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Une crème à appliquer, deux fois par jour. L’Opzelura devient ainsi le premier et le seul traitement approuvé par la FDA pour la repigmentation chez les patients atteints de vitiligo. Une victoire pour les patients, à laquelle le CHU de Nice a participé en 1re ligne.
Ce péage ne serait pas indispensable, car il se trouve entre deux autres péages, celui de la Turbie et celui d'Antibes sur l'A8.
Les tarifs sur l'autoroute ne devraient pas changer, puisque les deux péages qui entourent celui de Saint Isidore pourraient augmenter.
Sur le site vous trouverez des informations sur les cosmétiques et un moteur de recherche INCI pour connaitre la composition de vos produits de beauté
Découvert par lien Mam's https://jlionne.com/shaarli2/shaare/MZUVnQ
Liste des ingrédients INCI classés par ordre alphabétique - Moteur de recherche ingrédients.
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Richard Galy, le maire de Mougins (Alpes-Maritimes), présente l'institut du cancer à l'hôpital privé de sa commune. Un service supplémentaire pour les habitants et surtout un service plus rapide et simplifié.
Le parcours appelé "Tout en un jour" permet à un patient de passer par l'ensemble des services compétents en quelques heures. "La personne peut être dépistée et prise en charge dans la foulée pour les premiers diagnostics", explique Richard Galy, maire de Mougins et lui-même médecin. "C'est un gain de temps précieux, précise-t-il. Et c'est surtout 120 médecins sur le même lieu".
Nice propose déjà un institut du cancer mais avec ce lieu privé, la commune de Mougins, à l'ouest du département, espère rapprocher les soins du patient.
Un mardi matin dans les locaux de l’organisme de formation Isatis, spécialisé dans l’intégration des personnes souffrant de troubles psychiques à Nice. L’odeur du café imprègne la salle, au fond, un écran s’apprête à diffuser une vidéo. Douze participantes sont installées autour de trois tables.
Julie Barbe, 38 ans, les accueille. Cela fait deux ans que cette assistante sociale de profession dispense des formations de premiers secours en santé mentale.
"Dans le cadre de mon travail, j’ai affaire à des gens en détresse psychologique ou souffrant de troubles mentaux. Souvent, ils sont stigmatisés et ça ajoute à leur désarroi. La formation de premiers secours en santé mentale permet de déconstruire des préjugés."
Un premier pas pour prendre en charge les troubles mentaux.
Une prise en charge pas comme les autres
Né dans les années 2000 en Australie, ce programme a été inscrit parmi les 25 priorités du programme de santé publique adopté par le gouvernement le 26 mars 2018.
L’idée? Proposer à des citoyens de devenir secouristes en santé mentale, afin d’assister les personnes en difficulté. Une prise en charge qui présente certaines spécificités.
Un secouriste en santé mentale devra souvent intervenir à plusieurs reprises pour écouter, rassurer et accompagner la personne concernée vers le soin", écrit ainsi l’organisme Santé mentale France, qui coordonne le projet sur le territoire.
Une difficulté soulignée par les chercheurs et professionnels en santé mentale Jacques-Philippe Leyens et Nathalie Scaillet dans leur ouvrage phare "Sommes-nous tous des psychologues" : "Mieux sait-on ce qui se passe et comment fonctionnent les choses, mieux est-on à même de réagir".
Se forger une culture en santé mentale
Pendant deux jours, Julie Barbe propose, elle, la formation standard, réservée aux adultes.
Au programme, comprendre les troubles psychiques et les troubles anxieux, agir en cas de pensées et intentions suicidaires, distinguer une crise d’angoisse d’une attaque de panique. Une culture en santé mentale qui permet aux citoyens de se sensibiliser à des troubles souvent méconnus et stigmatisés.
"Les troubles psychiques? Ce sont de vrais problèmes de santé que les gens ne savent pas affronter. Chacun a sa sensibilité, ça dépend du parcours des personnes. Avec la formation PSSM, on est le premier maillon."
Apprendre à agir
Dans la salle d’Isatis, que des femmes. "Mais c’est la première fois que ça m’arrive", souligne Julie Barbe. Beaucoup ont fait la démarche, seules, de payer la formation au montant de 250 euros. Les motifs divergent.
"Je suis venue parce que je voulais apprendre les premiers gestes, explique Soizic, conseillère en insertion professionnelle. Un jour, j’ai assisté à une crise de panique et je ne savais pas du tout quoi faire."
Autour des tables, les participantes travaillent dans les Ressources Humaines, le milieu associatif. Certaines ont dû affronter la maladie de proches atteints de troubles psychiques.
Se glisser dans la peau de ceux qui souffrent en recréant des dialogues, commenter des témoignages de personnes atteintes de troubles, revenir sur les idées reçues, apprendre à amener le sujet sur la table, agir en cas de crise psychique, le problème est exploré sous toutes les coutures.
"Quand vous avez une vie normale, plein de subtilités vous échappent", poursuit Soizic.
Nice-Matin
RÉGION FRANCE VAR
Et si on se formait au brevet de premier secours en santé mentale?
Alors qu'un Français sur 5 est touché chaque année par un trouble psychique et que les syndromes dépressifs ont doublé après le 1er confinement chez les 15-24 ans si on misait sur la prévention? Il y a 3 ans, une formation aux premiers secours en santé mentale a été lancée en France, elle a été suivie par plus de 32.283 femmes et hommes. L'enjeu: comprendre les troubles pour assister les personnes en difficulté. On a participé à une session à Nice.
Flora Zanichelli
Publié le 13/10/2022 à 19:30, mis à jour le 13/10/2022 à 17:49
La formation permet de faire de la prévention en matière de souffrance psychique. Photo iStock
Un mardi matin dans les locaux de l’organisme de formation Isatis, spécialisé dans l’intégration des personnes souffrant de troubles psychiques à Nice. L’odeur du café imprègne la salle, au fond, un écran s’apprête à diffuser une vidéo.
Douze participantes sont installées autour de trois tables. Devant elles, des carnets déjà ouverts et un Manuel des premiers secours en santé mentale, distribué par Isatis.
Les gens en détresse psychologique sont souvent stigmatisés et ça ajoute à leur désarroi
Julie Barbe, 38 ans, les accueille. Cela fait deux ans que cette assistante sociale de profession dispense des formations de premiers secours en santé mentale.
"Dans le cadre de mon travail, j’ai affaire à des gens en détresse psychologique ou souffrant de troubles mentaux. Souvent, ils sont stigmatisés et ça ajoute à leur désarroi. La formation de premiers secours en santé mentale permet de déconstruire des préjugés."
Un premier pas pour prendre en charge les troubles mentaux.
La formation au Premiers secours en santé mental, qui a été suivie par plus de 32 000 personnes. Elle permet de faire de la prévention en matière de souffrance psychique. Cyril Dodergny.
Une prise en charge pas comme les autres
Né dans les années 2000 en Australie, ce programme a été inscrit parmi les 25 priorités du programme de santé publique adopté par le gouvernement le 26 mars 2018.
L’idée? Proposer à des citoyens de devenir secouristes en santé mentale, afin d’assister les personnes en difficulté. Une prise en charge qui présente certaines spécificités.
Mieux sait-on ce qui se passe et comment fonctionnent les choses, mieux est-on à même de réagir
"Un secouriste en santé mentale devra souvent intervenir à plusieurs reprises pour écouter, rassurer et accompagner la personne concernée vers le soin", écrit ainsi l’organisme Santé mentale France, qui coordonne le projet sur le territoire.
Une difficulté soulignée par les chercheurs et professionnels en santé mentale Jacques-Philippe Leyens et Nathalie Scaillet dans leur ouvrage phare "Sommes-nous tous des psychologues" : "Mieux sait-on ce qui se passe et comment fonctionnent les choses, mieux est-on à même de réagir".
Julie Barbe est formatrice au PSSM depuis 2020. Flora Zanichelli.
Se forger une culture en santé mentale
Pendant deux jours, Julie Barbe propose, elle, la formation standard, réservée aux adultes.
Au programme, comprendre les troubles psychiques et les troubles anxieux, agir en cas de pensées et intentions suicidaires, distinguer une crise d’angoisse d’une attaque de panique. Une culture en santé mentale qui permet aux citoyens de se sensibiliser à des troubles souvent méconnus et stigmatisés.
"Les troubles psychiques? Ce sont de vrais problèmes de santé que les gens ne savent pas affronter. Chacun a sa sensibilité, ça dépend du parcours des personnes. Avec la formation PSSM, on est le premier maillon."
Apprendre à agir
Dans la salle d’Isatis, que des femmes. "Mais c’est la première fois que ça m’arrive", souligne Julie Barbe. Beaucoup ont fait la démarche, seules, de payer la formation au montant de 250 euros. Les motifs divergent.
"Je suis venue parce que je voulais apprendre les premiers gestes, explique Soizic, conseillère en insertion professionnelle. Un jour, j’ai assisté à une crise de panique et je ne savais pas du tout quoi faire."
Autour des tables, les participantes travaillent dans les Ressources Humaines, le milieu associatif. Certaines ont dû affronter la maladie de proches atteints de troubles psychiques.
Se glisser dans la peau de ceux qui souffrent en recréant des dialogues, commenter des témoignages de personnes atteintes de troubles, revenir sur les idées reçues, apprendre à amener le sujet sur la table, agir en cas de crise psychique, le problème est exploré sous toutes les coutures.
"Quand vous avez une vie normale, plein de subtilités vous échappent", poursuit Soizic.
Pendant la formation, un manuel des Premiers secours en santé mentale est distribué. Flora Zanichelli.
Trouver les bons gestes et les bons mots
"Qu’est-ce qui te ferait du bien?", proposer son aide ou sa simple présence à une personne en crise, laisser place aux silences pour permettre à l’autre de se reprendre, l’orienter vers un professionnel, voilà quelques pistes abordées pendant le cours.
"Ce sont des pistes concrètes que nous explorons au cours des deux jours que durent la formation", poursuit Julie Barbe.
Offrir des pistes de réflexion, également, aux participants, afin de les orienter vers la méditation pleine conscience ou un professionnel adéquat.
Des spécificités que les publics peu avertis ne connaissent pas. Souvent.
Urgence d’agir auprès des jeunes
La formation a été déclinée pour un public jeune. "Un public qui présente ses propres spécificités, explique Mélanie Pasquer Miehe, responsable pédagogique et scientifique adaptation du module chez les jeunes.
Test Diagnostic Rapide (TDR)
ça ressemble au test antigénique pour le covid sauf qu'au lieu de le faire dans le nez, le prélèvement est fait au fond de la gorge et 5 minutes plus tard, on a le verdict.
Ce test existe depuis 2002 mais seulement 40% des médecins généralistes l'utilisent alors qu'il est fourni gratuitement par l'assurance maladie.
Ce test peut se faire sans ordonnance en pharmacie depuis le 1er juillet 2021 mais en pratique encore très peu de pharmacies le proposent?
Ce test permet d'éviter la prescription d'antibiotiques inutilement et donc de limiter l'antibiorésistance, c'est à dire la résistance des bactéries aux antibiotiques.
Résultats du contrôle sanitaire de la qualité de l’eau potable en ligne, commune par commune
Cliquez sur votre région pour accéder aux résultats de qualité de l’eau potable de votre commune.
Dans plusieurs milliers de communes, l'analyse de l'eau du robinet a révélé des niveaux de molécules issues des pesticides au-dessus des seuils de qualité. Votre eau est-elle concernée ? Recherchez votre commune et consultez-en les résultats.
E100 pour les colorants,
E200 pour les conservateurs,
E300 pour les antioxydants,
E400 pour les agents de texture,
E500 à E1505 pour les correcteurs de goût.
Les additifs sont obligatoirement mentionnés sur l’étiquette. Ils peuvent l’être sous la forme d’un code, précédé de la lettre E, ou encore sous un nom plus fréquemment utilisé. C’est le cas, par exemple, de l’E300, autre nom de la vitamine C, utilisée comme antioxydant. Une grande partie de ces additifs est nécessaire, notamment pour assurer la sécurité sanitaire des aliments
FAIRE SON CHOIX
Le choix d’un produit repose sur un compromis entre l’efficacité et le risque pour la santé de l’homme et l’environnement. Le DEET, par exemple, provoque des irritations sévères des yeux et est nocif pour les organismes aquatiques, avec des effets néfastes à long terme.
En zones tropicales où les moustiques sont vecteurs de maladies terribles (paludisme, dengue, chikungunya ou Zika), les produits les plus concentrés, plus toxiques mais plus efficaces, comme le DEET de 30 % à 50 %, sont recommandés. Les femmes enceintes ne doivent normalement pas s’exposer à de tels produits, mais cet usage est toléré en zones à risque élevé de transmission de maladies.
En France métropolitaine où, à l’exception de très rares cas, ni les moustiques « classiques » ni les moustiques tigres ne transmettent de maladies, une protection plus « légère » est appropriée. On choisira des produits à base d’icaridine ou d’huile d’eucalyptus citronné. L’IR3535 a une efficacité souvent moindre, mais son innocuité en permet l’usage sur les petits enfants.
L’âge est un critère. Les répulsifs sont à éviter avant 6 mois. Des protections type moustiquaires sont préconisées. Ensuite, les recommandations varient selon les dosages (voir tableau). Attention aussi chez les femmes enceintes.
En théorie, plus le produit est concentré, plus il est efficace. Mais les tests réalisés par Que Choisir montrent que la formulation joue un rôle crucial. Ainsi le Forclaz spray jaune à 20 % d’icaridine protège plus de 8 h tandis que l’Insect Écran spécial tropiques, malgré ses 25 % d’icaridine, ne protège qu’une demi-heure - c’est clairement insuffisant !
À noter : tous ces produits sont également efficaces contre les tiques.
APPLIQUER CORRECTEMENT
Les répulsifs peuvent réduire l’efficacité des protections solaires. Si vous devez user des deux conjointement, commencez par la crème solaire, puis attendez 20 min avant d’appliquer l’antimoustique.
Quand vous utilisez un spray, ne vaporisez pas directement sur le visage mais dans vos mains, puis étalez en évitant la bouche et les yeux.
Respectez les doses. Pour être bien protégé, plusieurs pulvérisations par application sont nécessaires, à répéter sur chaque zone du corps. Ces indications sont généralement indiquées sur l’emballage. Mais attention, inversement, à ne pas multiplier la fréquence des applications : au maximum 3 fois par jour pour les adultes, parfois moins.
Ne mettez pas de répulsif sur une peau lésée (plaie, brûlure…).
https://www.quechoisir.org/conseils-moustiques-bien-utiliser-les-produits-antimoustiques-n101940/
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Adapté à toute la famille à partir de 2 ans y compris femme enceintes
Efficacité : 6-8h
Un bon produit anti insecte a sa place dans n'importe quelle armoire à pharmacie et doit impérativement être emmené si vous partez trekker en milieu tropical. Principe actif : 20 % Icaridine.
Découvert et recommandé par le test UFC Que Choisir https://www.quechoisir.org/conseils-moustiques-bien-utiliser-les-produits-antimoustiques-n101940/
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Découvert par article Nice Matin https://abonnes.nicematin.com/article/decouvrez-linnovation-myhooxy-nouveau-compagnon-de-coeur-en-e-sante-773301
:: Site officiel des Syndicats Pharmaceutiques de France en charge de l'organisation des gardes ::
CPTS du Pays d’Azur : Mouans-Sartoux/Mougins/La Roquette https://www.cptspaysdazur.fr/page/902065-presentation
CPTS du Pays de Lérins : Cannes et le Cannet https://www.cptspaysdelerins.fr/page/816230-presentation
CPTS Antipolis : Antibes et Vallauris https://www.cptsantipolis.fr/page/877166-presentation
CPTS Val de Siagne : Mandelieu, Pégomas et Théoule https://www.cptsvaldesiagne.fr/page/1614937-presentation
découvert par Article Nice Matin https://abonnes.nicematin.com/article/et-si-des-associations-de-soignants-permettaient-une-meilleure-prise-en-charge-des-patients--737149
Une équipe de professionnels de santé à vos côtés 7 jours sur 7 de 8H à 22h pour vous aider à prendre soin de votre bébé.
Abonnement mensuel 7€/mois accès au chat + contenus adaptés à l'âge de l'enfant
Téléchargement du fichier PDF https://www2.dijon.inrae.fr/senior-et-sens/guide.php
Les 6 années de travaux de recherche RENESSENS ont abouti à un guide pratique « Grand âge et Petit appétit » à destination des personnes âgées et de leurs aidants pour les accompagner dans la prévention et la lutte contre la dénutrition.
La dénutrition touche plus de 2 millions de personnes en France, multiplie le risque de mortalité par quatre, aggrave les maladies existantes et conduit rapidement à la dépendance. Les chercheurs du projet multidisciplinaire RENESSENS (achevé en 2018) ont traduit les résultats de 6 années de travaux de recherche en un guide pratique « Grand âge et Petit appétit » à destination des personnes âgées et de leurs aidants pour les accompagner dans la prévention et la lutte contre la dénutrition.
Des experts de la gériatrie, de la nutrition, du comportement du consommateur, de la psychologie, de la sociologie, des sciences de l’alimentation et de l’industrie ont participé à son élaboration.
Illustré et facile d’accès, ce guide apporte des informations et des conseils pratiques pour repérer les signes d’alerte comme la perte d’appétit ou de poids. Des repères et équivalences nutritionnelles sont proposés pour couvrir les besoins nutritionnels du sujet tout en respectant ses capacités masticatoires et de déglutition ainsi que ses préférences. Le plaisir à manger n’est pas oublié, ni les conditions optimales pour le ressentir (belle table, ambiance paisible, convivialité…). Les idées reçues et croyances alimentaires sont battues en brèche. Des astuces et recettes complètent ce guide ainsi que des portraits de sujets ayant basculé dans la dénutrition suite à un évènement de la vie.
Une section du guide est dédiée aux petits mangeurs, aux situations à risque de dénutrition et aux moyens de couvrir au mieux leurs besoins (adaptation des menus, repas, recettes des plats ou ingrédients). Les compléments oraux ont aussi leur place dans les stratégies d’enrichissement protéino-énergétique de la journée.
Enfin, la notion de sarcopénie (perte de la masse et de la force musculaires liée à l’âge) est expliquée et les moyens de la prévenir par l’activité physique adaptée et un apport protéique adéquats sont décrits.
Découvert par chronique France Info 17/11/2021
Recette un gâteau au chocolat et aux lentilles
• 75 g de lentilles
• 150 g de chocolat noir
• 50 g de beurre
• 1 cuillère à soupe de miel
• 2 œufs
• 1 cuillère à café d’extrait naturel de vanille
• Préchauffez votre four à 180°c.
• Dans une casserole d’eau bouillante, faites cuire les lentilles comme
indiquée sur le paquet. Elles doivent être bien bien cuites.
• Laissez refroidir.
• Séparément, faites fondre le beurre, le chocolat, le miel et la vanille.
• Dans le bol de votre mixeur, versez le mélange beurre, chocolat, sirop d’agave puis ajoutez les lentilles et les jaunes d’œufs.
• Mixez plusieurs minutes jusqu’à l’obtention d’une consistance bien lisse. C’est très important : on ne doit pas sentir de lentilles.
• Battez les blancs en neige bien ferme et incorporez-les délicatement au mélange lentilles-chocolat.
• Versez dans un moule à manqué ou un moule à cake.
• Enfournez pour 20 minutes environ.
• Laissez totalement refroidir puis démoulez.
• Régalez-vous !
Un outil simple et ergonomique pour gérer ses remplacements et recrutements de soignants en toute simplicité.
Découvert par article Nice Matin https://abonnes.nicematin.com/article/la-startup-hublo-leve-22-millions-deuros-pour-gerer-les-remplacements-de-soignants-714981
Née de la fusion de la Whoog (Sophia) et de MedGo (Paris), Hublo vient de lever 22 millions d'euros pour accélérer la croissance de son outil de gestion du personnel soignant remplaçant.
L’idée
En mai 2020, deux startups qui développent des solutions de gestion des ressources humaines dans le médical, unissent leurs forces. De Whoog basée à Sophia Antipolis et de MedGo à Paris, naît Hublo. Le siège reste francilien avec 1/3 des effectifs basé à Sophia, en recherche et développement notamment. Les cinq cofondateurs, Guerric Faure et Antoine Loron, avec Michaël Rabaron, Adrien Beata et Christopher Rydhal, viennent de lever 22 millions d'euros (dans le top 10 des plus importantes levées en série A de France).
Le service
C’est Whoog à Sophia Antipolis qui a dégainé la première avec son outil créé en 2016. Associée à MedGo, la solution permet aux soignants de maîtriser leur planning d’heures supp; et aux cliniques, hôpitaux et Ehpad de mieux gérer le remplacement du personnel. Médecins, infirmiers, étudiants ou retraités de la fonction médicale s’inscrivent sur la plateforme avant d’être "validés" par les responsables. Les cadres diffusent ensuite une mission et attendent les réponses. Plus besoin de passer des heures au téléphone à chercher quelqu’un de disponible. "C’est aussi beaucoup moins intrusif", ajoute Antoine Loron, le CEO basé à Paris.
La plus-value
La simplicité de l’outil, le gain de temps, le tarif attractif pour les structures de soin et l’accompagnement dans un recrutement de qualité, sont les qualités incontestables de cet outil qui représente une centaine d’euros par mois pour un petit Ehpad, et quelques milliers pour un établissement conséquent. Avec la certitude que le ou la remplaçant(e) accepte la mission et a respecté son temps de repos. Les étudiants soignants inscrits gagnent, eux, en expérience.
L’objectif
"Se renforcer côté produit, indique Guerric Faure, responsable Stratégie pour Hublo. Et nous avons de grandes ambitions. Les hôpitaux en France sont peu digitalisés, nous préparons de nouvelles fonctionnalités pour faciliter encore la gestion des ressources humaines dans le milieu médical." Déjà disponibles avec Hublo: la gestion des contrats de manière électronique et la connexion avec d’autres outils en place (logiciel de planning, de paie…).
Le défi
Se développer à l’international. Hublo est déja bien ancrée en France et en Allemagne avec une équipe de cinq personnes à Cologne. L’idée, grâce à cette levée de fonds et surtout grâce aux compétences amenées par les fonds investisseurs, "est de proposer notre offre dans quatre autres pays [encore confidentiel] d’ici 18 mois où le remplacement des soignants pose question." Antoine Loron, CEO, a le sens du développement.
L’investissement
On pourrait penser que la startup est toute neuve (mai 2020). Cependant les deux jeunes pousses qui la composent ont près de huit d’expérience dans le domaine. Si la situation sanitaire que l’on sait a accéléré leur notoriété et l’usage de leur outil de gestion des remplacements des soignants, nombre de structures l’utilisaient déjà. Aujourd’hui, Hublo compte près de 2.800 clients, 400.000 soignants inscrits pour 7.000 missions publiées chaque jour, et affiche une croissance de 80 % de son chiffre d’affaires (non communiqué) sur les 12 derniers mois. "Cette levée de 22 millions d'euros auprès de Revaia et Acton Capital va nous permettre d’embaucher quelque 200 profils qualifiés d’ici fin 2023, en France et à l’international", poursuit Antoine Loron qui annonce déjà 10 recrutements ce mois-ci, portant le nombre de collaborateurs à 80.
Un développement très soigné !