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Oui 2 fois ado (1ere fois 10-11 ans puis 13-14 ans). Après avoir retiré les premières bagues depuis quelques mois, contrôle chez un nouveau dentiste qui me dit "il faut que vous portiez des bagues" 😱 Changement d'orthodontiste et c'était reparti pour les bagues. 2e fois résultat ok.
Mes dents se sont maintenus quelques années avec la contention et dès que je ne l'ai plus eu, les dents ont bougé à nouveau. A l'époque ils ne préconisaient pas spécialement la contention "à vie".
Beaucoup d'hésitation à reprendre un traitement.
L'an dernier j'ai cherché à consulter une orthophoniste car j'avais le doute que la déglutition soit la cause sous jacente du déplacement. J'ai fait quelques séances mais je n'avais pas un problème flagrant et j'ai pas réussi à progresser avec les exercices donnés, perte de motivation et doute... Finalement quand j'ai consulté différents orthodontistes cette année, ils m'ont dit que dans mon cas la déglutition ne semblait pas être en cause.
Donc j'ai décidé de me lancer pour un traitement par gouttières cette année. Si en cours de traitement ça ne progresse pas comme prévu je pourrais retourner consulter l'orthophoniste, j'aurais plus de motivation à faire les exercices.
Aussi la différence c'est que je serai très attentive à l'après traitement et je consulterai à nouveau si je constate la moindre évolution anormale.
7 kg. C'est en moyenne ce que chaque Français jette en fruits et légumes abîmés à la poubelle chaque année. Une pomme flétrie, une banane à la peau norcie, des fraises trop mûres… Ces fruits gâtés finissent le plus souvent à la poubelle. Pas chez Stéphanie Faustin. Cette Niçoise auteure d'une collection "Les fruits zéro déchet", s'est lancée depuis 2015 dans la lutte contre le gaspillage et les déchets. Après la banane et la pomme "zéro déchet", elle a concocté un nouveau livre de recettes "Les fruits rouges zéro déchet" qui vient de paraître.
On lui a demandé de nous partager quelques recettes et astuces pour ne rien gâcher.
Fruits rouges: tout peut servir
"Dans les fruits rouges, on peut tout utiliser en cuisine, à condition d'acheter bio, prévient Stéphanie Faustin. C'est plus cher, mais il y des choses dont on peut tirer parti." Par exemple, détaille-t-elle: "les pédoncules de fraises, sur lesquels un peu de chair reste toujours attachée, peuvent être utilisés en gelée, pour aromatiser de l'eau ou faire des sirops. Quant aux tiges de cerises, elles peuvent parfumer des tisanes."
L'astuce: plutôt que de jeter vos noyaux de cerises, ils peuvent vous servir, une fois nettoyés. "En billes de drainage au fond des pots de vos plantes ou encore, détaille Stéphanie Faustin, glissés dans un pochon, ils feront des balles anti-stress".
Si vos fraises, framboises, myrtilles ou cerises sont trop mûres, comment les utiliser pour ne pas les jeter? "Elles peuvent se consommer en glace ou en pancakes."
Pancakes aux fruits rouges
Pour 8 à 10 pancakes
2 poignées de fruits rouges bien mûrs
100 g de farine de blés anciens T80
15g de fécule
10 g de sucre de canne complet
1 belle pincée de bicarbonate de soude alimentaire
1 c à soupe d'huile douce adaptée à la cuisson
20 cl de lait végétal (sans sucres ajoutés)
1 c à café de jus de citron ou de vinaigre de cidre
Préparation: 15 minutes
Cuisson: 15 minutes
Coupez en morceaux les fruits qui seraient un peu gros: framboises, fraises et mûres notamment.
Dans un saladier, mélangez au fouet la farine, la fécule le sucre et le bicarbonate.
Ajoutez l'huile et le lait, puis le jus de citron ou le vinaigre, mélangez de nouveau.
Dans une crêpière bien chaude légèrement huilée, déposez de petits tas de pâte.
A la surface de la pâte, disposez quelques petits fruits rouges et faites cuire à feu moyen pendant environ 2 minutes, ou jusqu'à ce que des bulles se forment, avant de retourner les pancakes et de poursuivre la cuisson quelques instants supplémentaires.
Bananes trop mûres: préparer une glace maison
Vous avez des bananes à la peau un peu trop noircie? Vous pouvez préparer une glace à la banane.
"Nul besoin de sorbetière et un seul ingrédient peu suffire. Une fois congelée puis mixée, celle-ci se transforme en délicieuse crème glacée onctueuse et savoureuse", explique l'auteure.
Glace à la banane
Pour 1 personne
1 grosse banane bien mûre
Assortiments au choix: pépites de chocolats ou fruits frais
Préparation: 5 minutes
Congélation: au moins 2 heures
Epluchez et tranchez la banane. Congelez les tranches pendant au moins 2 heures, en prenant soin qu'elles ne se collent pas entre elles.
Quand les tranches ont bien durci, sortez-les du congélateur et mixez-les.
Ajoutez un assortiment et dégustez sans attendre.
A noter: la glace ne doit pas être recongelée. Elle se déguste dès sa réalisation.
L'astuce: Si vous ne savez pas quoi faire de vos peaux de bananes (bio), elles peuvent servir en dehors de la cuisine. "C'est un bon fertilisant qui peut donc être mis dans le sol, si on a un jardin."
Pommes: épluchures et trognons en sirop
Les pommes se gâtent facilement. Il suffit d'un petit coup sur le fruit. "Si un petit bout est pourri, il suffit de l'enlever, le reste est toujours bon à consommer." Et quand les pommes sont toutes flétries? "On peut les faire en compote. Ou préparer une tarte aux pommes sur lit de compote, en tapissant le fond de la tarte de la compote et en mettant les pommes moins abîmées en tranche dessus."
Pour ceux qui consomment des pommes bio, Stéphanie Faustin propose une recette originale à base d'épluchures et de trognons. "A consommer comme un sirop classique, pour imbiber un gâteau, napper un dessert…"
Sirop d'épluchures et de trognons de pommes
Pour environ 30 cl
250 g d'épluchures et trognons de pommes
250 g de sucre de canne blond
50 cl d'eau
1 giclée de citron
3 cm de gingembre en fines lamelles
Préparation: 5 minutes
Cuisson: 35 minutes
Mettez tous les ingrédients dans une casserole et portez à ébullition.
Baissez ensuite un peu le feu et faites mijoter à petits bouillons pendant environ 30 minutes.
Le liquide doit devenir sirupeux, se concentrer, les fruits deviennent confits, plus brillants.
Retirez du feu, filtrez en pressant les fruits pour en extraire le jus. Mettez en bouteille et laissez refroidir avant d'entreposer au frais. Se conserve ainsi environ 2 mois.
Pour en savoir +
Fraises, myrtilles, framboises, cerises, mûres, cassis et groseilles. Autour de ces 7 fruits rouges, Stéphanie Faustin propose 25 recettes, dans son livre "Fruits rouges zéro déchet", éditions Rue de l'Echiquier, qui vient de sortir.
https://www.ruedelechiquier.net/auteurs/112_st%C3%A9phanie-faustin
Résines Esterel Azur est un Chantier d'insertion, structure de l'Insertion par l'Activité Économique. Autrement dit, les bâches du festival de Cannes, on va les recycler, même les "upcycler" pour en faire des trousses. C'est écolo, €co et valorisé.
Pour l'ouverture du 76e Festival de Cannes, c'est tout un branle-bas de combat qui s'organise, ne serait-ce que pour l'installation des grandes bâches, affiches officielles du Festival. Si cette année Catherine Deneuve orne l'affiche, une fois terminé, le Festival peut simplement jeter les bâches… Ou bien les upcycler !
Résines Esterel Azur pour "upcycler" les Festival de Cannes
Dans le quartier de La Bocca, à Cannes, Résines Esterel Azur donne un second souffle aux affiches du Festival de Cannes. D'affiches du Festival, elles deviennent sacs, pochettes et paniers qui sont fabriqués et vendus sur place par des personnes en insertion professionnelle. Si le tout est fabriqué dans les ateliers par ces personnes en réinsertion professionnelle, les objets fabriqués à partir de ces bâches sont à retrouver dans la boutique Résines Estérel Azur, rue Saint-Vincent-de-Paul à Cannes-La-Bocca.
Résines Esterel Azur, c'est une association avant toute chose. Du 100 % Made in Cannes puisque l'atelier se trouve non loin de la boutique/point de vente. L'association accompagne des personnes en recherche d'emploi et qui le sont depuis longtemps. L'objectif n'est pas de les introduire dans le milieu de la maroquinerie ou de la mode, mais simplement de leur donner une activité intuitive, intéressante le temps pour eux de retrouver un emploi dans lequel ils retrouveront confiance.
3115, NUMÉRO D'URGENCE VETERINAIRE GRATUIT
depuis un téléphone fixe ou depuis un mobile (tous opérateurs confondus),
En cas de maladie ou d'accidents, vous serez alors directement mis en relation avec l'accueil d'un Vétérinaire de Garde à proximité de chez vous.
Source le chat libre azuréen
Contrairement à la Roquette, Pégomas a "plutôt été épargnée par les cambriolages en ce début d’année", révèle Julien Navarro, commandant de la communauté de brigades de Mandelieu. Peut-être la preuve que la chaîne de vigilance instaurée par la municipalité (via ses vignettes "Pégovigilants") porte ses fruits, avec déjà 240 référents volontaires pour ouvrir l’œil dans les 12 quartiers (en complément de la vidéosurveillance et des patrouilles de police). Mais cela n’empêche pas policiers municipaux et gendarmes de rappeler quelques règles établies sur les intrusions à domicile.
"Certains cambriolages se font d’après des repérages extérieurs où les malfrats remarquent une belle maison, une voiture, un accès facile et des signes extérieurs de richesse... mais il y a aussi beaucoup de cambriolages d’opportunité, avec des équipes qui passent d’une commune à l’autre et profitent d’une absence..."
Signaler tout de suite le suspect et l’inhabituel
Raison de plus pour multiplier les indices de présence telles qu’une lumière allumée le soir, le passage d’un voisin pour relever le courrier, du jardinier, les aboiements d’un chien de garde... Sans oublier de remplir le formulaire "tranquillité vacances" (sur internet ou en gendarmerie) afin que les patrouilles se multiplient devant le domicile durant des congés.
"Mais attention, certains intrus visitent les maisons alors que les propriétaires dorment sur place ou mangent dehors sur la terrasse."
Les pégovigilants, mais aussi chaque voisin, doivent donc être attentifs au moindre évènement suspect dans le quartier, et composer le 17 en cas de doute.
"On préfère se déplacer pour rien plutôt qu’une fois le cambriolage commis, insiste le capitaine Navarro. On a même vu des cambrioleurs utiliser un camion de déménagement durant un week-end. L’idéal est de relever la plaque d’immatriculation et le type d’un véhicule.
Des "lanceurs d’alerte", pas des cow-boys!
Des citoyens qui donnent l’alerte, mais pas des cow-boys : "Surtout ne prenez pas d’initiative à l’encontre des cambrioleurs, il faut laisser faire les forces de l’ordre!"
Quant à ceux qui s’absentent du domicile, quelques conseils pour éviter une mauvaise surprise:
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Bien fermer ses fenêtres et sa porte à clé.
-
Cacher ses objets de valeur dans des endroits inhabituels, c’est-à-dire ailleurs que dans la chambre ou dans le salon.
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Ne pas accrocher toutes ses clés (voiture, garage… juste à l’entrée).
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Ne pas signifier son absence sur les réseaux sociaux (avec des photos de vacances par exemple).
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Multiplier les obstacles à un accès (grillage, portail…).
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Ranger son matériel de jardinage ou ses outils, qui peuvent être utilisés par des intrus.
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Prendre des photos des objets de valeur et enregistre leurs numéros de série, pour les assurances au cas où.
Et en cas de cambriolage, malheureusement, composer le 17 sans rien toucher, afin de laisser la police scientifique réaliser ses relevés d’empreintes et d’ADN.
Les balles tapent, rebondissement et ricochent sur les courts du tennis du chemin du Vallon-des-Vaux, à Cagnes-sur-Mer, ce dimanche 7 mai. Dorian Navarro observe, analyse. Le champion, numéro un français de padel, mesure l’adversaire. Mains rivées sur les roues de son fauteuil, muscles tendus, il ne rate aucun coup et se prépare à entrer dans l’Acacias Open. Il veut gagner. Comme il l’a toujours fait depuis sa vie d’avant.
Sa vie d’avant s’est brisée le 16 juillet 2017. Ce matin-là, ce pompier volontaire cagnois de 19 ans campait dans un coin paumé, entre le Gard et la Lozère, un bout de vert où il passait ses vacances d’enfance.
Il était tôt, le jour n’était presque pas levé. 6 heures ou un peu moins, peu importe.
Pour le réveiller, ses potes ont lancé un "jeu à la con": tirer sa tente avec une voiture dans le pré.
40km/ heure, un pin sur le chemin, le choc. Puis, un lit d’hôpital, murs blancs, trou noir, vertèbres fracassées et morphine en perf’ pour étouffer la douleur.
"La sentence était irrévocable"
"L’interne nous a dit, comme ça, que Dorian ne marcherait plus jamais, qu’il était paraplégique. Sa mère a poussé un cri de bête comme si elle était poignardée", se souvient Fabian, le beau-père de Dorian.
Il est, lui aussi, pompier dans les Alpes-Maritimes. Des drames, il en a vus; celui-ci est le sien, intime. Et la colère est toujours là.
Il y a eu un procès l’année dernière. Dorian hausse les épaules: "Pas de prison ferme, un peu de sursis, rien, ils ont rien pris…"
Lui a pris perpète. Toute sa première vie est morte dans ce pré. Condamné à rester assis dans un fauteuil. Mais il a choisi de rester debout.
"La sentence était irrévocable. J’ai fait neuf mois de rééducation dans un centre à Nîmes. Il fallait tout réapprendre. Apprendre un nouveau corps qui n’est pas forcément votre ami. J’avais le choix entre me morfondre ou avancer", sourit-il.
Alors il a avancé, "même si le chemin de la résilience n’est pas un algorithme: il y a des hauts, des bas…" Doucement, il reprend le sport. Le tir à l’arc, le ping-pong.
"C’était le jour de mes 20 ans"
En mars 2018, il rentre chez lui. "C’était le jour de mes 20 ans". La vie devant soi malgré le drame. Il commence le tennis fauteuil à l’US Cagnes.
Là, il fait de jolies rencontres. Décisives. Celle d’Ahmed Jeddi, triple champion de France individuel et numéro 1 du Maroc. L’homme est plus âgé. Lui non plus ne marche pas. Il porte, comme Dorian, une douleur que seuls peuvent comprendre ceux qui la vivent. " C’est un de mes mentors. Il m’a mis le pied à l’étrier", raconte Dorian. L’expression les fait éclater de rire. "J’ai vu arriver ce petit jeune. On l’a motivé. Après, il a fait son petit bonhomme de chemin. Il a une âme de compétiteur", témoigne Ahmed.
Une âme forte. Puissante. Un mental d’acier et une incroyable force de résilience. Dorian fait de la compétition, " atteint la place de 10e français, 83e mondial, 69e en double".
Il se bat. Balle après balle. Coup après coup. Et découvre le padel. "Fin 2021, on m’invite à faire le quatrième joueur à Nice".
Une fois, deux fois. Rebonds. Coup de foudre.
"En septembre 2022, je stoppe ma carrière de tennis et je me consacre exclusivement au padel. Je remporte les Masters français avec mon partenaire", retrace Dorian.
Pour la saison 2023, sur quatre tournois français, il a fait " quatre trois victoires et une finale".
Il est aujourd’hui numéro un français de la discipline. Et défend son titre. Comme il a défendu sa vie: "Je ne sais pas s’il est possible d’accepter le drame à 100% mais je refuse de vivre à 50%", sourit le sportif.
Les pesticides sont des poisons qui détruisent tout ce qui est vivant. Ils sont dans l’eau de pluie, dans la rosée du matin, dans le nectar des fleurs
Renseignements: 07.83.15.17.72., coquelicots.mouans@outlook.fr
Découvert par article
https://www.nicematin.com/vie-locale/mouans-les-coquelicots-oui-les-megabassines-non-844029
Le bonus réparation, lancé par le Gouvernement dans le courant du mois de décembre 2022, va connaître une multiplication par 2 à la date du 1er juillet 2023 de manière à engager de plus en plus de consommateurs sur la voie de la durabilité concernant leurs appareils électroniques.
Cette mesure n’est pas isolée, puisque le nombre de détaillants agrées par le Gouvernement pour procéder aux réparations va lui aussi être révisé à la hausse comme intégrer de nouveaux postes de réparation et vise à limiter le nombre de mobiles achetés neufs en favorisant le recours à l’économie circulaire.
A date d’aujourd’hui, l’aide, fixée à 15 €, n’a pas eu de vif succès, car seulement 20 000 clients ont souhaité y avoir recours, ce qui représente une enveloppe de 500 000 € distribuée pour les soutenir dans le cadre de la réparation de leur matériel, alors que le Gouvernement tablait plutôt sur une ligne budgétaire globale de 62 millions d’euros.
Le montant pourrait d’ici quelques semaines passer à 90 € en fonction du matériel pris en charge :
30 € pour un aspirateur, une perceuse ou une trottinette électrique ;
50 € pour du matériel ménager plus important comme un lave-linge, une tablette, ou bien encore un smartphone ;
60 € pour une télévision ;
90 € pour un ordinateur portable.
Le ministre de l'Intérieur a acté la fin des retraits de points pour les excès de vitesse de moins de 5 km/h, a-t-on appris ce mercredi. Cette mesure entrera en vigueur le 1er janvier 2024.
La tomate est une espèce majeure chez le jardinier amateur, notamment dans le Sud et c’est un légume composé à 95% d’eau. Donc elle en a besoin pour se développer. Pour autant, on peut continuer à en planter à condition d’adapter ses pratiques", pose Raphaël Tisiot, ingénieur d’expérimentation sur la tomate pour le CTIFL, basé à Nîmes. Voici les 7 informations à absolument connaître pour les faire pousser avec le moins d’eau possible.
#1 Transformer son sol en "éponge"
Avant de mettre ses tomates en terre, une bonne connaissance de son sol s’impose. "Certains retiennent moins l’eau que d’autres, comme les sols très sableux. Il suffit de jeter un seau d’eau sur du sable à la plage pour s’en rendre compte", note Raphaël Tisiot, qui préconise de faire une petite expertise de sa terre avant de planter.
Comment? Rien de plus simple: "On humidifie sa terre, on forme avec ses mains une motte puis on façonne un boudin, comme on le ferait avec de la pâte à modeler pour former un serpent. Si on peut faire ce boudin très fin pendant longtemps, c'est qu’il y a beaucoup d’argile dans le sol donc qu’il retient l’eau. Si, à l’inverse, il se brise tout de suite et part en poussière, c'est qu’il y a beaucoup de sable et donc que le sol retient moins l’eau."
Dans ce cas, il faut l'enrichir le sol: "en y apportant de la matière organique (du compost, des déchets de tontes…), on modifie sa structure pour un faire une éponge qui retiendra mieux l’eau", explique notre expert.
#2 Protéger sa terre
Une fois le sol prêt, il est temps de venir y mettre ses plants. Et, là encore, il y a un coup à prendre pour les rendre plus résistants aux aléas du climat, notamment au manque d’eau. "Quand on met sa motte en terre, il faut d’abord griffer la terre sur quelques centimètres autour, pour faire une sorte de “mini-labour“ afin que la pluie pénètre plus facilement dans le sol", conseille Raphaël Tisiot. Seconde étape, absolument "indispensable", dixit notre expert tomates: recouvrir son sol de paille.
"Un sol nu évapore l’eau beaucoup plus facilement. Avec un paillage, on divise par 3 la quantité d’eau à mettre dans le sol. Ça va aussi limiter l'apparition de mauvaises herbes qui entrent en concurrence avec la tomate en puisant, elles aussi, de l’eau."
#3 Choisir les bonnes variétés
"Il n’y a pas de variétés de tomates spécifiquement adaptées à la sécheresse. Néanmoins, il y a des typologies de fruits à privilégier", prévient Raphaël Tisiot. Plus la tomate est grosse, plus elle sera gorgée en eau donc en aura besoin pour pousser. Notre expert conseille ainsi aux jardiniers amateurs de privilégier des tomates au calibre plutôt petits: tomates cerises, grappes, poires, plutôt que cœur de bœuf, par exemple.
#4 Soigner son arrosage
"Toutes les tomates vont pouvoir résister à des apports d’eau moins fréquents, à condition de bien les y habituer", prévient notre spécialiste. Pour cela, il faut maîtriser sa stratégie d’arrosage dès la plantation. "Si on donne dès le début de l’eau à profusion et trop souvent à sa plante, elle va devenir feignante: sachant qu’elle aura toujours de l’eau en surface, elle va faire peu de racines et ne va pas les développer en profondeur", explique Raphaël Tisiot.
Il livre la bonne méthode d'arrosage à adopter: "à la plantation, on va faire un arrosage conséquent pour imbiber la terre, puis laisser passer une semaine à 10 jours avant d'arroser de nouveau la plante. Les racines vont ainsi suivre le trajet de l’eau dans la terre et s’habituer à la chercher en profondeur".
À savoir aussi: la plante consomme moins quand elle est petite que quand elle est grande. "Quand elle est encore une jeune pousse, on lui donne entre 1 et 2 litres, une fois tous les 5 jours. Entre 3 et 4 litres tous les 5 jours, quand elle est grande." Et on ne dégaine pas le tuyau à midi: "l’arrosage, c’est le soir ou le matin", précise Raphaël Tisiot.
#5 Entretenir ses plantes
Pour aider ses tomates à survivre en période de sécheresse extrême, le sécateur peut être un outil utile. "Les feuilles les plus basses de la plante sont aussi les plus vieilles, donc celles qui fonctionnent le moins. Mais elles continuent de transpirer. Si on les supprime ces feuilles, on supprime de l'évapotranspiration donc on préserve de l'eau", prévient Raphaël Tisiot du CTIFL.
Comment repérer à quel niveau couper? "Souvent, les feuilles qui sont sous le bouquet récolté ne sont plus utiles", précise-t-il. Un double avantage car ces feuilles, en prise avec le sol, sont aussi aux premières loges pour attraper des maladies (champignons, mildiou) qui menacent le développement de la plante.
#6 Abriter ses plants
"85% des tomates produites en France par les professionnels poussent sous serre en verre", éclaire Eric Brajeul, responsable du programme serres et abris au sein du CTIFL. Des équipements qui permettent de créer une situation optimale pour les plants en les mettant à l’abri des aléas climatiques mais aussi des ravageurs.
À l’échelle d’un particulier, l’option la plus pertinente est d’opter pour la pose d’un petit tunnel, dans un endroit bien exposé du potager. "Il s’agit d’une structure métallique recouverte d’un film plastique qui protégera la plante sans la priver néanmoins du soleil dont elle a absolument besoin pour se développer", détaille Raphaël Tisiot.
Quand le mercure grimpe trop, les amateurs dotés de ce type de structure ont une botte secrète pour éviter que leurs tomates ne dépérissent: "l’idéal est d’apposer sur le plastique une peinture blanche: un lait de chaux qui va avoir pour effet de limiter le rayonnement autour de l’abri", ajoute le spécialiste. Bon à savoir car, si les tomates aiment la chaleur, la formation des fruits se trouve perturbée dès qu’on commence à atteindre les 30 à 35°C.
#7 Sélectionner ses graines
Vous avez identifié dans votre potager un plant plus résistant qu’un autre, un warrior qui semble moins souffrir des chaleurs ou de la sécheresse? Gardez-en des graines en fin de saison.
"C’est ce qui est fait depuis des millénaires et a permis l'évolution des productions agricoles. Au paléolithique, quand les humains ont commencé à cultiver, on sait qu’ils gardaient les plus beaux épis de blé, les graines, pour les reproduire. C’est aussi possible au niveau amateur", conclut Raphaël Tisiot.
Au Nord de Montpellier, Pascal et Rachel Poot, agriculteurs professionnels, s’adonnent à ce travail de sélection sur la tomate depuis plus de 30 ans. "Il faut garder les semences des dernières tomates en fin de saison, conseillent-ils.
Site officiel du Département des Alpes-Maritimes. Consultez l'ensemble de l'actualité des Alpes-Maritimes et prenez connaissance de l'ensemble des aides et services mis en œuvre par la collectivité départementale
Découvert par article nice matin https://www.nicematin.com/people/il-ny-a-pas-de-plus-belle-region-entretien-avec-denis-brognart-parrain-de-la-nouvelle-edition-des-jardins-de-la-cote-dazur-837444
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Découvert par Groupe Facebook les voisins de Mougins le haut. Publi du 30/03/2023
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Menton et alentours
Nom: A.D.E Méditerranée.
Les principales actions: préservation de la biodiversité et des écosystèmes de la mer Méditerranée. L'action s'appuie sur la création d'Aires-Marines-Éducatives pour permettre aux élèves de CM1, CM2 et jusqu’à la 3e de s’approprier et de gérer de manière participative une portion de littoral. Création de sentiers subaquatiques, pour sensibiliser populations et touristes à la préservation, création du pôle corail, études de la posidonie des espèces endémiques…
Tous les profils de bénévoles sont les bienvenus. Parents, étudiants, retraités...
Contact: ademediterranee@gmail.com
Site internet
Nom: Aspona.Association pour la sauvegarde de la nature et des sites de Roquebrune Cap Martin, Menton et environs.
Actions: œuvrer pour la sauvegarde des paysages, des milieux naturels et marins de Menton, Roquebrune et les environs. Combat contre l'artificialisation du trait de côte.
Contact: info@aspona.org
Site internet
Villefranche-sur-Mer, Saint-Jean Cap Ferrat, Beaulieu
Nom: Anao l’aventure sous marine.
Action: Nettoyage sous l'eau, de Nice à Cap d’Ail. Les bénévoles remontent des déchets immergés dont l’inventaire est explicite : pneus, plastiques, bouteilles, caddie de supermarché, batteries, câbles, chaises, drones, cordages, sacs, matériaux de chantier, barrières, emballages…
Contact: e.duliere@orange.fr
Site internet
Nom: Bleu Gorgone
Action: Préservation du milieu aquatique méditerranéen. De Nice à Villefranche- sur-mer, nettoyage des plages, sous l'eau en plongée bouteille, ramassage de déchets de tous type, tri,, recyclage… Opérations de sensibilisation.
Contact: asso.bleugorgone@gmail.com
Site internet
Nice, Cagnes-sur-mer
Nom: Agirrr
Action: Ramassage hebdomadaire de déchets et sensibilisation sur les plages, à Nice sous le nom de Nice Plogging, à Cagnes sur Mer sous le nom de Cagnes Plogging.
Contact: Tél. 09.50.50.57.30.
contact@agirrr.fr
Site internet
Nom: Project rescue Océan
Action: Sur la plage et sous l'eau, ils invitent les bénévoles à ramasser les déchets.
Contact: arnaudlivet66@gmail.com
Page facebook
Nom: Handi Plogging
Action: Nettoyage des déchets sur la plage, dans la nature, sensibilisation. A Nice, Vence, Cagnes-sur-mer,Cannes.
Page facebook
Antibes-Vallauris Golfe Juan
Nom: Les promeneurs utiles
Action: Nettoyage, chaque week-end, des déchets sur les plages et le long des rivières à Vallauris et Golfe-Juan.
Contact: lespromeneursutiles@gmail.com
Nom: Les Fonds Bleus 06
Action: Tous les mardis, ils plongent pour nettoyer les fonds marins à Antibes Juans-les-Pins.
Site internet
Nom: Project rescue Océan
Action: Sur la plage et sous l'eau, ils invitent les bénévoles à ramasser les déchets.
Contact: antibespro@gmail.com
Page facebook
Cannes
Nom: NaturDive
Action: étudier, préserver, restaurer et protéger l’environnement marin de l'Esterel à Monaco. Les actions se déclinent en plusieurs volets (aires marines éducatives), protection de la Posidonie, retrait de filets fantômes, sciences participatives, etc... .
Contact: contact@naturdive.com
Site internet
Sur tout le littoral
Nom: Surfrider Fondation
Action: Nettoyage des déchets sur les plages et le long des rivières. Sensibilisation du grand public et des décideurs sur les enjeux et impacts du changement climatique.
Contact: med@surfrider.eu
antenne06@surfrider.eu
Tél. 06.98.23.16.06
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Decouvert par article nice matin https://www.nicematin.com/economie/quatre-startups-de-la-region-sud-recompensees-pour-leur-hypercroissance-836725
application de livraison entre particuliers qui mêle l‘esprit de communauté de BlaBaCar et l’instantanéité d’Uber.
"Ce sont des particuliers qui livrent à d’autres particuliers des colis à domicile en deux heures en ville comme à la campagne."
Déjà référencée auprès d’Intermarché, Auchan, E. Leclerc, Systeme U, Leroy Merlin..., Tut Tut répond aux défis climatiques et sociaux actuels en permettant aux particuliers-livreurs de rentabiliser leurs trajets et de satisfaire les besoins de livraison des commerçants. "Nous sommes aussi écologiques puisque les véhicules sont déjà en circulation et cochons les cases sociale et sociétale. Avec notre la livraison instantanée dans un rayon de 30km du point de retrait, nous apportons une innovation en zone rurale là où cela n’existait pas."
Ça reste un parking gratuit, il n’y a aucun enjeu financier", avait encore assuré le maire. Oui, mais non. Enfin pas tout à fait. Car la Ville précise désormais que si le parking reste gratuit en journée, il deviendra néanmoins payant du 1er mai et jusqu’au 30 septembre, à partir de 21h le soir jusqu’à 6h du matin le lendemain. Durant cette tranche horaire nocturne, il faudra s’acquitter d’un forfait de 5 euros. Le stationnement sera également limité à 48 heures.
Ce 18 mars, c’est la Journée mondiale du recyclage. Mais derrière ce mot, quelles réalités pour nos déchets? De 2013 à 2020, Flore Berlingen a été directrice de l’association Zéro waste France qui promeut la réduction des déchets à la source. Autrice de plusieurs enquêtes sur le sujet, dont "Recyclage, le grand enfumage", elle alerte sur une économie circulaire trop souvent "alibi du jetable" et plaide pour des solutions plus durables.
Aurélie Selvi - aselvi@nicematin.fr Publié le 18/03/2023 à 08:30, mis à jour le 18/03/2023 à 08:39
Pourquoi on en parle?
Selon l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie, 29% des Français, et même 33% des plus de 55 ans, placent les déchets ménagers ou plastiques parmi les problèmes environnementaux "les plus préoccupants". Et nous en produisons beaucoup. En 2021, un Français jetait en moyenne 561 kg de déchets par an, selon Eurostat, l’organisme de statistique de l’Union européenne. Soit 31 kilos de plus que la moyenne européenne. Face à ces volumes importants, le recyclage est souvent présenté comme la solution providentielle. Une lecture qui "dissimule la réalité", met en garde Flore Berlingen, autrice de l’enquête Recyclage, le grand enfumage*. Elle livre son analyse:
"La réalité, c’est que nous sommes dans une surproduction du fait de l'omniprésence du jetable dans notre vie. Il y a les objets et emballages à usage unique mais aussi toute une partie de nos biens de consommation qui ne sont pas suffisamment durables: vêtements, mobilier, équipements électroménagers et électroniques... C’est du jetable élargi. Le recyclage est présenté comme une solution pour rendre tout ça soutenable et c'est là que réside l'illusion", analyse-t-elle.
La vérité sur les filières de recyclage
"Cela prend des années, voire des dizaines d'années, de mettre en place ces filières de recyclage. Il ne suffit pas que la technologie existe. Pour passer de recyclable à recycler, il faut cocher pas mal de cases. Il faut le geste de tri, un point de collecte, une logistique, un centre de tri, des technologies de recyclage à un stade mature, des usines pour prendre en charge les flux de matière. Il faut que celles-ci puissent être soutenables économiquement donc qu’il y a ait une demande de matière recyclée à des prix suffisamment élevés pour que ça rémunère correctement les acteurs de la chaîne. Bref, cela fait énormément de conditions à réunir pour que techniquement et économiquement et logistiquement ce soit possible. C'est pour ça que, très souvent, un objet ou un emballage qualifié de recyclable et n’est en fait pas recyclé."
"En France, le choix, par les producteurs ou conditionneurs, de matériaux non recyclables entraîne ainsi le gaspillage de 500.000 tonnes de matières plastiques chaque année, dont la seule destination possible est l’incinérateur ou la décharge".
Flore Berlingen
"Il y a eu une évolution car le recyclage a subi beaucoup de critiques, je n’ai pas été la seule à porter ce message. Depuis 2019-2020, il y a eu une multiplication des reportages, des enquêtes (Les Plastiqueurs, de Dorothée Moisan, Sur le front - La Face cachée du recyclage…). Cela a mis la pression sur les responsables des filières pour aller plus loin. Mais ce n’est pas suffisant."
Comment réduire l’utilisation du plastique?
"C’est d’abord du côté des fabricants et des producteurs qu’il faut agir. Ça ne suffira pas de sensibiliser le consommateur qui est exposé à une pression marketing et commerciale absolument écrasante! On le voit pour les produits suremballés de l’agroalimentaire mais aussi sur les vêtements avec la fast fashion. Comment enrayer la surconsommation si ces géants de la fast fashion continuent leur marketing. Ce qu’il faut, ce sont des leviers réglementaires, fiscaux, pour encadrer la production. Cela peut paraître radical mais je revendique le fait qu’on encadre plus la liberté d’entreprendre. Si elle se traduit par la mise sur le marché de produits absolument nocifs pour notre environnement, notre avenir, notre santé, cela n’a plus aucun sens.
Pour le consommateur, la première étape pour le faire, c’est de prendre conscience du côté hyper récent de tout ça et du fait que revenir à un niveau de consommation plus raisonnable, c'est pas revenir à l'âge des cavernes.
Les premières bouteilles en plastique apparaissent dans les années 1960. Les pots de yaourt en 1971. La bouteille d’eau petit format est apparue au début des années 1990, les gourdes de compote individuelles en 1998", Flore Berlingen, autrice de Recylage, le grand enfumage
"J’ai l’impression que cette réalité-là n’est pas vraiment perçue. On met souvent en cause les boomers et les Trente Glorieuses en disant que c’est à ce moment-là qu’on est passé dans l’air de la surconsommation. En vérité, ça s'est exacerbé depuis les années 90 et 2000."
La consigne des bouteilles en plastique, une bonne idée?
Le Ministère de la Transition écologique a lancé une concertation sur la mise en place éventuelle de la consigne de bouteilles en plastique. "Ce sujet-là me désespère un peu. On en est à se focaliser sur comment mettre la main sur ces fameuses bouteilles en plastique et quid du reste des déchets qui sont tout aussi polluants, qui ont moins de valeur économique? Et de la réduction du nombre de bouteilles en plastique qu’on utilise? La pertinence serait de parler de réemploi, et il n’y a pas que la consigne qui permet de se débarrasser des emballages! Le fait de réutiliser ses propres contenants, de plus facilement se faire servir dans sa bouteille réutilisable ou dans sa boîte est une solution qui est déjà à l'œuvre à certains endroits mais pour laquelle il n’y a pas d’incitation massive, même si c’est autorisé."
Contre le tout emballage, de multiples alternatives
Chaîne de lavage des bouteilles et bocaux, soutien au vrac, standardiser les emballages pour faciliter leur réemploi… De nombreuses alternatives existent ça et là. "C’est complètement des choses à faire avancer et certaines avancent. Il existe de nombreux projets dans le champ de la consigne clé en main avec lavage. Il faut viser une panoplie de solutions différentes et non pas une solution unique standardisée pour ne pas reproduire les logiques qui nous ont amené là où on en est. Favoriser des circuits de production et de consommation hyper locaux en est une."
Quand on a une vente directe entre un producteur et un consommateur, on utilise moins d‘emballage autour du produit, pour le transport, etc.", Flore Berlingen
"Et des mécanismes de réemploi peuvent très facilement s'appliquer dans ce cadre là: vous pouvez ramener votre boîte d'œufs, vos bocaux, vos cagettes au producteur. Chaque territoire peut d’ailleurs localement imaginer sa solution et sa propre boucle. On a tellement ce logiciel de l’industrie et de la grande échelle en tête qu’on veut forcément faire la même chose en réutilisable. Au contraire! Il faut essayer de déconstruire d’abord les choses et de voir quelles sont les solutions les plus simples."
*Recyclage, le grand enfumage - Comment l'économie circulaire est devenue l'alibi du jetable, Flore Berlingen, éd. Rue de l'Echiquier.
Découvert par blog LHV
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