2229 liens privés
Nous développons des solutions innovantes pour réduire les déchets et accompagner l’autonomie des femmes, au Sénégal et en Afrique francophone.
Découvert par vidéo France info/Brut https://www.francetvinfo.fr/sante/environnement-et-sante/video-au-senegal-cette-entreprise-fait-des-serviettes-hygieniques-reutilisables_4700223.html
Association: Les Potagers de la Vésubie
Objectif : Accompagner l’installation d’agriculteurs. Un terrain est trouvé non loin de Peille, dans la vallée du Paillon, un autre suit à Lantosque. En tout, ils sont six maraîchers installés entre le Paillon et la Vésubie grâce au concours des Potagers de la Vésubie.
Aujourd’hui, l’association a réussi à se faire un petit nom. Des propriétaires continuent de se manifester même si tous les projets n’aboutissent pas.
Le bouche-à-oreille fonctionne, la lecture d'articles dédiés aussi. Il y a quelques années, l'association Terre de liens qui permet d'acheter des terrains pour installer des agriculteurs, avait aussi mis la main à la pâte.
"Parfois, c’est le terrain qui ne convient pas, d’autres, ce sont les propriétaires qui ne veulent pas travailler avec une association", explique Hélène Martin.
Créer du lien entre les habitants de la vallée en permettant l’installation de jeunes maraîchers, c’était également l’un des objectifs de l’association des Potagers.
Depuis deux mois, l’association, qui compte aujourd’hui 32 adhérents, s’est dotée d’un webmaster. Les Potagers recherchent actuellement un développeur mais aussi des personnes habiles donc à monter des dossiers, pour obtenir des subventions.
Contact: les potagersdelavesubie@gmail.com
Tél: 06.73.46.27.34.
Une mode glamour et écologique : un concept unique !
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Pourquoi recycler des chaussettes ?
Nous aurions pu commencer par recycler les pulls, les gants, les bonnets..., alors, pourquoi commencer par les chaussettes ? C’est vrai, pourquoi recycler une chaussette ? C’est tellement petit une chaussette !
Justement, c'est parce que c'est petit et que près de 90% des chaussettes sont jetées à la poubelle (source Eco TLC). Nous devions agir pour les sauver ! Mais nous allons recycler d'autres vêtements ou accessoires en maille très bientôt !
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concernent tout le monde (qui n’a jamais trouvé de chaussette trouée dans son placard ?) : le phénomène est universel !
permettent de sensibiliser au recyclage de façon ludique ! Grâce à une simple chaussette, nous prenons conscience des enjeux écologiques de notre planète …. Trop forte la chaussette ;-)
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Ecoparc des Cettons - Secteur 1 Jaune
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#DÉLIVRUE MONTPELLIER c’est un Mouvement Citoyen pour
garder le contact avec les personnes les plus démunies.
Le concept ? Confectionner des repas qui seront ensuite distribués sur les itinéraires les plus fréquentés par les personnes démunies.
Découvert par chronique l'esprit d'initiative https://www.franceinter.fr/emissions/l-esprit-d-initiative/esprit-d-initiative-du-jeudi-08-juillet-2021
Pour importer des produits mondialisés tout en limitant ses émissions de C02, l'entreprise Grain de Sail a conçu un cargoà voiles capable de traverser l'Atlantique. En transportant vin, café et cacao dans une cale de 50 tonnes, elle prouve que la décarbonation du commerce maritime est possible.
60 à 80% des villages de moins de 3500 habitants n’ont plus un seul commerce alors qu’une solution associative d’épiceries a déjà fait ses preuves, favorisant les petits producteurs locaux, les prix au plus juste.
35 dons suffisent pour une nouvelle épicerie !
Impossible n’est plus possible !
Ensemble, lançons-nous, relevons ce défi…
Découvert par l'esprit d'initiative https://www.franceinter.fr/emissions/l-esprit-d-initiative/esprit-d-initiative-du-jeudi-01-juillet-2021
Le système qui s’est imposé depuis des décennies à l’échelle de la planète repose sur l’exploitation et la recherche du profit …
l’individualisme et la compétition, sur l’illusion de la croissance sans limite, sur un consumérisme qui appauvrit l’âme. Dans ce système on ne consomme plus pour vivre, on vit pour consommer sans écouter le cri du monde. Dans ce système, on a perdu le sens de la mesure, le sens du lien, le sens du vivant. Chaque crise nous montre que l’écart grandit entre la société dans laquelle nous vivons et nos aspirations profondes.
Alors il faut s’indigner, il faut critiquer, mais il faut aussi proposer, construire des alternatives.
C’est ce que nous, les sociétés coopératives avons commencé à faire. Chacune de nos coopératives dans son domaine particulier, sur des marchés qui semblaient verrouillés, avec une énergie qui nous vient du terrain, s’emploie à bâtir une proposition économique solide, concrète et vertueuse. Avec de nouveaux modèles économiques, nous faisons vivre au sein des territoires un idéal écologique, démocratique et solidaire.
Aujourd’hui, nous voulons aller plus loin et vous donner le pouvoir de transformer radicalement l’économie…
en construisant un système économique entièrement coopératif. Ainsi, nous pouvons aller au-delà de la logique de « créer de l’impact » et nous attaquer aux causes racines en construisant une réponse systémique. C’est pour atteindre cette ambition commune que nous nous allions sous le nom des LICOORNES.
MOBILISONS-NOUS
pour faire grandir ces alternatives et construire le système économique dont le XXIème siècle a besoin ! Nous avons besoin de votre engagement pour porter cette ambition. En changeant notre consommation, nous changeons le monde.
Découvert par le biais de la Banque éthique La Nef https://www.lanef.com/collectif-les-licoornes
Des Fleurs Dans La Vallée permet aux entreprises de s engager concrètement dans une action locale de préservation de la biodiversité.
Le concept
Des Fleurs Dans La Vallée propose aux entreprises de s'engager concrètement dans une action locale de préservation de la biodiversité.
Nous recréons des territoires de biodiversité à proximité de votre entreprise, en plantant des champs de fleurs qui présentent un intérêt pour les butineurs. Ces fleurs fournissent des nectars et pollens sains à des périodes durant lesquelles les butineurs manquent de nourriture.
Découvert par le biais de "UnToitPourLesAbeilles"
The Ocean Cleanup is developing technologies to rid the oceans of plastic. We aim to remove 90% with ocean cleanup systems and river interception technologies.
WE AIM TO CLEAN UP 90% OF FLOATING OCEAN PLASTIC POLLUTION
The Ocean Cleanup is a non-profit organization developing advanced technologies to rid the oceans of plastic. To achieve this objective, we have to work on a combination of closing the source and cleaning up what has already accumulated in the ocean and doesn’t go away by itself. This goal means we plan to put ourselves out of business – once we have completed this project, our work is done.
Découvert par podcast Basilic https://basilicpodcast.com/bruno-sainte-rose-the-ocean-cleanup-nettoyer-les-oceans-grace-a-des-projets-innovants/episode_80_bruno_oceancleanup/
Que seront demain nos territoires ? Quels paysages, quelles agricultures, quelle qualité de vie souhaitons-nous ? À l’heure où les pratiques agricoles et alimentaires évoluent, où l’écologie et la consommation sont au coeur des préoccupations, le débat sur l’usage des sols disponibles est plus que jamais d’actualité. C’est pourquoi, de juin à septembre 2021, la SAFER PACA lance une large concertation citoyenne afin de définir ses priorités, qui seront inscrites dans son prochain PPAS (Programme pluriannuel d’activité des SAFER).
Fidèle à ses missions de service public, sous la double tutelle du Ministère de l’Agriculture et de l’Économie, la SAFER PACA observe et régule le marché foncier des espaces ruraux et périurbains. Dans les mois à venir, elle doit prochainement élaborer son futur Programme Pluriannuel d’Activité (PPAS), qui détermine ses orientations stratégiques pour les années 2022-2028. La SAFER PACA a choisi d’y associer les citoyens et habitants de la région dans le cadre d’une vaste concertation citoyenne.
Les enjeux majeurs de l’aménagement du territoire
Paysages, agriculture, écologie, qualité de vie, consommation locale, emplois, logements…Les choix stratégiques arrêtés dans le PPAS sont déterminants pour l’avenir des territoires. Car il s’agit non seulement d’assurer le renouvellement des générations d’agriculteurs mais aussi de développer une agriculture dynamique et à taille humaine, de garantir le développement durable des territoires et la préservation des espaces naturels, agricoles et forestiers. Parce que le PPAS constitue la feuille de route de la SAFER PACA pour gérer les arbitrages entre intérêt collectif et intérêts particuliers sur la question de l’occupation des sols et de la taille des exploitations, cette concertation portera notamment sur trois thématiques porteuses de « tensions positives et fertiles » : alimentation et agricultures, activité économique et cadre de vie.
La démarche de concertation
La SAFER PACA innove avec ce dispositif de « démocratie foncière » qui implique les citoyens, dans leur plus grande diversité. Douze réunions publiques sont organisées dans les départements de la région Sud PACA. Chaque réunion se décline sous forme d’ateliers de travail, dont la restitution va nourrir le bilan général de la concertation.
De plus, un onglet concertation adossé au site www.safer-paca.com permettra de prolonger les échanges et, pour ceux et celles qui ne peuvent se déplacer, de s’exprimer.
A l’issue de la concertation, la SAFER Provence-Alpes-Côte d’Azur expliquera comment elle a pris en compte les contributions citoyennes dans l’élaboration de sa stratégie pour les 6 années à venir.
Consultation public sous forme d'atelier
8 juillet : Territoire Ouest des Alpes Maritimes Sophia Antipolis – Espace Antipolis, 300 Route des Crêtes, 06560 Valbonne (06)
Septembre 2021 :
2ème tournée des ateliers sur les six départements de la Région Sud Paca
• 9 septembre : Gap (05)
• 14 septembre : Pays d’Arles (13)
• 21 septembre : Nice (06)
• 23 septembre : Mazan (84)
• 1er ju28 septembre : Digne (04)
• 6 juillet : Draguignan (83)
• 30 septembre (83)
Publié le 18 juin 2021 à 16h21
Par Propos recueillis par V.G.
Les habitants de la région sont invités à faire connaître leurs attentes, dans le cadre d’une concertation organisée par la société d’aménagement foncier et d’établissement rural.
Que seront demain nos territoires? Quels paysages, quelles agricultures, quelle qualité de vie souhaitons-nous? Chargée d’observer et de réguler les usages et les prix sur le marché des terres agricoles et zones naturelles, la Société d’aménagement foncier et d’établissement rural (Safer) de Provence Alpes Côte d’Azur va au-devant des citoyens pour connaître leurs attentes. Var-matin a demandé à Camille Gonzalez, chargée de la responsabilité sociétale des entreprises au sein de cet organisme (lire en encadré), d’en expliquer les tenants et les aboutissants.
Comment est née cette concertation?
Nous nous posons la question de l’impact de notre entreprise sur la société. C’est une première pour la Safer Paca et une première au niveau national. Nous sommes en train d’élaborer notre futur programme pluriannuel d’activité (PPAS) pour les années à venir (2022-2028) donc il est légitime d’aller à la rencontre des attentes des citoyens, de monsieur et madame Tout le monde, pas seulement les agriculteurs, et surtout tous ceux que nous n’avons pas l’habitude de côtoyer. Les citoyens dans leur plus grande diversité sont concernés car chacun dans sa vie quotidienne est touché par les décisions de la Safer. Paysages, agriculture, écologie, qualité de vie, consommation locale, emplois, logements… Les choix stratégiques arrêtés dans le PPAS sont déterminants pour l’avenir des territoires.
Pourquoi?
Nous assurons l’observation et la régulation des usages et des prix sur le marché des terres agricoles et des zones naturelles. La Safer est amenée à rendre des arbitrages au moment où ces terres sont en vente. Soit elle travaille à l’amiable sur des ventes, ce qui constitue 80% de notre activité en nombre de dossiers, soit elle peut intervenir en préemption en cas de compromis signé chez un notaire concernant des terres agricoles ou naturelles (lire en encadré). À l’heure où les pratiques agricoles et alimentaires évoluent, où l’écologie et la consommation sont au cœur des préoccupations, le débat sur l’usage des sols disponibles est plus que jamais d’actualité. Les actions de la Safer ont un impact dans la vie de tous donc il est important d’avoir cet avis des citoyens.
Quel est l’enjeu?
Notre mission est de faire en sorte que les terres agricoles restent accessibles aux agriculteurs, dans un contexte de pression foncière très appuyée, pression du résidentiel, pression de l’économie… Les terres agricoles sont celles où, par facilité, on s’étend car elles sont perçues comme des espaces vides d’activité. Nous devons aussi rendre des arbitrages entre des productions agricoles différentes. Ainsi, au travers de nos interventions, on participe au dessin du territoire. Il ne s’agit pas seulement d’assurer le renouvellement des générations d’agriculteurs mais aussi de développer une agriculture dynamique et à taille humaine, de garantir le développement durable des territoires et la préservation des espaces naturels, agricoles et forestiers. L’agriculture est un élément structurant de ce territoire, elle a des conséquences sur l’alimentation, les paysages, le cadre de vie, la gestion des ressources naturelles (eau, biodiversité…) On veut donc demander aux habitants à quoi ils rêvent pour leur territoire, comment ils se projettent, et comment la Safer peut participer à rendre possible ce scénario désirable. Parce que le PPAS constitue la feuille de route de la Safer Paca pour gérer les arbitrages entre intérêt collectif et intérêts particuliers sur la question de l’occupation des sols et de la taille des exploitations, cette concertation portera notamment sur trois thématiques porteuses de tensions positives et fertiles: alimentation et agricultures, activité économique et cadre de vie.
Qu’allez-vous faire des réponses?
Le PPAS, qui fixe les orientations stratégiques de la Safer, va utiliser ces consultations, s’appuyer dessus. Elles vont se dérouler en deux temps avec, dans chaque département de la région, des tournées pour recevoir le public, une au début de l’été, une autre en septembre (1). À l’issue de la première tournée, une synthèse sera faite dans l’été. Puis, après celle de septembre, on organisera une restitution globale qui indiquera ce que la Safer a retenu et comment elle compte intégrer les contributions citoyennes dans son PPAS pour les six ans à venir. Les spécialistes (chambres d’agriculture, syndicats agricoles, etc.) on les verra dans l’établissement de notre stratégie. Cette consultation apporte plus de légitimité, on sera plus en cohérence avec les attentes du territoire.
Comment participer?
Les consultations se feront en public et via notre site internet (2). Ces réunions sont conçues comme des ateliers de travail. On a déjà des inscrits ainsi que des contributions alors qu’on commence à peine la communication. Cela démontre que cette consultation suscite de l’intérêt et c’est réconfortant. On sent depuis quelques années, et encore plus fortement depuis la crise sanitaire, qu’il y a des préoccupations sociétales concernant l’alimentation, notamment le circuit court, l’environnement. On espère avoir du monde.
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Dans le Var, la tournée s’arrêtera le 5 juillet à Draguignan (dans l’auditorium, 660 boulevard Kennedy) et reviendra le 30 septembre à Brignoles. Dans les Alpes-Maritimes, premier rendez-vous le 8 juillet à Valbonne (espace Antipolis, 300 route des crêtes).
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www.safer-paca.com.
Préservons les pollinisateurs en luttant contre les pesticides et en semant des graines nectarifères
Les élèves de grande section de l’école maternelle Rebuffel ont lancé un défi à toute leur école : apporter des goûters « zéro déchet », c’est à dire sans emballage (surtout plastique) jetable, pendant une semaine. Ce défi, les petits écoliers l’ont relevé haut la main puisque chaque soir, pendant la semaine de l’opération, les poubelles de l’école […]
Des scooters, des toilettes, des touillettes en plastiques lorsque vous nagez dans la méditerranée. Ces déchets se trouvent à seulement six mètres en dessous de vous. C'est la journée mondiale de l'océan ce mardi. Il absorbe 30% du CO2 de la planète et produit entre 50% et 75% de l'oxygène que nous respirons. Alexia Barrier est navigatrice originaire de Biot. Elle a pu observer lors de son Vendée Globe il y a quelques semaine, l'ampleur des dégâts.
"Il y a des macro-déchets au large, on croise des frigos, des voitures"
Parfois lors des tempêtes, les cargos relâchent des cargaisons pour éviter de chavirer. Et ces cargaisons se retrouvent à flotter au large. La navigatrice en appelle à la prise de conscience, car les mers se réchauffent.
"Les courants marins sont modifiés et cela provoque des catastrophes climatiques, comme les incendies en Australie avec la sécheresse accélérée ou encore la tempête Alex".
Selon un rapport de WWF 600 000 tonnes de déchets plastiques sont rejetées chaque année en Méditerranée. C'est la mer la plus polluée.
Soutenez un projet engagé basé sur la valorisation de l'artisanat français et l'économie circulaire : Rien ne se jette, tout se répare !
=> Triloop design et conçoit des vêtements Made In France, réalisés à partir de matières recyclées.
Après avoir longtemps cherché des vêtements écoresponsables adaptés au triathlon, Sandra Huon et Valentin Garcin, étudiants à l'école d'ingénieurs Seatech à Toulon, ont créé leur propre marque Triloop dont les tissus et accessoires sont en matériaux recyclés. Ils lancent une campagne de crowdfunding sur Ulule pour démarrer la production de T-shirts.
L’idée
En 3e année à l’école d’ingénieurs Seatech à Toulon, Sandra Huon et Valentin Garcin ont fondé la startup Triloop pour proposer des vêtements écoresponsables aux triathlètes. Le triathlon étant leur sport favori auquel ils consacrent 12 heures d’entraînement par semaine. Leur projet est né en octobre 2020 et, après avoir réalisé plusieurs versions de T-shirts, avec l’aide d’une entreprise varoise Custom Racing, ils ont lancé une campagne de crowdfunding sur Ulule pour récolter 6.000 euros et lancer la première production.
Le défi
C’est en participant au programme Les Entrep’Var, organisé par l’association ALEVAR et porté par le Réseau Entreprendre, TVT Innovation et l’Université de Toulon (pour lequel ils ont obtenu le Prix de l’Environnement pour un autre projet de composteur broyeur Sink Green) que le jeune couple a fait la connaissance d’Anna Cipière, chargée de développement de Pépite Paca-Est. Grâce à elle, Sandra et Valentin ont décroché le statut d’étudiants entrepreneurs et ont pu être accompagnés, mentorés et hébergés par TVT Innovation à Toulon pour développer Triloop.
Le concept
"En France, aucune marque spécialisée en triathlon ne propose des vêtements fabriqués en matériaux recyclés et en circuit court." Les T-shirts Triloop sont réalisés à 100% à partir du tri de matières recyclées et de bouteilles plastiques repêchées en mer venant d’une usine spécialisée en Espagne. Custom Racing, entreprise varoise installée à La Farlède, se charge ensuite de la "sublimation" à l’aide de ses machines pour imprégner les couleurs et logos sur le tissu. Aidés par leurs mentors (les patrons de Seagle et Swello à Toulon), Sandra et Valentin ont conçu eux-mêmes leurs modèles de T-shirts, des coupes pour hommes et femmes aux couleurs différentes, confortables, respirants, thermorégulants, doux au toucher, vendus 65 euros TTC livraison comprise (un packaging recyclable lui aussi). Un tarif moindre sur Ulule pendant la campagne.
La plus-value
En s’associant à une designeuse-produit étudiante et à Axel Forestier, étudiant designer à l’UFR Ingémédia à Toulon, le couple a lancé sa marque à partir de novembre 2020 et construit une communauté de plus de 2.000 followers sur les réseaux sociaux (Instagram, Facebook, LinkedIn). Cette communauté de triathlètes, amateurs et pros (dont Antoine Mechin, Iron Man double champion du monde, dans le top 10 des triathlètes français) compte une quinzaine d’ambassadeurs partout en France qui testent les produits depuis le mois de mai et en font la promotion.
L’investissement
Sandra et Valentin ont déjà investi de leurs poches 10.000 euros pour la création du site Internet, l’hébergement, la production des premiers T-shirts et autres produits comme la gourde biodégradable et le dépôt officiel de la marque et du logo en février 2021. La campagne de crowdfunding qu’ils lancent le 28 mai sur Ulule pour 30 jours vise à récolter 6.000 euros afin de donner le top départ de la production et répondre aux précommandes de T-shirts. Grâce au programme Pépite Paca-Est, Sandra et Valentin sont hébergés gratuitement dans les locaux de TVT à Chalucet.
L’objectif
Leur objectif est de produire 600 T-shirts en sortie de campagne "pour avoir du stock" et vendre en e-commerce, ainsi que les gourdes biodégradables, avant de développer la gamme en proposant d’autres produits (shorts, chaussettes, tenue complète pour le cyclisme...). L’idée est par la suite de commercialiser les produits Triloop via les clubs de triathlon et revendeurs spécialisés en magasin, puis, à l’avenir, de récupérer les T-shirts usagés des clients pour les recycler et "créer une économie circulaire, une sorte de boucle du début à la fin".
Article Abonnés Nice Matin https://abonnes.nicematin.com/article/pourquoi-deux-etudiants-entrepreneurs-ont-lance-triloop-la-premiere-marque-de-vetements-ecoresponsables-pour-triathletes-689129
En partenariat avec la société de Sopha Antipolis Azur Tech Research, laville de Mandelieu entend optimiser la gestion de la vaccination en évitant, notamment, la perte de doses.
Alors que son centre, au cœur du palais des congrès, tourne à plein régime (la barre des 20.000 vaccinés a été franchie mi-mai), Mandelieu entend poursuivre l’optimisation de la vaccination et éviter les pertes de doses. Jusqu’à présent, les habitants de la commune - mais aussi d’Auribeau, La Roquette, Théoule et Pégomas - pouvaient s’inscrire sur Doctolib, sur la plateforme téléphonique dédiée ou, depuis avril, directement sur place.
Dès ce samedi 29 mai, les doses viendront également à eux. La capitale du mimosa est, en effet, ville pilote pour le développement de l’application Gdose. Créée par la société sophipolitaine Azur Tech Research (https://azurtechresearch.fr/), son utilisation est toute simple: "Si le centre a des vaccins disponibles, le serveur envoie une notification aux demandeurs concernés et inscrits sur l’application. Ceux-ci la reçoivent sur leur smartphone et peuvent ainsi l’accepter ou la refuser" résume le maire, Sébastien Leroy.
La possibilité d’être vacciné dans l’heure qui suit la notification
Ceux qui acceptent pourront alors se rendre au Centre expo congrès (806, avenue de Cannes) dans l’heure qui suit. "Ça va être aussi un facilitateur pour la gestion interne, complète David Konopnicki, manager général de la Ville et directeur du centre. Quand on tourne à 700 vaccinations par jour, il y a parfois quelques difficultés, notamment des gens qui ne viennent. L’objectif, c’est que rien ne se perde."
L’application Gdose est téléchargeable gratuitement sur IOS ou Android. Et là, aussi, l’utilisation n’est guère contraignante: dès l’ouverture, il suffit de renseigner les coordonnées du centre de vaccination. Pas besoin de créer un compte ou d’entrer quelconque donnée personnelle. En attendant la mise en fonction ce samedi, Gdose, disponibles sur les différents stores depuis moins de 24 heures, compte déjà une centaine de téléchargements.
Article Abonnés Nice Matin https://abonnes.nicematin.com/article/mandelieu-lance-une-application-pour-vous-prevenir-des-doses-de-vaccins-disponibles-691306
Nouveau marché de producteurs locaux aux horaires atypiques, tous les mercredis en fin d'après-midi (jusqu'à 18h ou 19h en fonction du couvre feu) sur la place du Général de Gaulle devant la mairie.
Les habitants voulaient ce marché pour acheter local mais à une heure pratique pour celles et ceux qui travaillent. Même si les habitants et la commune s'engagent pour la réussite du marché (il y a même des habitants bénévoles qui aident à la mise en place des stands) même si la consommation locale est à la mode, ce n'est si facile de monter un nouveau marché.
15 producteurs des Alpes-Maritimes participent : fruits et légumes de saison, des œufs, du miel, du pain, du fromage de chèvre, de la pizza et pissaladière, des confitures, des tisanes et même des crêpes et des gâteaux !
Le village des circuits court des Alpes-Maritimes ne cesse d'innover.
COMMENT ÇA MARCHE ?
1 - SIGNALER
Vous signalez la route dangereuse en renseignant le lieu le plus précisément possible. Vous avez la possibilité de décrire l’endroit dangereux : cela nous permettra de mieux évaluer le problème. Vous pouvez également joindre une photo à votre signalement. Votre signalement sera par la suite modéré puis vérifié.
2 - PARTAGER
Une fois le signalement validé, c’est le moment de faire connaître notre initiative en la partageant sur les réseaux sociaux ! Nous avons besoin de l’aide de tous pour répertorier les routes dangereuses qui nécessitent d’être remises en état. Faites passer le mot sur Twitter [#JaiMalaMaRoute](http://www.jlionne.com/shaarli/./add-tag/JaiMalaMaRoute)
3 - RÉPARER
« 40 millions d’automobilistes » transmet les signalements des routes dangereuses aux autorités en charge de l’entretien des routes afin que les travaux nécessaires soient engagés. Le classement des routes dont l’état est le plus alarmant sera établi par l’association.
« 40 MILLIONS D’AUTOMOBILISTES » S’ENGAGE
L’association « 40 millions d’automobilistes » intervient dans l’ensemble des débats de fond lié à l’usage de l’automobile, notamment face aux grands enjeux sécuritaires. Ainsi, parmi les nombreuses missions qui nous incombent, nous avons souhaité nous attaquer aux problèmes que représente un réseau routier mal entretenu. Pour cela, nous avons besoin de l’aide de tous pour répertorier les routes dangereuses afin de remédier aux risques d’accidents liés à une infrastructure routière négligée.
En signalant les routes délabrées et dangereuses que vous connaissez sur ce site, vous nous permettez d’établir la longue liste des travaux nécessaires à engager pour restaurer les infrastructures routières. En pointant du doigt les différentes routes dangereuses, les autorités en charge de l’entretien des routes ne pourront plus prétendre ignorer les problèmes de sécurité qui sévissent. Nous veillerons à ce que les travaux nécessaires soient entrepris.
Page Facebook associée à l'initiative https://www.facebook.com/40millionsdautomobilistes
Association On passe à l'acte
Il y a plus de dix ans, Mathias Lahiani, musicien et ingénieur du son, en a eu assez du catastrophisme ambiant dans les médias. Guerres, scandales politiques, faits divers en tout genre… Des informations anxiogènes et paralysantes qui polluent chaque jour les écrans de télévision ou les journaux de nombreux médias.
Il veut montrer les gens qui agissent au quotidien, à leur échelle, et qui mettent en place des projets humanistes et positifs. Avec des amis, Mathias décide alors de fonder l’association « On passe à l’acte », média indépendant de journalisme positif et constructif au service des porteurs de belles initiatives en tous genres.
Avec son équipe, il sillonne pendant des années la France à la rencontre d’acteurs ayant décidé d’agir pour un monde plus vertueux, plus respectueux de l’homme et de la planète. L’association cherche à rendre visible ces porteurs de projets à impact sociétal positif et diffuser cette information constructive.
Il s’agit d’inspirer à agir pour le monde et de libérer le pouvoir d'agir de chacun-e.
Après 10 années de rencontre de ces innovateurs, nous avons fait le constat que les porteurs de projet de bien commun manquent de soutien. L’association a donc décidé d’orienter son projet vers l’accompagnement des créateurs de projet à impact sociétal positif pour généraliser l’innovation citoyenne. Pour cela, elle travaille actuellement sur :
la mise en place d’une formation en ligne intitulée On passe à l’acte
la production d’une plateforme numérique rassemblant de nombreux outils pour aider les porteurs de projets
la construction de partenariat avec des acteurs publics locaux pour impulser des dynamiques d’action territorial
Elle a également créé un réseau national de soutien aux porteurs de projets : Synergiser.
Les thèmes (et le nombre d'entrées associées)
- Changement de vie - résilience 87
- Consommation - sobriété 102
- Culture - informations constructives 144
- Ecologie - environnement 227
- Economie - entreprise éthique 129
- Habitat innovant 66
- Insertion - solidarité 109
- Jeunesse - éducation humaniste 76
- Personnes âgées - vieillir autrement 52
- Philosophie - lien avec le vivant 82
- Santé - nourriture saine - Agriculture 154
- Société - gouvernance 130