si elles sont élevées et que vous subissez un petit sinistre, comme un dégât des eaux sans gravité, votre assurance ne vous indemnisera rien, ou très peu.
Tenez compte des conditions particulières
Avant de signer, lisez les conditions qui précisent les modalités à remplir pour être pris en charge. Par exemple, si votre logement se trouve en rez-de-chaussée, les fenêtres doivent fréquemment être munies de barreaux ou de volets pour que la garantie vol s’applique. Même obligation, parfois, sur votre porte d’entrée, à doter d’une serrure trois ou cinq points, voire d’une porte blindée au-delà d’un certain capital assuré. Autre exemple : vous êtes tenu de prouver que vous faites ramoner chaque année vos conduits de cheminée et débroussaillez votre terrain. Prêtez attention à ces points car si vous ne les respectez pas, l’assureur peut refuser de vous dédommager ou minorer votre indemnisation. Pensez aussi à lui déclarer tout changement dans votre domicile – par exemple, si vous installez une véranda, construisez une piscine ou créez un petit studio au-dessus de votre garage. Le montant de votre prime augmentera parfois légèrement, mais vous serez correctement protégé. Si vous quittez votre logement durant plusieurs semaines, les assureurs exigent également que l’eau soit coupée, afin de vous couvrir en cas de dégât des eaux. Examinez bien ce point, car les exigences en matière de durée d’inoccupation varient selon les contrats.
Pour finir, si vous avez une maison, vérifiez que votre assurance couvre bien les dégâts ou les vols susceptibles d’avoir lieu dans votre jardin et vos dépendances (mobilier d’extérieur, vélos…). Mais aussi les dommages touchant les murs de soutènement, les portails, les plantations…
Profitez, ou pas, des « petits plus »
La plupart des assurances proposent des petits « plus ». Privilégiez ceux qui vous faciliteront la vie. Par exemple, l’intervention d’un serrurier si vous avez perdu vos clés. A contrario, d’autres s’avéreront inutiles ou inefficaces. C’est parfois le cas de la garantie protection juridique : certaines mettent en relation avec un service de conseil, mais uniquement pour ce qui relève de l’habitation (conflit de voisinage, problème de bail…), tandis que d’autres offrent une couverture dans divers domaines (soucis avec une administration…) et vous épaulent dans vos démarches. À vous de voir si vous avez besoin de cette aide, quelquefois en doublon avec une autre police d’assurance déjà souscrite.
Il existe aussi toute une panoplie de garanties que les assureurs ont intégrées au fil du temps. Si votre contrat a plus de 10 ans, il n’est plus au goût du jour et vous avez peut-être intérêt à en changer pour en profiter. À titre d’exemple, la garantie tout risque accidentel va couvrir un téléviseur heurté par la fenêtre à cause du vent ou un appareil photo abîmé en vacances. La garantie dommage électrique permet d’obtenir le remplacement de machines victimes de courts-circuits ou de surtension. La garantie perte de denrées remboursera le contenu de vos réfrigérateur et congélateur en cas de panne de courant. La garantie bris de vitre prend parfois en charge le remplacement de la porte vitrée de votre insert ou de votre four… Les contrats les plus haut de gamme assurent également les instruments de musique contre la casse et le vol hors du domicile, sous certaines conditions. Ils sont à privilégier lorsqu’on est musicien ou que son enfant prend des cours au conservatoire.
Enfin, des assureurs proposent une garantie civile dans le cadre des loisirs ou des séjours à l’étranger. Elle couvre vos enfants s’ils pratiquent une activité extrascolaire, et la famille si vous partez en week-end ou au sport avec votre matériel. Elle fonctionne souvent, mais mieux vaut le vérifier si vous voyagez hors de France. Très utile pour les foyers actifs et les globe-trotteurs, elle aura un intérêt moindre si on est célibataire et sédentaire.
Mobilier et immobilier - 3 points de vigilance
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Dans le détail des clauses
Avec une garantie valeur de reconstruction matériau à l’identique (pierres de taille, ardoises vernissées…), l’assureur règle les réparations d’un sinistre sur la même base. Mais s’il s’agit d’une garantie valeur de reconstruction (matériaux modernes), il rembourse sur la base de ce qui est actuellement utilisé (parpaings, tuiles usinées…). -
Recours à l’expert d’assuré
Vous êtes victime d’un sinistre grave dépassant plusieurs milliers d’euros ? Faites-vous assister d’un expert d’assuré. Mieux vaut recourir à ses services dès la déclaration du sinistre, mais il peut aussi intervenir en cours de route, jusqu’au règlement du dossier. Ce professionnel indépendant connaît les subtilités des contrats, maîtrise le droit des assurances et possède de solides connaissances techniques. Il discutera donc d’égal à égal avec l’expert de la compagnie d’assurances et négociera votre indemnisation. Il fera aussi en sorte que votre affaire ne traîne pas pour toucher rapidement ses honoraires. Ces derniers oscillant entre 5 et 12 % du montant du sinistre, il a intérêt à ce que la somme proposée par votre assureur soit juste. Pour choisir un expert, privilégiez les cabinets adhérents de l’Upemeic ou de la Fedexa : ces deux syndicats vous fourniront une liste d’affiliés respectant un code de déontologie. -
Couverture pour les bailleurs
Si vous mettez un bien en location, votre locataire doit souscrire une multirisque habitation (MRH). En complément, prenez une assurance propriétaire non occupant (PNO). C’est elle qui couvre les dommages immobiliers du logement et ceux que le locataire pourrait causer à un tiers. Selon la nature du sinistre, vous la ferez jouer en complément ou non de la MRH. Vous l’actionnerez, par exemple, si le locataire est responsable d’un dégât des eaux alors qu’il a dénoncé son bail, si le bien est inoccupé entre deux locataires ou si une fuite sur une canalisation privative abîme votre parquet et le plafond des voisins. Les contrats PNO (environ 10 €/mois pour un deux-pièces) offrent une responsabilité civile avec une garantie défense pénale et recours (DPR), ainsi qu’une couverture classique (incendie, dégâts des eaux, catastrophe naturelle…). Certains intègrent une protection contre les vices de construction, utile s’il s’agit de neuf. Enfin, les plus pointus (souvent les plus chers) proposent la garantie perte de loyers en cas de sinistre rendant l’appartement inhabitable. Ils vous donnent aussi accès à une plateforme juridique spécialisée pour répondre à vos questions (résiliation de bail…).
https://www.quechoisir.org/comparateur-assurance-habitation-n44712/
Randonner exige d’être bien chaussé. Avec leur tige basse, les modèles de ce test sont plus destinés à des balades de quelques heures qu’à des treks de plusieurs jours. Vous pourrez aussi partir avec en week-end ou en voyage, car ces chaussures confortables sont parées contre la pluie et équipées d’une semelle antidérapante. Nous avons choisi de confronter des fabricants experts de la montagne et de l’outdoor (Columbia, Meindl, Millet ou Salomon) à des marques incontournables (Decathlon) ou issues de l’univers de la course à pied (Adidas, Hoka One One). Au total, 10 paires de chaussures au banc d’essai.
https://www.quechoisir.org/comment-nous-testons-chaussures-de-randonnee-n15421/
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L'été sur la Côte d'Azur réserve son lot de bonnes surprises ! À partir du 4 juillet, un tout nouveau train de nuit, l'Espresso Riviera, reliera Marseille à Rome en passant par Nice. Ce train spécial, lancé par la compagnie Trenitalia, promet de révolutionner vos trajets vers l'Italie.
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