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Entreprise d'agencement sur mesure, Manufacture de la Méditerranée vous propose de réaliser l'ensemble du mobilier et de l'agencement de vos points de ventes, hotels, restaurants, bureau d'entreprise.
Découvert par article France bleu azur https://www.francebleu.fr/emissions/l-eco-d-ici/en-4-ans-cet-azureen-est-devenu-l-empereur-du-matelas-azureen-3666246#xtor=RSS-106
Comment se lancer dans l'entrepreneuriat, tout en privilégiant le "made in France" ? C'est toute la question que se sont posées Julien Bounicaud et Julianne Costes, partenaires à la ville et aux affaires. En 2019, les 2 azuréens se décident à conquérir le marché de l'agencement sur mesure en tout lieu. Première étape, le rachat d'une entité azuréenne du domaine de la literie :
"On voulait redonner un peu de sens à notre vie. Julianne arrivait du milieu bancaire, moi déjà de l'entrepreneuriat, mais on avait jamais vécu ensemble une aventure pareille, ni connu le rachat d'une entreprise. On est tombé sur la belle endormie de la Maison de la mousse à qui on a voulu redonner ses lettres de noblesse."
Un investissement réussi qui va leur permettre de créer leurs propres entreprises à côté : Le Matelas Niçois (assises, dossiers, banquettes, matelas, têtes de lit) et la Maison du Bois (meubles, tables, pergolas, cuisine, bibliothèque...). Tout ça a été réuni en 2022 pour former la Manufacture de la Méditerranée, rassemblant ainsi toutes leurs activités.
En septembre 2023, une nouvelle étape a été franchie avec le rachat de la menuiserie ébénisterie Dalmasso, existante depuis quatre décennies à Nice
Des épisodes pluvieux, plus ou moins forte intensité, avec des cumuls parfois importants, sont attendus en cette saison automnale. Cette année encore, la sécheresse des sols, qui retiendront moins d’eau, et la température exceptionnellement élevée de la Méditerranée sont des facteurs aggravants.
Les Alpes-Maritimes ont déjà fait face à des événements météorologiques graves ces dernières années, aussi la sensibilisation préventive est primordiale. Il convient de se préparer et préparer son foyer à faire face en cas d’alerte météo.
Les bons gestes
Adoptez les bons comportements en cas de phénomènes méditerranéens dangereux, tels que les pluies intenses et/ou les orages pouvant provoquer des inondations rapides :
Reportez tous vos déplacements, que ce soit à pied ou en voiture
Ne prenez pas votre voiture ou ne restez pas dedans ; quelques centimètres d’eau suffisent à l’emporter
Laissez vos enfants à l’école ou à la crèche : ils y sont en sécurité
Restez ou rentrez dans un bâtiment et réfugiez-vous à l’étage
Coupez, si possible et sans vous mettre en danger, les réseaux de gaz, d’électricité et de chauffage
Ne descendez pas dans les sous-sols ou les parkings souterrains
Éloignez-vous des cours d’eau, des berges et des ponts. Pour éviter la foudre, ne vous réfugiez pas sous un arbre
Restez informé et à l’écoute des consignes des secours et de votre mairie
Contactez les personnes vulnérables et isolées en privilégiant les SMS afin de laisser les réseaux disponibles pour les secours.
Nous avons demandé à un expert ses meilleures astuces pour ne pas rapporter des punaises de lit en souvenir de voyage.
Conseil n°1 : choisissez une valise en plastique de couleur claire
Les punaises trouvées dans les wagons ont peu de chance d'être des résidentes à l'année, ce sont plutôt des passagères clandestines, qui arrivent accrochées à un foulard, un gant, un sac en tissu en provenance des foyers des voyageurs.
Pour ne pas qu’elles migrent sur vous, évitez les valises en tissu et préférez des couleurs de valises couleur pastel. En effet, d’après Maurice Pierre, les punaises sont moins attirées par les couleurs claires et ne peuvent pas s'agripper au plastique.
Conseil n°2 : rangez vos accessoires dans un sac en cuir
Le spécialiste de la désinsectisation depuis plus de 15 ans, préconise de placer ses effets personnels, gants, foulards, bonnets et autres accessoires, dans des sacs en cuir fermés hermétiquement durant le voyage. Surtout, évitez de les poser à terre ou sur les sièges.
Conseil n°3 : secouez vos vêtements en sortant du train
"La punaise n'aime pas la lumière, explique Maurice Pierre, elle ira de préférence se cacher sous le siège et attendra sa proie". Les punaises de lit ne sortent que pour manger et elles se nourrissent de sang comme le moustique. Elles sont attirées par le CO2 émanant de l'Être humain, sa chaleur et la transpiration. Il y a des chances que vous soyez concerné. Alors lorsque vous sortez du train, du taxi ou de l'avion, pensez à bien vous secouer et secouer vos vêtements. Pour cela, il faut taper le pied par terre et frotter les vêtements avec sa main.
Conseil n°4 : utilisez la technique du sac plastique
Avant de partir en vacances, pulvérisez dans la valise vide et en extérieur de l'insecticide. Une fois que c'est sec, placez un sac en plastique vide au fond de la valise. Puis mettez le linge. Lorsque la valise est pleine, prenez un sac en plastique qui peut contenir la valise entière et placez-le dans la valise au-dessus du linge.
Lorsque vous arrivez sur votre lieu de vacances, inspectez la literie, déposez vos bagages dans le bac à douche, et laissez-les là deux nuits. Si au bout de deux nuits vous n'avez pas été piqué, vous pouvez mettre la valise dans la chambre, en évitant de la poser près du lit.
Lorsque vous quittez votre lieu de vacances, enfermez votre linge dans le sac que vous aviez initialement posé au fond de votre valise,de façon bien hermétique.
En sortant de l'avion, du train, avant de mettre la valise dans le coffre de votre voiture, d'un taxi ou d'un proche, enfermez votre valise dans le grand sac que vous aviez prévu avant de partir.
En arrivant chez vous, posez votre valise à l'extérieur si possible, sur du carrelage et enlevez ce sac et jetez-le dans une poubelle extérieure.
Conseil n°5 : posez du scotch sur le sol
Pour vérifier que votre bagage n’est pas infecté par des punaises, il suffit de poser du ruban adhésif double-face sur le sol autour de la valise à 60 cm du bord de la valise ouverte. Si des punaises tentent de se sauver de la valise, elles seront piégées sur l’adhésif.
Prenez ensuite d'autres sacs et répartissez votre linge dans ces sacs qui seront de la contenance d'une lessive pour votre machine à laver.
Une fois les vêtements placés dans la machine à laver, jetez le sachet plastique dans une poubelle extérieure et lancez un cycle complet à 60°C. Si certains vêtements ne peuvent pas être lavés à 60°C, placez-les dans un sac plastique au congélateur à -20°C pendant plus de quatre jours.
Autour du lit, on peut disposer du scotch double-face près de la tête de lit, ou au pied du lit pour tenter de piéger les punaises.
Conseil n°6 : fabriquez un leurre
Il n'y a pas de produits miracles contre la punaise.Certains produits vendus en supermarché contribuent à l'immunisation de la punaise si le traitement est mal fait. La molécule utilisée, au lieu d'anéantir la punaise, la rend plus résistante.
Chez soi, on retrouve les punaises principalement vers le bac à linge sale. On peut alors fabriquer un leurre. Prenez un tissu en coton, sans odeur de lessive de 15 cm environ. Passez-le sous vos aisselles sans déodorant. Mettez-le dans une boîte à plat avec du double-face autour de la boîte mais pas vers le sol. Veillez à prendre une boîte en matière qui agrippe un peu. La punaise attirée va rester accrochée sur l’adhésif.
Comment l'intelligence artificielle de Google fait baisser les émissions des voitures sur nos routes
Google a déployé sa technologie Green Light dans douze villes afin de fluidifier la circulation et de réduire les émissions de CO2.
Google s’attaque aux émissions de CO2
En plus d’être une frustration pour les automobilistes, les feux de circulation augmentent les émissions des gaz d’échappement. Google a décidé de s’attaquer au problème avec Green Light. Une technologie alimentée par l’intelligence artificielle, qui, couplée à Google Maps, tente de réguler le plus efficacement possible les infrastructures. Après analyse des données de circulation, le système formule des recommandations pour optimiser la durée des feux de circulation.
Les modifications sont ensuite appliquées par des ingénieurs locaux. Green Light est capable de créer des « vagues de feux verts » qui peuvent fluidifier le trafic et donc permettre de réduire les émissions de CO2. Contrairement à un système de surveillance en direct, la technologie de Google ne nécessite aucune mise à jour de l’infrastructure existante. Avant l’aide de Google, les feux de circulation étaient optimisés « à l’aide de capteurs coûteux ou d’un décompte manuel des véhicules ».
La pollution est très élevée au niveau des intersections
Des méthodes archaïques qui n’auront peut-être bientôt plus lieu d’être. Les effets de Green Light seront encore plus évidents dans les endroits où les feux de circulation ne bénéficient d’aucune supervision. Là où leurs paramètres sont obsolètes depuis des années. Plusieurs études montrent qu’au niveau des intersections régulées par des feux, « la pollution est 29 plus élevée que sur les routes ouvertes ». 50 % des émissions sont dues aux arrêts et aux démarrages des véhicules.
Selon Wired, les premiers résultats sont concluants. Google affirme que son système est capable « de réduire les arrêts de 30 % et les émissions de gaz d’échappement de 10 % ». Voici les villes qui bénéficient pour le moment de cette technologie : Seattle, Rio de Janeiro, Manchester, Hambourg, Budapest, Haïfa, Abou Dhabi, Bangalore, Hyderabad, Kolkata, Denpasar et Jakarta. En parallèle, Google mène d’autres initiatives pour tenter de réduire les émissions de CO2 liées à la circulation des voitures.
Il y a notamment les éco-routes. Google Maps propose l’itinéraire le plus économe en carburant depuis un peu plus d’un an. Déjà disponible aux États-Unis, au Canada, en Europe et en Égypte, la fonctionnalité sera étendue à de nouveaux marchés cette année. Autre initiative à venir : le moteur de recherche de la firme américaine proposera bientôt des « itinéraires alternatifs » lorsqu’un utilisateur sera en train d’effectuer une recherche pour un vol. Le train sera notamment mis en avant.
Ou pas. Du moment que les nobles peuvent se gaver, c’est tout ce qui compte : (source)
Et voici la réaction de Geoffrey Dornes, que je partage : Je baisse, j’éteins, je décale. Et je lève le pied. https://jaffiche.fr/je-baisse-jeteins-je-decale-et-je-leve-le-pied-1933
Car tant que les « gestes pour la planète » seront imposés aux gueux pendant que les nobles se gavent, on peut considérer que l’écologie est une cause perdue.
Je suis sérieux : une cause perdue. Ça ne sert à rien.
Pendant qu’on baisse le chauffage ou qu’on pisse sous la douche, y a un projet pour faire des JO 2026 d’hiver en plein désert et la coupe du monde 2030 en Europe, Afrique et Amérique du Sud à la fois.
Bilan carbone des avions ? Mais osef !
Bilan carbone des clims géantes dans le sable ? Balek !
Le fric d’abord bordel : le but c’est que les gens soient devant leur télé et pas dans la rue, comme ça ils voient les publicités des sponsors et consomment. C’est ça qui finance ces événements, et ces événements sont à leur tour rentables pour les sponsors.
Avec ces gestes, on n’arrivera à rien. Non, être neutre en carbone dans un siècle ne résoudra rien non plus. Il faut avoir un bilan négatif pour rattraper nos conneries. Et pas dans cent ans, non, on aurait dû l’être y a 30 ans environ.
À titre d’exemple, pendant que je dis ça, on est à +12 °C au-dessus des températures de normales, en déficit de 50 % de pluviométrie sur la saison, et on bat non seulement tous les records sur ces deux métriques, mais on bat aussi le record du nombre de records battus ! Est-ce qu’on mesure l’ampleur de ce qui passe là ? Nah.
À ce rythme il ne restera bientôt plus assez d’arbres sur Terre pour imprimer le Livre des Records Édition Spéciale Climat tellement il sera gros !
Rouler à 110 au lieu de 130 ? Je le fais, et vous devriez aussi. Mais pas pour la planète. Faites-le votre porte-feuille (on y gagne pas mal en vrai, sans perdre réellement en temps).
Et si on vous demande : mentez.
Mentez aux autres, personne n’ira vérifier.
Mais ne vous mentez pas à vous-même : vous savez très bien que même si 60 millions de personnes éteignaient leurs lumières ou roulaient moins vite, ça ne compenserait que dalle à côté des événements émetteurs à mort mais qu’on continue parce que l’économie en a besoin pour ruiner le climat.
Non, pour la planète, il faudrait brûler un noble.
Mais je crois c’est interdit.
Too bad.
Du coup c’est comme je dis : une cause perdue
Le prix Jeunes Talents décerné par la Fondation L’Oréal en partenariat avec l’Académie des sciences et la Commission nationale française pour l’UNESCO distingue à la fois les Sciences et les femmes. Pour sa 17e édition, 35 chercheuses françaises sont mises à l’honneur cette année. Parmi elles, trois scientifiques azuréennes, doctorantes ou post-doctorantes dans des laboratoires de la Côte.
À l’image de Swarn Priya. Elle a grandi "dans une petite ville de l’Inde" où il n’y avait "pas d’ordinateur ni de wifi". Elle explique avoir toujours été fascinée par "les capacités des ordinateurs". Après un master aux États-Unis et un doctorat à l’INRIA de Sophia Antipolis, cette chercheuse contribue aujourd’hui à rendre plus sûrs nos achats en ligne. À 27 ans, elle est une spécialiste des questions de cybersécurité.
Pas forcément un "rêve d’enfance"
C’est aussi dans un laboratoire commun de l’Inria et de l’université Côte d’Azur qu’Alesia Herasimenka poursuit ses recherches. Elle est d’origine Biélorusse et a "toujours été intéressée par les mathématiques".
Travailler dans l’astrodynamique n’était pas forcément son "rêve d’enfance". Pourtant, au fil de rencontres avec des gens passionnants, c’est bien vers ce domaine qu’elle s’est orientée. Plus précisément celui des voiles solaires, une nouvelle technologie qui ouvre de nouveaux horizons à l’exploration spatiale grâce à l’utilisation de la lumière du soleil comme carburant.
Elena Mikheeva travaille quant à elle dans le domaine de l’optique et de la photonique. Cette Russe de 32 ans est arrivée en France en 2015 dans le cadre du programme Erasmus.
Après un passage par Paris elle a intégré le laboratoire du CREAT à Sophia travaille sur le sujet des métasurfaces. Il s’agit là aussi d’une technologie de pointe aux applications prometteuses, notamment en matière de miniaturisation et de traitement de la lumière.
"La science n’est pas réservée aux hommes"
Toutes trois viennent donc d’être distinguées par la Fondation L’Oréal. C’est évidemment "la reconnaissance de leurs travaux de recherche", se réjouissent-elles en chœur. C’est aussi, pour elles, la démonstration que "la science n’est pas une discipline réservée aux hommes". Au contraire, rappellent-elles, "c’est la diversité des équipes de recherche qui, bien souvent, permet d’innover". Les femmes ont donc "beaucoup à apporter" à la science. À condition que l’on lève enfin les obstacles culturels et les stéréotypes qui trop souvent encore entravent leurs études ou leurs carrières. Aucun d’eux n’est insurmontable. Elles en sont la démonstration.
Il pleut, il mouille, c’est la fête à la grenouille. Il faut célébrer la pluie parce qu’elle est nécessaire à l’équilibre de la planète. Seulement, une pluie qui ruisselle mal, qui s’infiltre mal dans les sols, une pluie trop abondante, ça peut parfois être fatal. Entre une urbanisation galopante et le changement climatique observé, il convient de s’occuper sérieusement du problème de l’eau.
Innovation de rupture
F-Reg https://f-reg.fr/, la société fondée à Biot en 2014 par Emmanuel Curinier et Thierry Courbon, a la solution. Elle a déposé un brevet pour son innovation de rupture qui consiste à poser une vanne hydrodynamique (aux paramètres de fonctionnement établis sur-mesure par le bureau d’études F-Reg) sur un réseau d’assainissement déjà en charge ou nouvellement créé. L’idée est d’utiliser ce réseau et lui donner une fonction de stockage.
"Nous souhaitons que notre innovation ait un réel impact sur l’environnement. Nos vannes permettent de faire face aux fréquentes mises en charge des réseaux d’assainissement, provoquées soit par des pluies importantes, soit parce que le réseau existant est sous-dimensionné... Nous sommes en croissance et cette levée de fonds va nous permettre d’accélérer pour atteindre 10 ME de chiffre d’affaires d’ici 2026 contre 1,5 million d'euros cette année", indique le cofondateur Emmanuel Curinier.
Cette levée de 2 millions d’euros, bouclée en moins d’un an auprès du fonds d’investissement toulousain iXO Private Equity, va contribuer à soutenir l’expansion de la structure.
Bilan carbone divisé par 25
Premier réflexe, staffer. Pour l’heure, seize personnes composent la société basée à Biot, dont sept collaborateurs en bureau d’études. L’équipe devrait s’étoffer. "Nous recherchons des commerciaux et des profils dans la production pour augmenter notre visibilité en local, avant de performer à l’international."
Actuellement, plus de 160 vannes F-Reg ont d’ores et déjà été posées en France, à Monaco et Bruxelles. Plus de 40 collectivités sont déjà équipées de cette technologie. C’est beaucoup? "Trop peu, répond Emmanuel Curinier, quand on sait qu’il existe plus de 15 000 services qui gèrent des systèmes d’assainissement..." D’où ce tour de table qui va permettre de déployer les équipes pour faire savoir ce savoir-faire. Ce qui est toujours difficile. "C’est un milieu où il y a nombre d’acteurs à convaincre, poursuit le cofondateur.
Et d’énumérer: Le bureau d’études prescripteur, l’Agence de l’eau qui finance, la police de l’eau qui vérifie la conformité, le client et parfois son exploitant. Certes, on nous écoute différemment aujourd’hui parce que notre solution fait ses preuves dans plusieurs villes. D’autant que, dans des zones où il y a des problèmes de pollution en temps de pluie, on a le choix entre installer un bassin d’orage ou de rétention avec des travaux lourds et un bilan carbone catastrophique ; Ou alors utiliser le patrimoine existant et diviser l’addition par cinq ou dix (car plus besoin de foncier, etc) et diviser par 25 le bilan carbone (plus de béton, plus de terrassement) pour une mise en place en quelques mois."
Parfois, suivant les installations en place, ce n’est pas toujours envisageable, mais quand ça l’est, tout le monde y gagne. Surtout la planète.
Comment reprendre une maison fissurée?
Lorsque les sinistrés sont indemnisés par leur assurance, les experts optent souvent, à mes yeux, pour la mauvaise option de reprise: l’injection de résine. Trois à quatre fois moins chère que les plots en béton ou les micropieux - méthodes classiques et plus efficaces -, elle permettrait de consolider les fondations. Or, il n’y a pas suffisamment de recul sur ce matériau. Il suffit que la résine soit mal dosée pour qu’elle casse avec les mouvements de terrain. Fragilisant encore plus la maison et provoquant de nouvelles fissures…
Les propriétaires n’en sont pas informés?
J’ai plein de clients qui pensent, naïvement, qu’ils ont été correctement dédommagés. Il y a peu, une personne m’annonçait que son assurance lui avait fourni 30.000 euros pour réaliser les travaux. Pour information, mon devis le plus bas avec la technique des plots en béton - car je n’utilise la résine qu’en dernier recours - est de 50.000 euros. Et 150.000 euros minimum avec les micropieux. Selon moi, les indemnisations ne sont pas suffisantes pour sécuriser efficacement les propriétaires.
Faut-il être aisé financièrement pour s’en sortir?
Ceux qui ont beaucoup d’argent peuvent sauver leur propriété. C’est certain, une maison correctement consolidée dans le sol ne bougera plus, même avec le phénomène de retrait-gonflement des argiles (RGA). Mais pour les autres, mal indemnisés ou avec leur dossier classé sans suite, je me retrouve à faire beaucoup de social. Des clients me disent: "Ma maison ne vaut plus rien". Je vois des personnes désespérées tous les jours.
Avez-vous des conseils à donner à nos lecteurs?
Je conseille toujours, pour ceux qui le peuvent, de mandater un expert d’assurés pour une contre-expertise. Il peut émettre un avis différent de l’expert d’assurance et, peut-être, sauver votre dossier.
Commentaire
Il y a pas un léger conflit d'intérêt là ?
Bonjour je suis un pro du bâtiment et ça serait cool que les assurances me payent des travaux 5x plus cher, c'est mieux pour mon entreprises vous comprenez
Hébergée provisoirement, depuis le 3 avril dernier à la Frayère, La Plateforme, berceau cannois de l’initiation et du perfectionnement au numérique, "mène depuis quatre ans son action, avec une double approche: former professionnellement aux métiers du numérique de la façon la plus large possible pour favoriser le développement économique, et sensibiliser au sein d’un lieu dédié les populations aux sujets du numérique", explique Cyril Zimmermann, cofondateur de l’établissement.
À partir d’avril 2024, l’école prendra ses quartiers définitifs boulevard de la République. Limitée à 42 étudiants aujourd’hui, la capacité des nouveaux locaux permettra d’accueillir jusqu’à 200 élèves.
"Notre volonté, c’est d’aller chercher des publics différents. Ceux qui voulaient faire de l’informatique mais aussi ceux qui n’y avaient pas pensé. L’idée est donc de faire de l’initiation aux métiers du numérique, de 10 à 17 ans, par de l’éducation au numérique, à l’image numérique, à la programmation. On cible tous les publics et surtout les jeunes filles parce que l’informatique n’est pas une discipline genrée et elles sont les bienvenues", ajoute Cyril Zimmermann.
Évolution perpétuelle
Depuis la semaine dernière, cette nouveauté s’est concrétisée: "On se rend dans les écoles cannoises. On s’est rendu compte que, pour diversifier la population qui se prépare à ses métiers, il faut aller sensibiliser les publics dès le plus jeune âge et ne pas attendre qu’ils sortent du lycée", ajoute le cofondateur. Après un test à Marseille début 2022, et avoir reçu l’appui du conseil départemental pour déployer l’idée à grande échelle, l’initiative va continuer à se développer, davantage encore, dans les nouveaux locaux, plus spacieux. "On a des élèves de 16 à 61 ans, homme et femme… Un public large qui crée des promos qui sont sympa! Notre objectif, c’est lever les freins, et que notre porte soit ouverte à tous", lance Roxan Roumegas, directeur général adjoint de l’établissement.
"Les cursus évoluent, ça fait partie de l’ADN de La Plate-forme. Chaque année, on rencontre des entreprises et des gens du milieu pour adapter au besoin les contenus pédagogiques. On a en général des formations plutôt longues, ce qui permet cette souplesse. La jeunesse de l’école fait que c’est la première fois, à Cannes, qu’on va effectuer ce travail-là", précise Pascal Assens, cofondateur de l’école.
Victor, 28 ans, est conquis: "J’ai trouvé cette école au travers de France Travail. C’est un univers qui m’intéresse énormément, je suis passionné par le numérique. Alors, je me suis lancé!" Un établissement que David Lisnard, maire de Cannes, s’est dit "fier d’accueillir dans le quartier République (...) afin d’y développer des formations en lien concret avec le tissu entrepreneurial local et de stimuler l’innovation dans les domaines de l’économie créative".
L'atelier de Lorenzia Biscuiterie artisanale
découvert par article France Bleu Azure https://www.francebleu.fr/emissions/l-eco-d-ici/a-peillon-elle-cree-des-biscuits-aux-gouts-de-souvenirs-5615063#xtor=RSS-106
Comme beaucoup de belles histoires, rien ne la prédestinait à devenir pâtissière. C'est en 2018 qu'elle décide de faire une reconversion professionnelle, et de partir dans ce domaine qui lui tient à cœur, étant elle-même fille et petite-fille de pâtissiers.
Son objectif : créer des biscuits qui lui rappellent ses saveurs d'autrefois. Après sa formation, elle loue déjà un premier laboratoire de fabrication à Drap, ce qui lui a permis de tester le marché. Sa biscuiterie artisanale, L'atelier de Lorenzia, est née.
Au menu : Tuiles au graines de sésame, sablés, gressins à la pâte d'olive (du moulin de Peillon), ou encore diamants au citron.
Mais pourquoi "Lorenzia", alors qu'elle s'appelle Corinne ? Là aussi, il faut remonter le temps :
"J'ai fait la contraction des prénoms de mon père et de mon grand-père, Lorenzo et Ezio. Au féminin, ça a donné Lorenzia."
Depuis février 2022, le laboratoire de fabrication est basé à Peillon dans les Alpes-Maritimes tout près de Nice, avec une petite boutique de vente au détail. Autre étape importante : le soutien en 2023 du Popup Initiative qui propose les biscuits de Corinne dans sa boutique à NICETOILE.
Invitée de France Bleu Azur, Corinne est venue régaler l'équipe du 6/9 avec plusieurs de ses créations
La biscuiterie L'atelier de Lorenzia est située au 672, avenue de l'Hôtel de ville.
Lynx is the ultimate device for Mixed-Reality. It is the first standalone headset capable of both Augmented-Reality and Virtuality-Reality. Lynx is GDPR compliant, with a privacy-by-design philosophy. Lynx is an open platform.
Découvert par Podcast De quoi jme mail du 13/10/2023 https://www.youtube.com/watch?v=WKYkn-zvGj8&list=PLPs4MV1lEvkfKCtzTsm_wKfwaUiljeBUS&index=3
Pour ce nouvel épisode, consacré aux risques d’inondations, le journaliste a parcouru de nombreux kilomètres au sein de l’hexagone et il s’est particulièrement arrêté dans les Alpes-Maritimes.
À Mandelieu-la-Napoule, d’abord, commune frappée trois fois ces dernières années par des inondations monstres, et qui a investi dans des véhicules amphibies! Conçus par et pour l’armée suédoise, ils permettent d’aller porter secours aux sinistrés dans les cas extrêmes. Une première en France!
Par la suite, l’homme a rencontré Francine Bégou-Piérini, 83 ans, à Biot, une militante acharnée contre la bétonisation. Victime d’une inondation en 2015, elle tient tête aux promoteurs immobiliers autour de chez elle avec une énergie incroyable pour qu’ils renoncent à imperméabiliser les sols. Hugo Clément a également été à la rencontre d’Eric Daniel-Lacombe, LE grand spécialiste de l’urbanisme en zone inondable.
Il a créé un quartier entièrement résistant aux inondations à Romorantin (Loir-et-Cher). Depuis, il invente de nouveaux aménagements dans la Vallée de la Vésubie et ailleurs pour protéger les habitants des tempêtes à venir. Trois ans après les ravages de la tempête Alex sur notre territoire, les choses ont-elles changé?
"Sur le front, orages, inondations: sommes-nous prêts?", ce lundi à 21h05, sur France 5.
En 2019, le Pays de Grasse se posait comme précurseur du covoiturage domicile-travail dans l’ouest du département en scellant son partenariat avec Klaxit, l’opérateur numéro un dans ce domaine. Rejoint plus tard par Cannes Pays de Lerins puis la Communauté d’agglomération Sophia Antipolis.
Ils sont aujourd’hui 3.500 inscrits sur le Pays de Grasse dont 2.000 covoitureurs réguliers et 27.000 trajets réalisés au 1er trimestre 2023. Sur Cannes Pays de Lerins, il y a 5.000 covoitureurs inscrits sur Klaxit, dont 50% sont des utilisateurs réguliers. Enfin sur la Casa, qui a rejoint le dispositif au mois de juin, on dénombre déjà 8.000 inscrits et 22.000 trajets réalisés en cinq mois, soit entre 500 et 600 trajets par jour. Et un très fort potentiel à développer encore avec le bassin d’emplois de la technopole.
Alors comment relever ce challenge?
"Pour que ça marche, il faut créer très vite une masse critique d’utilisateurs qui permettent à la communauté de fonctionner", explique François Fantin, le directeur Régional du Développement chez BlaBlaCar Daily qui a racheté il y a peu Klaxit.
Gratuit pour le passager, le conducteur rémunéré
Et pour cela le levier le plus efficace, "c’est l’implication des collectivités territoriales à travers le subventionnement des trajets qui se font via l’application Klaxit", comme c’est le cas ici à l’ouest du département des Alpes-Maritimes.
Explications. Sur le Pays de Grasse, Cannes Pays de Lerins et la Casa, la course est gratuite pour le passager, indépendamment de la distance parcourue. Et le conducteur est subventionné: 1,5 euro pour un trajet entre 2 et 15km, 10 centimes de plus par km entre 15 et 30km et 3 euros pour les trajets de plus de 30km. Ainsi, le maximum journalier pour un conducteur est de 24 euros par jour s’il prend 4 passagers pour l’aller et le retour.
Quand on part par exemple de Nice Nord pour le Plan-de-Grasse, un trajet (47km pour un aller simple) c’est 8 euros en moyenne entre les péages et l’essence. En covoiturant, le conducteur divise donc ses frais par 2 ou 3. Le covoiturage devient alors un moyen pérenne, durable et écologique de maîtriser son budget automobile en réduisant son empreinte carbone.
L’appui des entreprises
À l’incitatif financier, s’ajoutent aussi la communication des collectivités mais aussi, et surtout même, un réseau d’entreprises du secteur qui peuvent elles aussi communiquer auprès de leurs salariés. "S’appuyer sur des entreprises c’est en effet se donner le plus de chances de développer le covoiturage, car au départ vous vous adressez à des salariés qui vont aller au même endroit et qui aiment covoiturer ensemble car ils appartiennent à la même boîte. On crée ainsi le socle plus facilement." Sur le Pays de Grasse, une dizaine d’entreprises jouent ce jeu-là, comme le centre hospitalier ou le groupe Robertet. Sur la Casa, Amadeus ou encore Air France ont aussi adhéré.
"La clé de la réussite, c’est bien une alliance entre les différentes collectivités et les gros employeurs du secteur, confirme François Fantin. Nous ne sommes qu’au début de l’histoire. Le potentiel de développement du covoiturage de courte distance est énorme par rapport au nombre d’autosolistes, les 3/4 des conducteurs, sur les routes."
Et à l’avenir, il faudra aussi sans doute le combiner avec d’autres démarches comme les parkings dédiés au covoiturage et des voies de circulation réservées.
Le réseau mondial de partage d'observations en mer, sur le littoral et sur terre
71 likes, 2 comments - tra_district le June 3, 2022: "🥳🤩Merci a l’équipe de @nice_matin pour cet article 😍un immense cadeau pour la premiè..."
découvert par article de presse https://www.francebleu.fr/emissions/l-eco-d-ici/les-creations-uniques-et-ecoresponsables-des-caprices-de-malou-4127459#xtor=RSS-106
Amandine a sa propre boutique "Les caprices de Malou" au 16, rue Parmentier à Nice, mais elle a aussi plusieurs de ses articles au PopUp Initiative, à NICETOILE.
Une plateforme d’achats et de services locaux à Nice et 06 qui mettent en avant des démarches écoresponsables. E-commerce...
découvert par https://www.francebleu.fr/emissions/l-eco-d-ici/la-gazette-nicoise-recense-tous-les-commerces-locaux-7524431#xtor=RSS-106
Un site où l'accompagnement est personnalisé en fonction de chaque profil d'étudiant, pour leurs stages, alternances, ou premiers postes.
Vous constatez la présence de chats errants libres dans votre quartier ou sur un secteur donné ? Aidez-nous à les faire stériliser afin d’éviter une reproduction incontrôlée qui expose ces animaux à une vie difficile, empreinte de souffrance. A Mougins, la police municipale reste l’interlocuteur privilégié.
Pour toute demande d’intervention pour la stérilisation de chats errants libres, envoyer un mail à pm@villedemougins.com ou un courrier (763 chemin des Cabrières).
Faites-y figurer les renseignements nécessaires, à savoir :
Votre nom
Adresse
Numéro de téléphone
Lieu exact où se trouvent les chats errants
Le nombre de chats adultes et de chatons si possible
Après connaissance de votre signalement, la police municipale de Mougins contacte l’association titulaire du contrat qui prendra attache avec vous afin de vous informer de la mise en place de la capture des chats errants.
Une fois l’intervention de stérilisation réalisée, les animaux sont remis en liberté, précisément sur le lieu de leur capture afin de perturber le moins possible leurs habitudes.
Ce service, d’utilité publique, est gratuit pour les Mouginois.
Notez bien que l’association ne peut être contactée directement, la demande doit obligatoirement transiter par la police municipale, dont les agents sont formés et sensibilisés à la cause animale.
Pour tout renseignement complémentaire, contactez le 0492922222
Ce site est destiné à tous ceux qui désirent réparer leur objet du quotidien
Découvert par article nice matin https://www.nicematin.com/conso-shopping/on-vous-explique-comment-faire-reparer-gratuitement-vos-appareils-electriques-pres-de-chez-vous-874542
Les punaises de lit sont des insectes parasites qui vivent à l'abri de la lumière, dans les espaces sombres.En cas d'infestation d'un logement, il est nécessaire de procéder à des mesures strictes pour limiter leur prolifération jusqu'à l'élimination.