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Une méduse, qu’est-ce que c’est?
La méduse appartient au groupe des cnidaires. Des organismes urticants où l’on retrouve aussi les coraux et l’anémone de mer. Ce groupe, qui comprend environ 3.000 espèces, est apparu il y a 600 millions d’années.
Celle qui nous pique étant la pelagia noctiluca?
Oui, quasiment uniquement celle que l’on voit sur nos côtes. On peut la trouver dans de nombreux océans, avec une grande population en Méditerranée, principalement occidentale. En fait, quand on la voit ici, elle ne fait que passer.
Au large de Nice avant d’aller jusqu’en Catalogne et aux Baléares avant de revenir par la Corse et le golfe de Gênes. Une sorte de tour permanent, au gré d’un courant qui la maintient dans cette boucle.
Cette méduse "n’habite" donc pas ici?
Non, elle se laisse porter par les courants en se nourrissant d’un peu de tout. Depuis la larve de poisson jusqu’aux crustacés vivant dans ce qu’on appelle le plancton. En somme, elle mange ce plancton, dont elle fait d’ailleurs partie, c’est-à-dire tous les organismes nageant dans la "colonne d’eau", entre la surface et deux à trois cents mètres de profondeur.
On la voit petite, peut-elle être grosse?
À la naissance, ces méduses font de 1 à 3 mm. Ensuite, elles peuvent aller jusqu’à 30 cm pour les plus grosses. La moyenne étant de 6 à 7 cm. Je parle du diamètre de l’ombrelle. Autrement dit, de la cloche. Les filaments, eux, peuvent atteindre plusieurs mètres.
Filaments redoutables…
Si l’on touche le dessus de la cloche, on n’a aucune réaction urticante. Quand une méduse "pique", c’est principalement pour attraper une proie, la ramener à sa bouche et la digérer.
Chez tous les cnidaires, la technique de chasse consiste à attendre qu’une proie touche les tentacules. Dans ce cas, un processus complexe et extrêmement rapide se met en route et des cellules qu’on appelle cnidocytes, spécialisées dans la production d’une petite capsule urticante, s’activent.
Sous pression, elles explosent, d’une certaine façon, en projetant un filament dans la proie. Ce filament va permettre d’inoculer du venin pour la paralyser. Le problème, avec la pelagia, c’est qu’elle est capable de capturer une grande variété d’organismes, dont de très petits poissons, et que, pour paralyser ces poissons, elle utilise des toxines qui réagissent aussi chez nous.
Ce n’est pas le cas de toutes les méduses?
Non, la nôtre mange de tout, d’ailleurs, au laboratoire, elle réduit en taille si son régime alimentaire n’est pas suffisamment varié. Elle peut détecter que le baigneur est "comestible", puisque la décharge n’est pas automatique lorsque des tentacules se touchent ou entrent en contact avec la paroi d’un aquarium.
Il y a donc une sorte de reconnaissance de ce qui peut être une proie et de ce qui ne l’est pas. Des recherches ont été entreprises pour mettre au point des crèmes empêchant le déclenchement des cellules urticantes. Notamment des crèmes solaires développées par des Israéliens, et qui fonctionnent plutôt bien.
Pourquoi, sur notre peau, une brûlure aussi vive?
C’est le résultat d’un cocktail de toxines pouvant générer de la douleur et, chez certaines autres espèces, de la paralysie. Par exemple, sur la côte est de l’Australie, la "box jellyfish", ou méduse-boîte, mange des poissons assez gros et se révèle capable de tuer un baigneur, rapidement.
Notre pelagia ne le peut pas: avec elle, le problème le plus important, c’est une éventuelle réaction anaphylactique. Une réaction violente du système immunitaire.
Rien de dangereux?
Hormis ce risque de réaction, il peut rester une cicatrice durant une période assez longue si la peau est sensible et si la piqûre s’est produite sur une partie où elle est particulièrement délicate.
Un traitement efficace?
Des pommades fonctionnent bien, contrairement à l’urine, qui relève plutôt de la légende. Une recommandation utile : ne pas nettoyer la peau à l’eau douce, ce qui aurait pour effet d’activer les capsules qui n’auraient pas encore "explosé". Donc, laver à l’eau de mer.
En essayant de retirer les tentacules qui pourraient rester accrochés et décharger d’autres substances. Ce qui ne marche pas si mal, c’est la mousse à raser, qui empêche le contact, une carte de crédit permettant de retirer les filaments relativement facilement. Enfin, sur la brûlure, la biafine est intéressante.
Comment détecter la présence et la circulation des méduses?
Au large de Nice, encore une fois, ces méduses passent en permanence dans le courant ligure et il est possible d’en trouver à tout moment de l’année. Ce qui est clair, c’est que l’on voit une augmentation de la population au printemps, où la nourriture est plus abondante. Cette population décroît au fil de l’été.
Quant à la présence ou non sur le littoral, elle est principalement due au courant et au vent. Si celui-ci souffle vers le sud/sud-est, il pousse les méduses vers la côte. La courantologie et le régime des vents sont donc deux paramètres précieux pour anticiper les mouvements.
Barrages et filets sont-ils efficaces? Ou faut-il éradiquer les méduses?
Les filets, pourquoi pas ? Mais la logistique est assez lourde. Éliminer les méduses, non, ce serait une catastrophe écologique. Elles ont un rôle important dans la chaîne alimentaire. D’abord, elles régulent le plancton.
Ensuite, de nombreux poissons s’en nourrissent. Et, si elles sont presque les seules sur nos côtes, ce ne sont pas les seules méduses de Méditerranée. Donc, s’en débarrasser, je n’ai pas ce point de vue, même si c’est embêtant pour le baigneur. Le préjudice, sur le plan touristique, est indéniable, mais la pelagia noctiluca a vraiment un rôle à jouer.
*Entretien réalisé et paru en juin 2020
Le Conseil départemental des Alpes-Maritimes lance un plan anti-frelons.
Les chenilles processionnaires ont été déclarées nuisibles à la santé humaine, dans un décret paru le 27 avril dernier. Ce classement va permettre - et obliger - les préfets à prendre des mesures pour traiter les zones à risques et protéger enfants, adultes et animaux.
LES OBJECTIFS DU PROJET
LE TOURISME DURABLE
Au milieu de cette Réserve animalière, l’homme n’est qu’un invité qui assiste, en toute saison, à la vie quotidienne d’une partie de la faune européenne et au rôle que joue celle-ci dans la dynamique des écosystèmes. Sous vos yeux, le témoignage de phénomènes naturels complexes qui attisent la curiosité du visiteur et incitent au respect de la nature.
À LA RENCONTRE DU DOCTEUR LONGOUR
UN DOCTEUR PAS COMME LES AUTRES
« Après dix ans d’un combat épuisant contre la bureaucratie, contre les sceptiques, après la vente de sa clientèle puis de sa belle villa, Patrice Longour, infatigable vétérinaire de 56 ans, a convaincu sa jeune femme, Alena, de le suivre. Il a rameuté ses amis, il a séduit des investisseurs après des semaines de palabres, il a bousculé l’administration à l’inertie désespérante, il a même intéressé un ministre de l’Ecologie.
Son idée de réserve, il est allé la pêcher en Afrique, au Botswana exactement, où durant de longues années il a milité pour la protection du delta de l’Okavango au sein de l’association Preserve, créée avec son complice de toujours, également vétérinaire, Daniel Baubet.
Aujourd’hui, au vu des résultats plus que probants de l’intégration de la faune sauvage dans ce milieu, le Dr Patrice Longour désire étendre son projet écologique, partout où l’agriculture moderne ne peut plus assurer la pérennité des exploitations traditionnelles. »
FRÉDÉRIC LEWINO
LE RETOUR DU SAUVAGE EN FRANCE
IL ÉTAIT TEMPS QUE LA FRANCE RETROUVE SES ESPÈCES PERDUES…
La Réserve des Monts d’Azur est le seul endroit en Europe où le bison d’Europe et le cheval de Przewalski vivent à nouveau ensemble !
Ces deux espèces emblématiques que l’homme avait quasiment exterminées sont à nouveau réunies sur un territoire qu’elles partagent avec les cerfs, chevreuils, chamois, sangliers, renards, loups, lynx et de nombreuses autres espèces. Sauvages et libres !
Personne avant nous n’avait osé organiser ces retrouvailles. Nous l’avons fait. Ce pari est une des expériences écologiques les plus excitantes du moment en Europe.
Ce portail permet à ceux qui le souhaitent de saisir leurs observations naturalistes à travers des programmes spécifiques. Chaque nouvelle observation sera immédiatement visible sur l'outil cartographique et enrichira les données du parc national du Mercantour
Découvert par article nice matin https://abonnes.nicematin.com/article/face-a-la-disparition-du-herisson-le-parc-du-mercantour-lance-une-enquete-participative-pour-le-recenser-761510
école de maraîchage dénommée Institut Moreau-Daverne
Un pari osé : lancer en pleine crise sanitaire une école de maraîchage urbain pour former des professionnels qui pourront vivre de leurs revenus issus de mille mètres carrés seulement de plantations de 70 sortes de légumes. Le retour de la "French Méthode" d'agriculture en petites surfaces.
C'est le retour d'une méthode ancestrale de plantations de semis toute l'année selon le calendrier précis de la "French Method". Il s'agit de planter chaque semaine des semis de près de 70 espèces de légumes semées par rangée en roulement continu avec parfois plusieurs plantes sur le même coin de terre (tomates en hauteur et petits légumes dessous). Et on récolte les plantes qui poussent au fur et à mesure du temps.
un petit coin de terre suffit
"On plante, on repique, soit 1.500 gestes précis à réaliser tous les jours de l'année". Cette culture permet à "un maraîcher de bénéficier à partir de 1.000 mètres carrés d'obtenir un revenu de 2.000 à 2.500 euros par mois sans les charges" explique Christian Carnavet, promoteur du projet.
Dans cette future école de maraichage urbain, on va apprendre à cultiver "intensément" sur de toutes petites surfaces. Dans une serre à côté, des centaines de godets attendent d'être plantés. Ici on ne cultive que du bio.
Christian Carnavet, président de la coopérative "Les Petites Fermes d'Azur" et auteur d'un livre, Le maraîchage sur petite surface, est en train d'installer les infrastructures de l'école qui doit ouvrir en septembre 2022. Elle s'installe à l'entrée des jardins familiaux du chemin de la Plaine de Laval à Cannes-La Bocca, en basse vallée de la Siagne.
Cette école pour former des paysans accueille déjà des pré-candidats : six personnes qui viennent d'horizons différents, mais qui veulent se reconvertir. Pour l'instant, ils participent à la préparation des terres.
Les nouveaux paysans, un ex-restaurateur, un barman, un parfumeur
Mickaël, 38 ans, ancien restaurateur, est "ravi de ce nouveau challenge de ce changement de vie. Je souhaite une vie différente dans une époque compliquée". Pascal, 56 ans, a "changé souvent de métier : j'étais serveur barman, peintre décorateur, puis j'ai bossé aux télécom... et maintenant, j'ai envie de ce retour à la terre et de pouvoir servir aux autres de la nourriture". Xavier, la cinquantaine, ancien forestier, a lui décidé de "se reconvertir dans le bio car on manque de terre dans notre espace urbain". Un ancien parfumeur et un ex-imprimeur ont aussi participé à l'aventure.
Neuf mois d'école pour devenir paysan
L'école de maraichage urbain propose une formation pratique et théorique et espère accueillir une trentaine d'élèves. En reconversion professionnelle, ils pourront bénéficier des aides habituelles via Pôle Emploi. Le ticket d'entrée est fixé pour le moment à 8.000 euros pour l'année.
Les 1.000 mètres carrés mis à disposition pour les neuf mois de formation pourront ensuite continuer à être exploités par celui qui a cultivé pour apprendre.
Pas du folklore ou un gadget, pour David Lisnard
La Ville de Cannes et la communauté d'agglomération Cannes-Pays de Lérins ont mis à disposition un terrain municipal de 14.000 mètres carrés situé en zone inondable. Le maire de Cannes, David Lisnard, est ravi : "Le maraîchage et l'agriculture locale et bio, ce n'est pas du folklore ou un gadget. Des professionnels, des indépendants peuvent en vivre. Une production 100% locale et 100% bio destinée aux cantines municipales. Il faut multiplier les circuits courts et il faut sanctuariser les terres à vocation agricole. Le coût des loyers est faible, 400 euros l'hectare par an. La Ville participe avec 130.000 euros pour la viabilité des terrains".
Article ville de Cannes https://www.cannes.com/fr/index/actualites/annee-2022/janvier/une-ecole-de-maraichage-urbain-au-coeur-de-la-basse-vallee-de-la-siagne.html
Article Nice Matin https://abonnes.nicematin.com/article/cannes-lance-son-ecole-de-maraichage-pour-proteger-la-biodiversite-et-nourrir-sa-ville--737952
Loin des paillettes de la Croisette, ils empoignent la binette pour reconquérir l’agriculture en milieu urbain. Sous le regard passionné et ambitieux de Christian Carnavalet, Meilleur Ouvrier de France en art des jardins et président de la coopérative "Les Petites Fermes d’Azur".
C’est en grande partie grâce à sa contribution que la Ville peut ouvrir cette nouvelle école de maraîchage dénommée Institut Moreau-Daverne (Le nom de l’institut rend hommage à deux maraîchers parisiens visionnaires du XIXe siècle, JG Moreau et Jean-Jacques Daverne, auteurs de manuels spécialisés qui font autorité., ndlr).
Celle-ci a été implantée sur un terrain municipal d’une superficie totale de 14 .000 m2, en septembre dernier, à l’entrée des jardins familiaux du chemin de la Plaine de Laval, à La Bocca.
Avec ce projet, l’agriculteur et agronome s’est lancé plusieurs défis. À commencer par rendre la terre plus accessible aux paysans.
Trouver un terrain agricole relève du parcours du combattant, tant le prix d’une location relève de l’indécence. "Ici, c’est parfait", sourit Christian Carnavalet avant de se tourner vers David Lisnard.
"Le loyer est très faible. C’est 400 euros l’hectare par an", précise le maire, pour qui le maraîchage et l’agriculture locale et bio ne sont pas "du folklore ou un gadget". Mais une réelle opération pour la protection de la biodiversité, le développement d’une filière locale et la multiplication des circuits courts.
French Method
Dorénavant, les 70 variétés de légumes cultivées sur l’exploitation seront servies dans les cantines municipales et aux restaurations commerciales.
Deuxième objectif: remettre à l’honneur une méthode ancestrale de semis, plantation et repiquage au potager. "Il s’agit de la French Method. Elle a été abandonnée en France", confie le président de l’école.
En quoi consiste-elle? "On plante, on repique, soit 1.500 gestes précis à réaliser tous les jours de l’année." Cela permet à "un maraîcher d’obtenir, à partir de 1.000 mètres carrés, un revenu de 2.000 à 2.500 euros par mois sans les charges".
Selon Christian Carnavalet, l’Institut Moreau-Daverne a "un but qu’on ne trouve dans aucun lycée agricole". À savoir: "former des paysans à leur compte".
Deux maraîchers déjà formés
Les élèves sortent des autres établissements avec "une simple formation théorique". "On les laisse trouver auprès des chambres d’agriculture des moyens de s’installer sans les accompagner."
Ce manque pédagogique, l’école entend bien le combler. Même si cela a un coût pour les intéressés: 8.000 euros le ticket d’entrée. Pendant la formation, entre neuf mois et un an, les apprentis ne perçoivent pas de salaire.
Or, comme "ce sont généralement des personnes en reconversion professionnelle", ces derniers sont "pris en charge par Pôle Emploi et touchent une allocation", rassure le président.
Et ensuite? "Ils deviennent officiellement agriculteurs et peuvent s’inscrire à la MSA". D’ailleurs, ils ne se retrouvent pas lâchés en pleine nature. "Ceux qui le souhaitent peuvent continuer à travailler sur notre parcelle de 1.000 m2 et bénéficier de toutes les cultures."
Actuellement, seuls deux apprentis, âgés de 20 et 38 ans, ont été formés.
Quatre autres intégreront l’école d’ici le mois de juin 2022, dont Micka Golé et Nicolas Le Borgne. À terme, l’exploitation pourra accueillir entre 12 et 18 élèves maraîchers.
Ouvrages d'art centenaires, les murs de pierre sèche structurent les restanques de nos vallées. Alain Régis, murailler de profession à La Bollène- Vésubie, reproduit depuis 1999 les gestes des anciens. Après le passage de la tempête Alex qui a fortement endommagé ce patrimoine architectural, de nombreux murs se sont effondrés laissant se déverser des mètres cubes de terre.
À pied d’œuvre, notamment à Belvédère, Alain évalue les édifices accessibles et les actions à engager. Il a transmis sa passion à son fils qui le seconde dans ces ouvrages. Pourtant il s’inquiète de la pérennité de ce métier dans les Alpes-Maritimes.
Autodidacte, il a appris son métier de l’observation des murs. Il est devenu bâtisseur en pierre sèche (l’autre nom du murailler), au fil des ans, en analysant la structure, l’épaisseur, l’inclinaison. "Il ne faut pas que le geste disparaisse, ce métier, c’est un respect pour nos anciens", confie Alain.
Essentiels à la biodiversité
Constructions en pierres sans mortiers ni liants, ces murets si représentatifs du paysage provençal ont acquis leurs lettres de noblesse. Ils assurent la stabilisation des sols et évitent le ravinement par l’eau de pluie. Leur structure drainante évitant le ruissellement. "On dit que le mur pleure", image le murailler.
Le mur de pierre héberge un petit monde qui vit en toute sérénité. Dans ses multiples interstices, dans ses cavités offertes aux rayons du soleil cohabitent lézards, toutes sortes d’insectes, gastéropodes, petits mammifères. Une vie animale mais aussi végétale en fait des lieux de biodiversité. Le Spéléomante de Strinati, espèce endémique ressemblant à une petite salamandre, aime trouver refuge dans les recoins calcaires de ces murets.
Un Tetris géant pour assembler les pierres
Alain monte ses murs avec les pierres de ceux qui se sont effondrés. Comme un Tetris géant il assemble, intercale, empile à la force des bras sans aucun outil. Il adapte le mur à la forme des pierres. Conçu pour résister des centaines d’années, son épaisseur fait sa force. En 2018, l’art, la technique et le savoir-faire de la construction en pierre sèche sont reconnus au patrimoine culturel immatériel de l’UNESCO.
Dans le département seulement une dizaine de muraillers (dont trois formés par Alain lui-même) œuvrent sur les murets et calades du littoral et de l’arrière-pays. Pour éviter que ce savoir périclite, Alain Régis anime des ateliers pierre sèche. Comme un devoir de transmission et de partage.
C’est désormais confirmé : les observations du grand public décrivent des phénomènes écologiques et biologiques majeurs, ouvrant de belles perspectives de recherche.
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Contact Hélène Bovalis