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A l’approche des fêtes de fin d’année, l’Agence régionale de santé (ARS) Provence-Alpes-Côte d’Azur (Paca) souhaite sensibiliser les .
souhaite sensibiliser les usagers sur le « bon usage des urgences » et leur donner des indications sur l’accès aux soins en médecine de ville.
Les services des urgences en France et dans notre région voient chaque année leur nombre de patients augmenter de manière continue, en particulier à l’approche des fêtes, période durant laquelle les épidémies hivernales cohabitent : grippe, Covid et bronchiolite.
Pour anticiper la suractivité de la période de fin d’année, l’ARS Paca, en lien avec les établissements hospitaliers du territoire, relance cet hiver sa campagne de communication à destination des usagers pour les sensibiliser sur le « bon usage des urgences » et leur donner des indications sur l’accès aux soins en médecine de ville.
Des lieux de soins non programmés en Provence-Alpes-Côte d’Azur
Si votre médecin traitant n'est pas disponible et que vous avez besoin de soins immédiats, vous pouvez vous rendre dans une structure de soins susceptible de vous accueillir en journée ou en dehors des horaires classiques (centre de santé, maison de santé, maison médicale de garde, etc.).
https://www.paca.ars.sante.fr/les-lieux-de-soins-non-programmes-en-region-paca
Une campagne de communication à relayer
Se rendre aux urgences pour une consultation de médecine générale non urgente peut impacter la qualité de prise en charge des patients qui en ont le plus besoin. Les urgences sont donc réservées aux cas les plus graves.
Pour éviter le recours systématique aux urgences et aider la population, locale ou touristique, et réussir à obtenir une consultation médicale chez un médecin, l’ARS Paca lance, avec le soutien des professionnels de santé de ville et de l’hôpital, une nouvelle campagne de communication régionale.
Nos messages
Les urgences sont réservées aux cas les plus graves, si j’ai besoin de soins :
Je contacte en premier lieu mon médecin traitant.
Si je n’en ai pas ou qu’il n’est pas disponible, je me rends sur le site de l’ARS Paca pour trouver une consultation médicale.
Une carte interactive répertoriant les lieux de soins est mise à la disposition du grand public. Elle reste évolutive et pourra intégrer de nouveaux lieux ou être complétée.
J’appelle le 15 pour être orienté et savoir si je dois me rendre aux urgences.
Epidémies hivernales : les bons gestes pour se protéger
Des gestes simples de prévention, adoptés au quotidien, permettent de réduire la transmission des infections virales en période d'épidémie. Ces « gestes barrières » font barrage aux virus et contribuent à se protéger et à protéger son entourage. Ils sont indispensables en période de circulation des virus hivernaux et du coronavirus (Covid-19) :
on aère régulièrement son logement (chaque pièce 10 minutes toutes les heures) ;
on se lave fréquemment les mains ;
on porte un masque quand on est malade, dans les lieux très fréquentés ou en présence de personnes fragiles ;
on tousse ou on éternue dans son coude ou dans son mouchoir jetable
Les punaises de lit sont des insectes parasites qui vivent à l'abri de la lumière, dans les espaces sombres.En cas d'infestation d'un logement, il est nécessaire de procéder à des mesures strictes pour limiter leur prolifération jusqu'à l'élimination.
Le changement climatique nuit gravement à la santé : anxiété, troubles du sommeil et baisse de la vigilance, problèmes cardiovasculaires, etc.. La bonne nouv...
L’intérêt des activités physiques et de la pratique sportive sur la santé n’est plus à démontrer. Mais qu’en est-il de leur impact sur la mémoire et la cognition en général? Les réponses du Dr Agnès Benvenutto, neurologue varoise (1). Explications en trois temps.
- Rappel: comment fonctionne le cerveau
Divisé en cinq lobes – frontal, pariétal, temporal, occipital et cervelet – le cerveau est le siège de la cognition, c’est-à-dire de l’ensemble des processus mentaux qui permettent de traiter les informations. La cognition met en jeu la mémoire, mais aussi le langage, le raisonnement, les fonctions exécutives et l’attention.
"La cognition, rappelle en préambule le Dr Benvenutto, évolue avec l’âge. On note, par exemple, une diminution de la vitesse de traitement des informations par les fonctions exécutives. Le volume cérébral diminue également." Au vieillissement normal du cerveau s’ajoute parfois un vieillissement pathologique (maladie d’Alzheimer et maladies apparentées, troubles cognitifs vasculaires, tumeurs cérébrales…).
- Les effets positifs observés
Plusieurs études épidémiologiques ont montré l’intérêt de la pratique sportive pour la mémoire et la cognition. Le Dr Benvenutto en cite trois. "L’étude ACT aux USA, conduite durant six ans auprès de 1.740 personnes âgées de plus de 65 ans en bonne santé cognitive, a montré qu’une activité physique au moins trois fois par semaine réduit significativement le risque de développer une démence, et des difficultés cognitives associées à une perte d’autonomie."
En Europe, l’étude "Fine" a pointé, elle, un déclin cognitif plus important chez les personnes diminuant leur activité physique par rapport à celles qui l’avaient augmentée. Cette même étude pointe également l’effet positif d’une activité physique, même débutée tardivement.
La dernière étude, "Movies" aux USA, montre un impact plus important d’une activité physique en aérobie (2) pratiquée au moins 30 minutes, trois fois par semaine.
- Les effets démontrés
"D’autres études prospectives ont prouvé ces bénéfices et confirment l’effet protecteur de la pratique physique pour l’évolution des pathologies cognitives, en particulier la maladie d’Alzheimer" poursuit le Dr Benvenutto.
Une méta-analyse portant sur les résultats de 125 études prospectives concernant un total de 33.816 sujets non déments, suivis durant 1 à 2 ans, prouve qu’une activité physique importante réduit de 38% le risque de déclin cognitif par rapport à des personnes sédentaires (réduction de 35% s’il s’agit d’une activité physique modérée).
Une autre étude prospective, conduite sur une durée de 6 ans, a permis le suivi de 1.740 personnes sans démence initiale. A son terme, 1.185 patients étaient indemnes et 158 avaient développé une maladie neurodégénérative, Alzheimer le plus souvent.
Le Dr Benvenutto commente: "L’étude conclut que le déclin a été plus rapide quand l’activité physique était inférieure à trois fois par semaine." Une dernière étude conclut, enfin, que l’activité physique en aérobie combinée à du renforcement musculaire apporte un bénéfice supérieur aux activités en aérobie seules.
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Elle s’exprimait sur ce thème dans le cadre d’une conférence "Jeudi sport santé" organisée début mai par le Comité départemental olympique et sportif du Var.
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Lors de l’activité physique en aérobie, la production d’énergie dépend de l’apport en oxygène. En anaérobie (effort intense et bref), l’énergie est puisée dans les stocks disponibles dans l’organisme.
Des douleurs atroces dans le bas-ventre qui conduisent à des problèmes sexuels, une fatigue intense, un isolement social voire une difficulté à accomplir ses tâches au travail... Les conséquences de l’endométriose peuvent être dévastatrices. "Si certaines femmes n’ont aucun symptôme et découvrent la maladie au moment où elles essayent d’avoir un enfant [l’endométriose peut être responsable d’infertilité, Ndlr], d’autres ont des douleurs aussi bien pendant les cycles menstruels qu’en dehors", résume Magalie Ramel-Thierry, docteur en biologie et nutrition à Nice.
Et, malheureusement, à ce jour, il n’existe aucun traitement définitif: si l'hormonothérapie et la chirurgie peuvent endiguer son évolution, elles ne sont pas curatives. Parmi les alternatives non-médicamenteuses pour atténuer les douleurs, il y a la piste de l’alimentation anti-inflammatoire.
À l’occasion de la journée "Endométriose & douleurs pelviennes: outils virtuels et nouvelles approches" (lire ci-contre), qui se déroulera le vendredi 26 mai au Centre universitaire méditerranéen (CUM) de Nice, Magalie Ramel-Thierry animera une conférence sur cette méthode. En amont de l’évènement, elle nous explique les bienfaits de l’alimentation non-inflammatoire pour l’endométriose.
Pourquoi ce rééquilibrage?
Pour comprendre les bénéfices, il faut remonter au mécanisme de l’endométriose. "Cette maladie résulte de la prolifération de l’endomètre (1) à l’intérieur de l’utérus ou à l’extérieur de celui-ci. Cette multiplication peut atteindre différents organes génitaux, urinaires ou digestifs. Dans des cas plus rares, elle peut remonter au niveau pulmonaire", résume Magalie Ramel-Thierry. Le système immunitaire réagit à cette croissance tissulaire et un phénomène inflammatoire va se produire; des kystes ovariens et des lésions peuvent alors apparaître. "C’est là que l’alimentation anti-inflammatoire peut être d’une grande aide. Dans la littérature scientifique, il a été prouvé que cette méthode nutritionnelle diminue les niveaux de molécules inflammatoires, contribuant ainsi à réduire les douleurs et à stabiliser les lésions."
Quel régime?
Le but est avant tout d’avoir une alimentation équilibrée. " Plutôt qu’éliminer des aliments, il s’agit d’augmenter les apports en molécules antioxydantes. Ce rééquilibrage doit s’adapter à chaque femme et ne pas être trop restrictif. En effet, certaines souffrent déjà beaucoup de leur endométriose. Il ne faut pas rajouter une frustration au moment des repas: manger doit rester un plaisir, et non, une contrainte."
Quels sont les aliments conseillés?
"Comme les inflammations liées à l’endométriose affectent souvent le système digestif, l’objectif est de privilégier les aliments qui renforcent le microbiote intestinal, diminuent les inflammations et améliorent l’immunité", synthétise Magalie Ramel-Thierry. Dans l’alimentation anti-inflammatoire, on privilégie ainsi tous les fruits (surtout les fruits rouges comme les myrtilles, les fraises ou les framboises mais aussi les pommes et raisins qui sont riches en polyphénols) et les légumes (surtout les légumes verts en favorisant une cuisson douce pour ne pas altérer la qualité des nutriments). "L’essentiel est d’opter pour des produits de qualité biologique, locaux et/ou de saison."
Également bénéfiques: les poissons gras, riches en oméga-3 (maquereau, sardine, hareng...). Les légumineuses (lentilles, haricots rouges noirs ou blancs), les oléagineux (noix, amandes, noisettes, pistaches) et les céréales complètes ont également des propriétés anti-inflammatoires. Autre allié de ce rééquilibrage: le curcuma. "C’est l’une des plantes les plus antioxydantes." Quant aux femmes touchées par l’endométriose et qui ont un projet de grossesse, elles peuvent privilégier les aliments riches en folate ou acide folique (légumineuses et céréales notamment).
Et ceux à limiter?
L’exposition aux perturbateurs endocriniens favorise le développement de l’endométriose. C’est pourquoi, il faut éviter les produits ultra-transformés, les fast-foods et les gâteaux et plats industriels. "Souvent ces aliments sont très riches en sucre, or ce dernier déstabilise le microbiote et favorise les inflammations." On réduit également les produits laitiers et ceux à base de gluten.
" L’objectif n’est pas de perdre du poids mais bien d’opérer un rééquilibrage alimentaire, insiste la spécialiste. Les écarts, de temps en temps, sont tout à fait autorisés. On peut manger une part de pizza dans la semaine." Et pour les petites fringales, il est toujours possible d’opter pour des aliments plus sains, sans se priver. " À l’heure du goûter, il vaut mieux manger un bon carré de chocolat de qualité avec un fruit plutôt que des gâteaux industriels."
Enfin, si la viande rouge est pro-inflammatoire, elle reste autorisée une fois par semaine. "Car les femmes qui sont touchées par l’endométriose perdent souvent beaucoup de sang. Elles ont donc besoin de consommer de la viande – en petites quantités."
Existe-t-il des contre-indications?
"Aucunes contre-indications. En revanche, si jamais une personne présente une pathologie spécifique, on peut adapter et personnaliser le rééquilibrage alimentaire."
Les jours rallongent, les plages se remplissent et la peau s’expose après plusieurs mois d’hibernation... Mais voilà, mauvaise surprise pour vous. Une éruption cutanée a gâché vos premiers bains de soleil. Sur le décolleté, les épaules ou les avant-bras, vous vous démangez fortement et des petits boutons rouges rosés sont apparus. Il s’agit peut-être de la lucite estivale, la plus fréquente des allergies solaires.
Chaque année, en France, près de 900.000 personnes seraient concernées selon les chiffres de la Société française de dermatologie (SFD). Le Dr Thomas Hubiche, dermatologue et vénérologue au CHU de Nice nous éclaire sur cette allergie bénigne et fréquente.
Qu’est-ce que la lucite estivale?
Il s’agit d’une réaction inflammatoire de la peau. La réponse immunitaire est retardée et c’est pourquoi les premiers signes apparaissent plusieurs heures après l’exposition au soleil. Il s’agit d’une dermatose estivale – bénigne et transitoire – qui régresse au cours de l’été. En revanche, cette maladie à tendance à récidiver, chaque année, dès l’arrivée des beaux jours.
Pourquoi cette réaction de la peau?
L’exposition aux UV – et plus particulièrement aux UVA (1) du soleil – va déclencher, chez certaines personnes, une réaction inflammatoire.
La lucite estivale peut toucher le visage, le décolleté et les avant-bras ou les bras. Le visage étant exposé tout au long de l’année aux UV, les réactions sont moins intenses que sur les zones non exposées l'hiver.
Qui est concerné?
Cette allergie touche plutôt les phototypes clairs. Cette réaction inflammatoire est par ailleurs 4 fois plus fréquente chez la femme jeune que chez l’homme jeune. Les raisons sont principalement hormonales.
Quels sont les symptômes? Ils apparaissent environ douze heures après l’exposition au soleil. Il s’agit de lésions papuleuses (boutons) inflammatoires et en relief, siégeant sur les zones exposées. La lucite estivale n’est pas douloureuse mais elle occasionne de fortes démangeaisons qui s’estompent après quelques jours. D’autres maladies de la peau peuvent être déclenchées par le soleil mais les signes cliniques et l’évolution dont le caractère transitoire permettent de confirmer le diagnostic de lucite estivale bénigne.
Peut-on avoir cette allergie sans coup de soleil?
Oui, tout à fait. Il s’agit de deux réactions totalement différentes. Le coup de soleil est induit par les UVB et correspond à un érythème continu sur les zones photo exposées avec des sensations de brûlure. En revanche, la lucite estivale se caractérise par des intervalles de peaux saines et des démangeaisons et elle est provoquée par les UVA.
Quels sont les risques pour la peau et la santé?
Il s’agit d’une dermatose bénigne. Il n’y a donc pas de danger pour la santé.
Comment prévenir cette allergie?
Le traitement proposé en première intention est une photoprotection. Cela associe un écran solaire (SPF50) couvrant bien les UVA ainsi qu’une protection vestimentaire. En effet, rappelons que les UVA passent à travers les vitres mais pas à travers les habits. Dans les formes les plus sévères, un antipaludéen de synthèse, peut être proposé. De plus, il est conseillé – en plus des mesures de photoprotection – lors du début de la période estivale de réaliser une exposition très progressive au soleil.
Est-ce que les compléments alimentaires aident à prévenir cette allergie?
Des antioxydants tel que les bêta-carotènes peuvent être proposés mais le niveau de preuve de leur efficacité est faible.
Les symptômes de cette allergie peuvent-ils s’améliorer?
Dans la grande majorité des cas, la lucite estivale bénigne s’améliore avec l’âge, notamment après la ménopause chez la femme.
- Les rayons UVA accélèrent le vieillissement de la peau. Le coup de soleil est principalement induit par les UVB
Quelles différences avec les autres allergies ?
L’urticaire solaire.
Il s’agit d’une réaction immédiate qui survient très rapidement après l’exposition aux UV, en quelques minutes.« Une poussée d’urticaire solaire peut être accompagnée d’une sensation de malaise. Les signes cliniques régressent rapidement dès que le patient n’est plus exposé aux UV. L’urticaire solaire est beaucoup plus rare que la lucite estivale bénigne. »
La photosensibilisation.
Les réactions surviennent après exposition au soleil mais nécessite la présence sur la peau ou dans l’organisme de substanceschimiques telles que certains médicaments ou certaines plantes. « L’exposition aux UV va modifier cette molécule et entraîner chez certaines personnes une réaction immunitaire inflammatoire ou toxique », précise le dermatologue.
La lucite polymorphe.
Comme la lucite estivale, il s’agit d’une réaction immunitaire au soleil. En revanche, la lucite polymorphe ne s’améliore pas avec la répétition de l’exposition aux UV.
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L’un est sapeur-pompier, l’autre cardiologue. Le cœur de leur métier, c’est sauver des vies. Et tous deux militent sans relâche et depuis des années pour combattre une réalité dramatique: chaque année, des milliers de personnes victimes d’un arrêt cardiaque meurent, faute de gestes ou d’actions adaptées.
"Parmi les 15.000 à 20.000 décès pour ce motif dénombrés chaque année en France, beaucoup sont imputables à l’absence d’intervention ou à des actions inappropriées de la part des premiers témoins", martèle le commandant Philippe Cecconi, infirmier anesthésiste sapeur-pompier.
"Moins de 4% des Français victimes d’un arrêt cardiaque sont aujourd’hui ‘‘ressuscités’’, contre 35 à 45% dans d’autres pays, en grande partie grâce à l’intervention efficace de témoins", complète le Dr Claude Mariottini, cardiologue à l’Institut Arnault-Tzank de Saint-Laurent-du-Var et président de l’association 20.000 vies.
Une fois encore, ils appellent les citoyens à se mobiliser en s’inscrivant sur l’une ou l’autre des applications capables de sauver des vies, à commencer par Staying Alive.
Pourquoi est-ce aussi essentiel de s’inscrire sur ce type d’appli?
Grâce à l’application, on a accès à une carte des défibrillateurs les plus proches, mais on permet aussi aux services d’urgence de déclencher les sauveteurs de proximité, "les bons samaritains" en cas d’arrêts cardiaques. Or, dans les faits, il n’y a pas assez de personnes qui s’inscrivent sur les applications qui permettent de sauver des vies ou passent à l’acte.
Pourtant, le délai d’intervention est crucial dans ces situations
Absolument. Les services de secours arrivent sur les lieux en moyenne 7 minutes plus tard, mais il est fréquent, notamment lorsque l’accident s’est produit dans un lieu très éloigné, que ce delta temps soit beaucoup plus important.
Il est alors trop tard?
Généralement, on dit qu’au-delà de 4 à 5 minutes d’arrêt du cœur, si on ne fait rien, les lésions cérébrales sont irréversibles; on a donc un délai très court pour réaliser les premiers gestes et/ou poser un défibrillateur. Et il faut savoir que, statistiquement, dans 70% des cas de mort subite, il y a un ou des témoins.
Un témoin doit-il s’empêcher d’intervenir si le délai de 5 minutes est dépassé?
Non, dans la mesure où il peut se produire des faits étonnants; il arrive ainsi que des personnes, dont le cœur a été à l’arrêt pendant un temps assez long, reviennent très vite à la vie quand on les masse. À l’opposé, malheureusement, certaines, même massées précocement, ont des séquelles au niveau cérébral.
Vous vous êtes beaucoup mobilisés pour augmenter le parc de défibrillateurs. Quelle est la situation aujourd’hui?
Il y a de plus en plus de défibrillateurs dans les lieux publics. La nouvelle urgence, c’est qu’il y en ait davantage à proximité des domiciles, en particulier dans toutes les copropriétés.
Pourquoi est-ce si important?
La majorité des morts subites se produisent au domicile. Si dans la cage d’escalier, à côté de l’extincteur, se trouve un défibrillateur, un proche, un voisin, peut intervenir en moins de 5 minutes.
Un message en conclusion?
Il n’y a pas assez de passages à l’acte des témoins, pas assez de personnes formées et inscrites sur les plateformes de citoyens sauveteurs; il faut qu’on incite le public à le faire, pour que lorsque les secours déclenchent un appel à agir, ils aient du répondant. Aujourd’hui, quand les sapeurs-pompiers déclenchent ce type d’appel, au mieux, obtiennent-ils une, deux ou trois réponses.
Et il faut rappeler ces chiffres terribles; en cas de gestes inadaptés, de non-recours à un défibrillateur dans les premières minutes, le taux de survie est de 3%. Avec pour ces 3%, un risque majeur de séquelles neurologiques très graves. Par contre, si on fait ce qu’il faut, ce taux de survie grimpe à 30, 40% voire au-delà. C’est énorme. En France, l’hôpital, les pompiers viennent à votre chevet vous soigner. Mais à condition qu’ils y aient des personnes à proximité. Sinon, on ne sert à rien.
Pour devenir Bon Samaritain, vous devez simplement télécharger l’application Staying Alive, disponible sur Google Play (Android) et l’App Store (iOS), et vous inscrire.
Retrouvez de nombreux conseils et astuces, en cliquant sur les pièces et les objets de la maison. Vous découvrirez des idées pour mieux vivre votre nouveau quotidien, pendant la grossesse et les premières années de bébé.
Envoyer la carte Vitale à la CPAM pour vérifier son état
Si la mise à jour de votre carte Vitale ne permet pas de résoudre son dysfonctionnement, il est recommandé de la faire parvenir à votre caisse primaire d’assurance maladie dans le but de la faire expertiser. Lors de votre envoi par courrier, pensez à préciser la nature de votre demande. Ainsi, la CPAM pourra décider si votre carte doit être remplacée ou si elle peut vous la renvoyer après analyse.
Que votre carte Vitale soit cassée, abîmée, ou que sa puce soit illisible, vous devez immédiatement prévenir votre CPAM. Cette démarche peut être effectuée en ligne, par téléphone, par courrier ou en vous rendant dans un point d’accueil.
Pour signaler le dysfonctionnement de votre carte Vitale, une déclaration est à remplir. Avant de la valider, vérifiez l’exactitude des informations vous concernant (état civil, adresse postale et adresse mail). En cas d’erreur ou d’oubli, il est impératif de contacter votre CPAM pour le lui signaler.
Demander une nouvelle carte Vitale
Si le dysfonctionnement de votre carte Vitale ne peut être réglé par la mise à jour ou l’analyse effectuée par la CPAM, une demande de renouvellement doit être réalisée.
Pour commander votre carte Vitale, rendez-vous sur votre compte Ameli, dans la rubrique « Mes démarches », puis « Commander ma carte Vitale ».
Deux documents vous seront demandés pour valider votre dossier :
une photo d’identité numérisée ;
une pièce d’identité numérisée.
Une fois la validation faite, votre commande est transmise à la caisse primaire d’assurance maladie. Vous recevez en échange un récapitulatif de vos données.
Votre nouvelle carte Vitale vous sera envoyée dans un délai de 2 semaines, accompagnée d’une copie papier des informations qu’elle contient dans sa puce électronique. Si vous perdez votre carte ou si vous avez besoin de justifier vos droits, c’est ce document que vous devez présenter.
Si vous effectuez votre demande de renouvellement par courrier, par téléphone ou dans un point d’accueil, comptez un délai de 3 semaines avant de recevoir votre nouvelle carte Vitale.
Vous pouvez suivre l’acheminement de votre carte en vous connectant à votre compte Ameli. Rendez-vous ensuite dans la rubrique « Mes démarches », puis « Suivre ma commande de carte Vitale ».
En attendant votre document définitif, vous pouvez obtenir une attestation de droits. Cette dernière vous servira de justificatif pour la prise en charge de vos soins. Elle peut être demandée par téléphone au 36 46, dans un point d’accueil ou en ligne, dans la rubrique « Mes démarches », puis « Télécharger mon attestation de droits ».
Retrouvez notre test de 26 jus d'orange ici
00:07 Quels jus avons-nous analysés ?
00:25 Jus frais ou a température ambiante ? => même goût et équivalent nutriotionnellement, souvent au rayon frais vendu plus cher
01:01 Pur jus ou à base de concentré ? => a priori pur jus s'annonce meilleur mais dans les résultats c'est pareil...
01:28 Que valent les jus pressés à froid ? => argument marketing, produits vendus plus chers
01:58 Que penser des jus désucrés ? => la différence est perceptible au goût, effectivement moins sucré que les autres mais ne pas en faire notre boisson quotidienne, ça reste sucré
02:43 Et le jus pressé maison ? => on sent vraiment la différence au goût et côté nutritionnel. Privilégié des oranges bio produites en Europe.
Les oligoéléments recèlent de bienfaits pour notre organisme. Si on les trouve en tout premier lieu dans notre alimentation, il est aussi possible de les prendre en complément. Lesquels choisir ? Y a t il des contre-indications ?
Les oligoéléments de moins en moins présents dans nos assiettes
On trouve les oligoéléments en particulier dans les crustacés. Les coquillages sont très riches en micronutriments ; ou encore les légumineuses, les légumes secs, la viande de volaille, le jaune d'œuf notamment. Leur apport alimentaire est indispensable.
Néanmoins, on en trouve de moins en moins dans les aliments. Et ce pour deux raisons très simples. Tout d'abord le sol est de moins en moins riche en micronutriments à cause de l'emploi des pesticides et des engrais. La surexploitation des terres est également néfaste. Les espèces botaniques ont été modifiées au cours du temps ... Tout cela entraîne un appauvrissement des sols. La terre apporte aujourd'hui moins d'oligoéléments que dans le passé.
Autre raison : les modes de cuisson. De nombreuses études ont montré que le fait de cuire trop les aliments détruisait une partie des vitamines et minéraux.
Les prendre en complément de son alimentation
Si les oligoéléments ont tout pour être parfaits, ils sont souvent mal assimilés dans l'alimentation.
Non seulement l'alimentation est appauvrie, mais parfois les oligoéléments sont complexés avec d'autres nutriments et le corps ne sait pas les utiliser. Et dans ce cas là, il est parfois intéressant, lorsqu'on est carencé, de faire une période de l'année, un apport supplémentaire avec des compléments alimentaires ou des médicaments à base d'oligo-éléments. Ceux-ci ont l'avantage d'être développés sous forme unitaire, parfaitement assimilables par l'organisme.
Quels bienfaits pour les oligoéléments ?
Pour résumer, ils ont cinq propriétés fondamentales.
Ils participent à la structure des tissus et des vitamines. Ils vont aussi catalyser toutes les réactions enzymatiques indispensables au bon métabolisme de l'organisme.
Ils participent à la synthèse de nombreuses hormones. Les hormones thyroïdiennes avec le sélénium, par exemple. Ils sont indispensables pour les défenses de l'organisme. On en parle beaucoup actuellement. Les maux de l'hiver. On a besoin de renforcer son immunité. Et tous sont de très bons antioxydants, c'est à dire qu'ils sont capables de donner des électrons pour neutraliser les radicaux libres qui nous attaquent au quotidien par l'environnement, la pollution, le sport intense aussi. L'alcool, le tabac, bien sûr.
Les signes d'une carence
Par exemple quand on manque de fer on va être fatigué. Très souvent, les crampes musculaires arrivent lorsqu'on manque de magnésium. La peau est assez terne quand on manque de cuivre. On sera plus susceptible d'avoir des infections quand on a une carence en zinc.
Toutes ces carences entraînent des tableaux cliniques bien spécifiques et il est intéressant dans ce cas là, et bien sûr, sous les conseils de votre pharmacien ou médecin, de vous orienter vers les oligoéléments.
Lesquels sont à utiliser en cure pour éviter des contre indications et des interactions.
Hormis ce conseil, on peut foncer sans hésiter. Les oligo-éléments étant déjà connus de l'organisme, ils sont parfaitement tolérés. Il y a très peu d'effets indésirables quand on utilise les posologies conseillées.
Ils peuvent parfois interagir entre eux, mais on les prend de façon séparée sous forme de cure donc, et à distance des repas (d'environ quinze minutes).
L'idéal serait de les prendre à jeun, on évite aussi de les mélanger dans un même verre d'eau. Et on va les prendre de façon séparée au cours de la journée.
Le recul de pharmacovigilance sur plusieurs décennies montre que les oligo-éléments sont très bien tolérés et sont très intéressants en association avec des médicaments d'allopathie. A associer aussi pourquoi pas à l'aromathérapie, aux huiles essentielles.
Ils se prennent sous forme d'ampoules, de comprimés ou de gélules.
Pensez à en parler avec votre médecin, puisque certains oligo-éléments peuvent être remboursés.
Et on peut les utiliser chez les tout petits ! Le zinc peut être utilisé chez le nourrissons, pour stimuler l'immunité, mais attention à la posologie !
La trousse basique
-Contre les maux de l'hiver : pensez au trio zinc-cuivre-sélénium.
Ils vont stimuler nos défenses immunitaires. Ils agissent en synergie.
Ils vont participer à la synthèse des anticorps. Ils permettent de réduire la sévérité des symptômes ou la durée d'un rhume par exemple.
En prévention ou curatif, il est conseillé de se tourner vers les oligoéléments pour passer l'hiver !
-Le chrome : agit sur la glycémie ; il va limiter la sensation de faim et les pulsions sucrées.
-Le lithium pour le sommeil ou les troubles de l'humeur.
-Le cuivre est un anti-inflammatoire et anti douleurs.
-Le souffre pour vaincre une sinusite.
-Le bismuth contre les maux de gorge.
-Le manganèse contre les allergies.
Ne pas hésiter à se tourner vers un pharmacien ou un médecin pour avoir davantage de conseils et des précisions sur les posologies concernant les oligoéléments.
Merci à Jean-Noël Perin, pharmacien spécialisé en oligothérapie ; du groupe EA PHARMA, laboratoire pionnier en oligothérapie et basé à Mougins (06)
Fabien Rolland, pneumologue cannois, nous présente en exclusivité une application qu'il a créé le pneumoquiz. Récompensée par une palme de la médecine, cette application permet aux étudiants en médecine, jeunes médecins et professionnels, de se perfectionner dans le domaine de la pneumologie en s'affrontant via une série de 8400 questions . Un azuréen engagé pour faire évoluer la médecine et la rendre plus ludique.
C'est la première semaine de dépistage de la myopie en France. Le trouble de la vision de loin touche quatre Français sur dix, et d'ici 2050 il pourrait en atteindre un sur deux. À Nice, une ophtalmologue donne des conseils pour tenter de limiter les risques d'aggraver la myopie.
FURIFURI est un furikaké (le condiment préféré des japonais !) avec des algues de Bretagne. Facile à utiliser, c'est bon pour le moral et pour la santé !
Découvert par article Nice Matin
https://www.nicematin.com/economie/on-vous-parle-de-furifuri-la-marque-nicoise-qui-secoue-vos-ptits-plats-808680
Une alternative au sel. Le furifaké (qui signifie "secouer" en japonais) est le condiment le plus apprécié des tables nippones. À base de graines de sésame torréfiées et d’algues bio de Bretagne, la marque FURIFURI ne contient que 5% de sel ajouté (contre 20 % pour une sauce soja par exemple). Le produit rehausse les goûts d’un riz blanc, de légumes, poissons, viandes... Les cofondatrices ont créé trois saveurs avec le chef japonais Keisuke Matusushima piment, citron ou 100% algues. Des goûts validés par le chef Alain Ducasse en personne. Vendu entre 5 et 6 euros le sachet de 45 g, le produit est en prévente sur Ulule et sera livré avec des recettes "surprise".
La puissance de la nature et de la science dans un spray anti-moustiques bio 100% naturel et efficace. Prouvé scientifiquement et fabriqué en France.
Commentaire : plutôt des bons avis sur Amazon, odeur forte https://www.amazon.fr/Spray-R%C3%A9pulsif-Anti-moustiques-Cruso%C3%A9-75mL/dp/B09H3DGRZP#customerReviews
Découvert par Mam's https://jlionne.com/shaarli2/shaare/-5UXgw
Voici ses conseils pour booster sa mémoire en misant (aussi) sur le contenu de son assiette.
1- Protéines et vitamines du groupe B
"La première chose, indique Sophie Schaeffer, c’est de consommer des protéines qui vont permettre de fabriquer ces neurotransmetteurs. Plus spécifiquement, on va veiller à un apport suffisant de vitamines du groupe B, en particulier les B1, B6, B9 et B12. Essentielles au bon fonctionnement des cellules nerveuses, elles permettent au cerveau de transformer le glucose en énergie." On les trouve dans les viandes, notamment la volaille, les abats, mais aussi dans les légumes à feuilles et les produits céréaliers bruts. "Il faut bien noter, insiste la micronutritionniste, qu’elles sont souvent absentes des produits transformés!"
2- Les antioxydants
"Véritables boucliers de l’organisme, les antioxydants protègent les cellules du système nerveux central en limitant le stress oxydatif. Un bon apport passe par la consommation de fruits et légumes riches en vitamine C, A, en zinc, en sélénium, en polyphénols et en flavonoïdes." Dans l’assiette, on pense donc aux brocolis, choux, épinards, au raisin, aux fruits secs ou oléagineux notamment, au curcuma et aux épices en général.
3- Le magnésium
"Cofacteur incontournable dans un grand nombre de réactions enzymatiques, il est aussi impliqué dans le fonctionnement de la mémoire car il stabilise les connexions neuronales et optimise les neurotransmissions."
Au menu: cacao, oléagineux, fruits à coques et céréales complètes.
4 - Les oméga 3
"Ils assurent la fluidité des membranes cellulaires, favorisant ainsi les échanges dans le cerveau", résume Sophie Schaeffer. On les trouve dans les huiles (colza, noix, lin ou cameline) et les petits poissons gras.
5 - Les phospholipides
Moins connus que le magnésium ou les oméga 3, les phospholipides sont indispensables à la bonne synthèse de l’acétylcholine, le neurotransmetteur nécessaire au stockage des informations dans la mémoire. Ils sont présents principalement dans les œufs, dans la lécithine de soja ou dans des compléments alimentaires (lécithine de soja et phosphatidylcholine).
6 - Quelques plantes utiles
Sophie Schaeffer conseille le ginkgo biloba, pour ses effets neuroprotecteurs. "Il améliore la vascularisation cérébrale et les performances du cerveau."
La rhodiole stimule les fonctions cognitives, "surtout en cas de stress".
Pour la journée mondiale du diabète, le Docteur Stéphanie Pallé Defille diabétologue au CHU Nice détaille la nouvelle prise en charge depuis quelques jours au CHU de Nice du système d'auto-contrôle de diabète de type 1 pris en charge par un logiciel équipée d'intelligence artificielle (IA).
Une avancée majeure dans le traitement du diabète de type 1 attendue : les personnes atteintes de diabète de type 1 peuvent bénéficier d'un traitement révolutionnaire qui allie "une pompe à insuline à un logiciel d'Intelligence Articifielle (IA) " qui calcule et régule en permanence le taux de glycémie sans que le patient n'intervienne.
Pour l'instant, seulement une trentaine de patients ont été équipés du dispositif au CHU de Nice car le système est remboursé seulement depuis le 2 novembre 2022 par la sécurité sociale.
Le diabète de Type 1 est le plus redouté, il apparaît tôt dans la vie des malades et nécessite de prendre de l'insuline.
Traitement efficace pour le diabète de type 2
Le diabète de type 2, qui représente 90 % des malades, le plus courant, est souvent lié " à une histoire familiale : des personnes d'une même famille sont souvent touchées. Il peut être évité avec du sport et une alimentation contrôlée avec moins de gras et de sucre. On le dépiste en l'absence de symptômes grâce à une simple prise de sang. Les premiers symptômes sont une grande fatigue mais aussi une soif et une envie d'uriner toutes les deux excessives. Mais pour ce diabète il existe aussi un traitement novateur proposé au CHU de Nice dans le service diabétologie et endocrinologie : on propose un traitement thérapeutique qui en même temps protège le cœur et les reins qui peuvent être affectés par le diabète. C'est un double intérêt."
Pour cette journée mondiale de lutte contre le diabète, de nombreux centres vous accueillent pour un dépistage.