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Consciente des difficultés rencontrées par l’élevage en zones de présence des grands prédateurs, l’association FERUS a mis en place il y a 20 ans un programme de soutien appelé PastoraLoup.
https://m.facebook.com/groups/562892347142434/
Découvert par vidéo youtube la salamandre sur le film "vivre avec les loups"
Des congés, Steven Le Bris n’en prend jamais. Pourquoi faire? L’ingénieur informatique se passionne pour son métier.
Mais voilà que le jeune homme à la longue barbe blonde se retrouve en vacances pendant une semaine. Un laps de temps bien trop court, diraient certains. Une éternité, selon lui.
"N’ayant pas envie de m’ennuyer ou de jouer à des jeux vidéo toute la journée, je me suis dit que je pouvais offrir de mon temps pour réparer des ordinateurs gratuitement."
En un seul clic, Steven Le Bris poste une publication sur un groupe Facebook dédié aux habitants de Grasse, cité dans laquelle le Breton s’est installé il y a un an et demi.
"Je m’attendais à retenir l’attention de deux ou trois personnes. Confier un ordinateur à un inconnu, ce n’est pas rien. Il y a tellement de données personnelles à l’intérieur." En quelques heures, Steven Le Bris croule finalement sous les messages.
Tant de demandes auxquels le salarié de l’ESN (entreprise du service numérique) Inov Team, à Sophia-Antipolis, prend le temps de répondre. Avec un mot gentil pour chacun. "Cela fait parti de mon éducation..."
Ordinateurs et consoles de jeux
Véritable Lucky Lucke de l’informatique, Steven Le Bris répare un appareil en une heure, un ordinateur comme une console de jeux (il n’accepte pas les tablettes et les équipements endommagés physiquement).
"En trois jours, douze m’ont déjà été confiés." Si bien que le salon de son appartement s’est transformé en véritable atelier de réparation. "C’est la première fois que cela m’arrive."
Sans demander le moindre sou, insiste-t-il. "Certaines personnes souhaitent me payer, mais je refuse. Je le fais réellement par plaisir. J’ai déjà tout ce dont j’ai besoin. Je ne manque de rien. J’ai simplement du temps à offrir."
Et de la sympathie, aussi. Grâce à cette démarche, Steven crée de liens pour le moins inattendus. "Je fais des rencontres formidables avec des personnes que je n’aurais jamais pensé croisées un jour. Je suis vraiment agréablement surpris par l’entraide qu’il y a, à Grasse."
Favoriser la seconde vie
Pourquoi jeter quand l’on peut réparer? Sans pour autant s’attarder sur l’impact environnemental, Steven Le Bris souligne l’importance du reconditionné.
"Même si un ordinateur est vieux et lent, il suffit parfois de changer une seule pièce pour qu’il soit boosté et puisse être utilisé dix ans de plus."
Dans ce cas, la prise en charge du matériel nécessaire est aux frais du propriétaire. "Je laisse la personne commander la pièce sur le site de son choix et me l’amener."
S’il y a bien une des choses que Steven Le Bris apprécie, c’est de rendre service. Et, surtout, "se challenger". "Je suis né pour l’informatique. Ces réparations me permettent d’apprendre et de me perfectionner."
Le succès de son initiative lui a donné de belles idées, comme la création d’une association en ce sens.
Cours pour seniors
Même si Steven Le Bris reprendre le cours de sa vie mardi prochain, sa générosité restera intacte. Dans son temps libre, l’ingénieur informatique continuera à offrir ses compétences. Preuve en est, la création de son association : GRIT (Grasse Reconditionning IT).
Spécialisé dans la réparation des ordinateurs et reconditionnement du matériel information, le bénévole proposera également des formations aux séniors afin de les aider à utiliser Internet pour leurs besoins quotidiens.
"Il est aussi possible de m’amener du vieux matériel non utilisé que je pourrais remettre en état pour les donner à des personnes dans le besoin, des étudiants, des personnes âgées..." Steven Le Bris se rapprochera des associations locales pour pouvoir mettre en place ce projet.
Le contacter
Mail : contact@association-grit.fr
Site : association-grit.fr
Association à Nice
découvert par https://www.francebleu.fr/infos/societe/cette-nicoise-recueille-les-chevaux-maltraites-et-abandonnes-6064682#xtor=RSS-106
Une trentaine de chevaux abandonnés, maltraités, blessés, en fin de course sont choyés dans le refuge de Frédérique Goulard. Son association "Cheval Libres 06" a besoin de votre soutien financier.
À Nice, depuis sept ans, une association "Cheval Libre 06" offre une seconde vie à ces équidés en grande souffrance. Dans ce refuge situé à Nice Saint Isidore, 28 chevaux en fin de carrière de course, blessés, abandonnés ou maltraités par leurs propriétaires. Au milieu de la plaine du Var, ce terrain de 9.500 mètres carrés est un havre de paix pour les équidés.
À la tête de cette association, Frédérique Goulard. Depuis sept ans, cette Niçoise, du foin dans ses cheveux, se dévoue totalement pour ses animaux. Elle baigne dans le monde équestre dès son enfance. Son père était éleveur équestre en Bourgogne. "Les souvenirs avec mon père, c'est avoir froid dans les bottes en caoutchouc, toujours faire lus pour les chevaux, les emmener brouter au quotidien. Le bien-être avant toute chose", témoigne Frédérique.
"Ce sont mes enfants. Je suis h24 avec eux."
Un dévouement au quotidien : "Chaque cheval est rempli de soins, d'amour et de caresses. Ce sont mes enfants. Je les connais absolument tous, leur caractère et leurs besoins. Je suis H24 avec eux. Je renonce à des dîners en famille et avec des amis pour choyer mes chevaux. Ils ont besoin de moi, et n'ont que moi."
Après s'être occupée de ses chevaux, une nouvelle journée commence à partir de 14h. Frédérique est esthéticienne. Elle fait des soins pour payer foins, frais de vétérinaires, médicaments et loyer du terrain à 1600 euros de loyer. Pour finir le mois, Frédérique a besoin de votre soutien financier. Vous pouvez l'aider en envoyant un chèque à l'adresse : 11 chemin des Serres à Nice
Le projet était dans les cartons depuis plusieurs mois. Début août, Roller Galaxy a débarqué dans la cité des festivals! À l’origine de cette association, Thaïs Coupet, star d’Instagram et monitrice de patin à roulettes.
L’association est basée à Cannes, mais le but est d’organiser des événements dans toute la région, de Nice à Marseille", précise la trentenaire.
Des soirées roller disco et "aperoller", des initiations au roller quad et au skatepark, des ateliers d’entretien du matériel ou encore des projections de films sur l’histoire du roller…
C’est en fédérant une communauté à travers ses cours et via Instagram (où près de 50.000 personnes suivent ses aventures!) que Thaïs a eu l’idée d’une association.
"Je donne des cours individuels et collectifs depuis plus d’un an, et je voulais mettre en place quelque chose d’accessible au plus grand nombre, parce que tout le monde ne peut pas se payer des cours."
À travers Roller Galaxy, la trentenaire souhaite fédérer et partager les valeurs de cette discipline: inclusivité, transmission, partage, entraide, solidarité…
"La sécurité, dans tous les sens du terme, que ce soit durant la pratique ou dans l’espace public, est aussi très importante pour nous. L’idée est d’aider les personnes qui ont envie de se lancer mais qui n’osent pas. Tout le monde est le bienvenu, peu importe son niveau ou son âge."
C’est d’ailleurs le message passé à travers le logo, qu’elle a imaginé : un squelette qui essaye d’attraper un patin posé sur l’anneau de saturne. "Un squelette, c’est neutre, on ne sait pas si c’est un homme, une femme, ni son âge… ça représente bien l’association! Je voulais créer une identité visuelle forte et j’aime tout ce qui touche à l’espace et aux années 60/70."
Un dessin que l’on retrouve notamment sur les t-shirts vendus lors des événements: "de la seconde main, floquée par une artiste locale!"
L’association célèbre ses 50 ans mais souffre toujours d’un manque de visibilité. Peut-être du fait que le sport adapté lui-même est encore mal connu.
"L’Azuréenne des sports adaptés" dont le siège social est à Cannes (4 avenue du Nord, 06.48.18.80.52.) accueille une centaine de sportifs provenant de tout le département. Son président, Jean-Georges Desens, répond à nos questions.
Handi sport et sport adapté, c’est la même chose?
Pas du tout! Le handi sport concerne les déficiences motrices et sensorielles; le sport adapté, lui, englobe le handicap psychique, mental et les troubles autistiques. Cette différence est encore très méconnue. Pourtant, notre fédération est la plus importante en nombre de licenciés (60.000 en France) pour ce qui concerne le handicap. Et nous venons de recevoir, de la part du ministère des Sports, la délégation pour 21 disciplines sportives.
L’actualité de l’association azuréenne?
Notre activité phare est l’aisance aquatique avec les séances "J’apprends à nager". Nous y accueillons, chaque samedi matin, une dizaine de personnes qui apprennent à apprécier et à se débrouiller dans l’eau. Ils sont encadrés par trois maîtres nageurs sauveteurs.
Vous souhaitez aussi développer le sport féminin.
Oui, car beaucoup de nos activités sont pratiquées par des hommes. Nous souhaitons mettre l’accent, cette année, sur la danse moderne.
Quelles activités proposez-vous?
Tennis, basket, futsal, judo, équitation, kayak, pétanque, natation, tennis de table et danse. J’insiste sur le fait que nous proposons deux types d’activités : de compétitions et de loisirs.
Et du coup, vous avez des champions?
Oui, trois champions de France en natation: Johan, Fannie et Nolwenn et des médaillés en judo.
Quelle est votre plus grosse difficulté aujourd’hui?
Les emplois… Le financement des emplois est compliqué…
Et votre premier besoin?
Nous avons un gros besoin de bénévoles. Nous recherchons des gens qui pratiquent un peu de sport et connaissent le handicap. Cela dit nous formons aussi nos bénévoles. Et puis, nous souffrons d’un grand manque de visibilité, donc si quelqu’un peut nous aider à ce niveau-là…
Votre fierté, pour finir?
Je suis particulièrement fier de la participation citoyenne de nos sportifs. Deux d’entre eux - Caroline et Romuald - siègent même au conseil d’administration et donnent leurs préconisations.
Sur la table, des chaussures s’alignent. Dans quelques minutes, chemises, robes et pantalons vont s’y étaler. Chaque vêtement sera scruté sous ce grand critère: est-il propre à être porté?
"Force est de constater qu’à ce premier tri, nous avons de plus en plus de vêtements souillés", regrette Marianne Cotillard, directrice d’ABI 06, chantier d’insertion spécialisé dans l’activité de collecte, tri et réemploi des textiles dans les Alpes-Maritimes.
Dans l’atelier de 1.000m² situé à Contes, les dons récoltés dans les 207 bornes du département sont traités. Un processus permettant de sélectionner les vêtements et accessoires de qualité qui seront mis en vente dans les cinq boutiques (rue Mimont à Cannes, Spitaliéri, Gorbella, Auguste-Gal et St-Augustin à Nice) de la structure.
"Moins de vêtements d’enfants qu’avant"
Le reste? "L’écrémage, comme nous l’appelons, part dans le circuit de recycleurs. Ce qui est impropre va à la déchetterie." Une logistique qui, depuis plusieurs mois, se retrouve impactée par une nouvelle réalité, insidieuse, mais présente: l’impact des plateformes de vente de prêt-à-porter de seconde main entre particuliers.
Parmi les 23 millions de Français inscrits sur la plateforme Vinted, on trouve Lucie V. Plusieurs fois par semaine, l’esthéticienne se rend à son relais-colis.
"Avant de chercher mon fils à l’école ou à ma pause déjeuner, je m’en occupe", indique cette Niçoise, qui garde boîtes à chaussures et cartons pour y vider son armoire et celle de son petit.
"C’est surtout sur les vêtements d’enfants qu’on perçoit cette tendance, on en a beaucoup moins qu’avant", relève Marianne Cotillard, au milieu d’une partie des 1.100 tonnes qui transitent chaque année chez ABI 06.
"Si tu ne le portes plus, vends-le": le fameux slogan du géant de la fripe en ligne semble avoir été suivi à la lettre.
Leader sur Vinted
Créé en 2008 à Vilnius (Lituanie), ce site de vente de seconde main entre particuliers axé sur le prêt-à-porter connaît un véritable essor depuis sept ans.
Avec une croissance de plus de 60% en un an (245 millions d’euros de chiffre d’affaires), l’entreprise s’est clairement imposée comme numéro un du secteur en France. La clé de ce succès? Un service 100% gratuit pour les vendeurs.
Ce sont les clients qui paient la note: en achetant (après parfois moult négociations) un article, ils assument une commission de 5% du prix du produit et 70 centimes à ajouter. Pour une chemise blanche Zara proposée à 8 euros, il faudra donc s’acquitter de 9,10 euros.
"En ce contexte d’inflation, on ne peut pas jeter la pierre aux gens", reconnaît Christiane Roussel, présidente d’Emmaüs 06, qui constate aussi la disparition des marques dans les sacs qui lui parviennent: "Et encore, nous bénéficions d’un contexte local favorable sur la Côte d’Azur. Dans d’autres antennes Emmaüs de France, cette perte est terrible."
"La moyenne gamme a disparu"
Malgré cette baisse qualitative, le volume des dons demeure stable chez les différentes associations caritatives du département. "C’est juste qu’aujourd’hui, il y a le pire et le meilleur.
On reçoit aussi bien des vêtements propres et pliés que des choses qui ne peuvent qu’être jetées", souligne François Chantrait, porte-parole des Restos du Cœur 06, qui doit composer avec ce grand écart.
"Nous n’avons plus de moyenne gamme", annonce Jean Stellitano, secrétaire général du Secours Populaire des Alpes-Maritimes qui explique l’effet de surprise: "On ne s’est pas rendu compte immédiatement de ce manque parce que nous avons reçu une vague de dons post-Covid. Mais depuis un an, c’est flagrant."
Exit Zara, Celio, Promod et compagnie. Des étiquettes que l’on retrouve à foison sur Vinted. Parce que du choix, il y en a. Le vide-dressing en ligne donne aussi bien dans la fast fashion (Shein, Topshop, Primark…) que dans le haut de gamme (Dior, Balenciaga, Prada) - quand certaines plateformes, comme Vestiaire Collective, se spécialisent dans le luxe. Bref: le public visé est large, et c’est pour cela que ça cartonne.
Mais si ça fait les affaires de la licorne (expression pour désigner une start-up valorisée à plus d’un milliard de dollars) et des utilisateurs, le circuit de la générosité trinque.
"On recycle plus"
"Plus de 25% de nos recettes sont assurées par la vente de vêtements. On recycle davantage, ce n’est pas bon pour l’équilibre de nos budgets", alerte le représentant du Secours Populaire 06, qui rappelle que les équipes distribuent également gratuitement des habits aux sans-abri.
"C’est un réel problème pour les personnes qui n’ont d’autre choix que de s’habiller chez nous", déplore Marianne Cotillard d’ABI 06, qui doit penser aux conséquences de ces nouvelles habitudes sur le long terme: "Chez nous, ce sont des emplois d’insertion. Certes nous sommes une structure à but non lucratif, mais nous avons des frais fixes et 60% de notre budget à dégager nous-mêmes. Pour que notre modèle perdure, il faut explorer de nouvelles pistes pour ne pas rester dépendants des règles du marché."
Rester "vigilant"
Basé à Saint-André-de-la-Roche et Mouans-Sartoux, Emmaüs 06 reste "vigilant" face à ce phénomène déjà connu: "On a déjà vu certains produits quasiment s’évanouir. Comme la technologie, l’informatique ou encore les petits meubles en bon état bien pratiques."
Là aussi, le contrecoup des sites en ligne, mais aussi de nouvelles filières de reconditionnement ou de recyclage interne. Sans citer une célèbre marque de vêtements, Marianne Cotillard, d’ABI 06, indique: "On peut ramener en magasin ce qu’on y a acheté il y a plusieurs années. C’est une manne qui ne passera jamais par nous."
Le mélanome est un type de cancer de la peau qui peut ressembler à un grain de beauté. Certaines caractéristiques, de taille, de forme ou de couleur, permettent de discriminer l’un de l’autre
La règle ABCDE
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A pour asymétrie
Forme non symétrique, ni ronde ni ovale
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B pour bords irréguliers
Contours mal délimités, flous et difficiles à dessiner
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C pour couleur non uniforme
Présence de plusieurs couleurs (brun, noir, rose, bleuté, violet…)
D pour diamètre important
Supérieur à 6 mm
E pour évolution
Changement de taille, de couleur, d’aspect, de forme et/ou d’épaisseur
La règle du « vilain petit canard »
Encore plus facile à retenir, cette règle consiste à se dire que, le plus souvent, chez une personne donnée, tous les grains de beauté se ressemblent. On se méfiera donc du « vilain petit canard », celui qui ne ressemble pas aux autres, et on le montrera à un médecin.
Compenser ses rejets de gaz à effet de serre en créant des forêts : les entreprises abusent de cette promesse, qui figure en bonne place dans leurs engagements environnementaux et leur permet d’afficher une image vertueuse. En réalité, c’est au mieux largement insuffisant pour absorber tout le carbone émis. Et souvent, ces plantations s’avèrent même contre-productives. Explications.
Quelle quantité de carbone est stockée ? Un seul arbre stocke entre 20 et 30 kg de CO2 en moyenne chaque année, mais extrapoler cette production à l’échelle d’une forêt est délicat. Les spécialistes eux-mêmes ne savent pas le chiffre précis. Méfiez-vous donc d’une entreprise qui prétend à un « net zéro » grâce à des arbres. En effet, calculer le stock de carbone d’une forêt est un défi mésestimé – et périlleux : il implique de répertorier les plants jusque dans les zones les plus reculées, de la jungle équatoriale au Grand Nord sibérien ! Plusieurs milliers d’espèces s’y côtoient, de tailles, diamètres, longévité, densité et vitesse de croissance différents.
De nouvelles surfaces boisées sont-elles réellement créées ? Derrière le terme « reforestation » se cache souvent un autre scénario, celui de la « déforestation évitée », désignant des surfaces sauvées du déboisement. A priori, l’idée semble vertueuse : mieux vaut ne pas couper qu’essayer de réparer les dégâts. Mais les entreprises survalorisent leur action en la comparant à un scénario hypothétique, exagérément pessimiste, de déforestation d’ampleur si rien n’était fait… De plus, ces forêts sauvées ne le sont qu’en un lieu déterminé. Trop souvent, le défrichage évité à un endroit sera réalisé un peu plus loin.
De quelles forêts parle-t-on ? Là aussi, les promesses sont floues. La plupart des projets, en France comme à l’étranger, concernent des monocultures d’espèces à croissance rapide, et non des forêts naturelles. Ces plantations, destinées à être exploitées, se soldent par la coupe des arbres au bout de quelques années (7 ans pour des acacias, 20 ans pour des pins, etc.). Ainsi, les 40 000 hectares promis par TotalEnergies en RDC sont des acacias ; quand Michelin évoque 88 000 hectares de plantations, il s’agit d’hévéas, fort utiles pour fournir le caoutchouc des pneus de l’équipementier… Or, ce type de projets est très loin de fournir la même richesse qu’une forêt naturelle en termes de biodiversité, de réserve d’eau, etc. Au contraire, menés de façon intensive, ils sont source d’épuisement du sol et de pollution de l’eau par les pesticides et les engrais. Patrice Martin, technicien forestier à l’ONF et secrétaire général du syndicat Snupfen (Syndicat national unifié des personnels des forêts et de l’espace naturel), critique l’industrialisation croissante de la sylviculture, en France comme ailleurs dans le monde. Plutôt que des coupes rases, il prône de maintenir une « futaie irrégulière en couvert continu », mélange d’espèces et d’âges différents. Le hic : sa gestion est plus exigeante.
Un stockage pour combien de temps ? Tant qu’ils sont implantés, les arbres jouent leur rôle de puits de carbone. Une fois coupés, tout dépend de leur devenir : le bois d’œuvre, utilisé pour des charpentes, des parquets, des meubles, etc., continue à stocker le carbone. C’est nettement moins vrai pour le bois transformé en pâte à papier, plus éphémère. Quant au bois énergie, brûlé pour du chauffage ou de la cuisson, tout son carbone est immédiatement relargué dans l’atmosphère. Mais même les forêts pérennes ne sont plus garantes d’être des puits de carbone à long terme, car le réchauffement climatique fait peser des risques croissants d’incendies et de maladies – les mégafeux qui ont brûlé tout l’été au Canada l’illustrent tragiquement.
Qu’y avait-il avant ? Si les arbres remplacent une zone artificialisée ou désertique, le gain est évident. Mais si une forêt naturelle a été rasée pour être remplacée par une plantation, le bilan est catastrophique. « Il faut alors au moins 50 à 100 ans, voire davantage, pour que le bilan en termes de carbone redevienne positif, car ce sont les vieux arbres qui captent le plus de carbone », explique Patrice Martin. Et ce, sans même tenir compte des services écosystémiques disparus : biodiversité, protection contre l’érosion et la pollution, cycle de l’eau, etc.
À qui appartiennent les terres ? Trop souvent, les pays en développement sont confrontés au même scénario d’accaparement des terres : de grandes plantations s’implantent aux dépens des populations locales, expulsées de ces terrains. Méfiance donc concernant les grands projets en Afrique, en Asie ou en Amérique latine, surtout s’ils sont aux mains d’entreprises privées ou d’États.
Pour compenser quoi, au juste ? Alain Karsenty, économiste au Cirad (Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement), rappelle que « le CO2 est très stable ». Une fois dans l’atmosphère, il y reste. Pas 100 ans, comme on l’entend souvent dire, mais des milliers d’années. La seule façon de l’en extraire, c’est de le capter dans des puits de carbone (lire l’encadré « Définitions »). Mais les arbres poussent lentement, et stockent des quantités dérisoires de carbone les premières années, voire décennies. Or, les émissions de GES censées être compensées sont déjà présentes dans l’atmosphère, et de nouveaux rejets s’y accumulent de jour en jour. Pour être cohérentes, les entreprises devraient donc renouveler sans cesse leurs engagements, alors qu’elles se contentent en général de recycler un seul et même projet pendant des années.
Est-ce utile ? À voir… « Certains projets ne sont pas mauvais, mais d’autres sont inutiles, voire contre-productifs, à l’instar des plantations à croissance rapide (eucalyptus, acacia, pin) suivies d’une coupe rase, estime Alain Karsenty. Le consommateur peut-il s’y retrouver ? Non ! L’arbre est une image évocatrice, et le message est facile à faire passer : en reforestant, les entreprises compenseraient leurs émissions de GES, ce qui les autoriserait à continuer leurs activités, y compris les plus polluantes… L’effet le plus pervers de ces annonces ? Elles donnent bonne conscience à bon compte au consommateur, le poussant à continuer à acheter sans rien changer. » Les émissions de GES, elles, augmentent, pour atteindre désormais près de 60 milliards de tonnes annuelles – la déforestation y contribuant pour 12 %…
« Dire qu’on sauvera la planète en plantant des arbres est un leurre », affirme Patrice Martin. Pour lui comme pour la plupart des défenseurs de l’environnement, « on n’a pas le temps d’attendre que les arbres poussent ». Avant tout, nous devons réduire nos émissions de GES et préserver les écosystèmes existants – forêts naturelles, mangroves, tourbières, savanes, dont plus de 7 millions d’hectares disparaissent chaque année. Ensuite seulement, replanter, mais judicieusement.
L'association "Traces de Vies" a pour objet de développer l’accompagnement des personnes en fin de vie, personnes âgées ou atteintes de maladies, enfants en soins palliatifs ou gravement malades, dans différentes structures telles que les unités de soins palliatifs, les unités d’oncologie-hématologie pédiatriques ou adultes, les maisons de retraites, les centres de longs séjours, les EHPAD, l'accompagnement à domicile ou toute autre structure d'accueil.
Découvert par article nice matin https://www.nicematin.com/a/881352?t=1698770930
2023 sera certainement l'année la plus chaude de l'histoire selon l'institut européen Copernicus. Alors France Bleu Azur développe ce sujet avec le président de l'association Stand Up For The Planet.
Adoptez les bons réflexes pour allonger la durée de vie des objets. Partagez, louez, achetez d'occasion, réparez, donnez..
"Nous devons anticiper ce qui va se passer": coacher des familles pour économiser l’eau - Nice-Matin
Un programme de sensibilisation sur les économies d’eau à destination des foyers. Avec le SMIAGE (Syndicat mixte pour les inondations, l’aménagement et la gestion de l’eau maralpin) et grâce à un financement de l’Agence de l’eau. C’est le nouvel objectif de Méditerranée 2.000.
Un objectif qui cadre totalement avec les engagements de l’association: depuis sa création, il y a 34 ans, Méditerranée 2.000s’investit auprès de ses publics à promouvoir le respect de l’environnement et s’impliquer dans une écocitoyenneté active. Les premiers ateliers ont commencé au début de l’été.
20.800 formés
En attendant, l’association a fait le bilan de ses actions. Ses indicateurs sont édifiants: 20.800 jeunes et adultes formés au cours de l’année 2022 sur des thématiques telles que les déchets (pour 43%); le milieu marin (14%), l’énergie (12%), l’agriculture, l’alimentation (12%), l’eau et les risques majeurs (6%). Son territoire ne cesse de s’agrandir: les agglomérations de Cannes, Grasse, les communes du pays des Paillons, Alpes d’Azur, la métropole.
Enfin un rapport d’activités foisonnant: impossible que vous n’ayez jamais entendu parler de Nettoyons la nature, Objectif zéro déchets, Cannes champêtre, Posbemed, Watty et aussi ces campagnes Inf’eau mer.
Bref, Méditerranée 2.000 continue de faire partie de nos territoires et de s’y rendre utile. Sa petite équipe de dix animateurs est toujours aussi dévouée et connectée à nos réalités.
"Nous devons anticiper ce qui va se passer"
"On ne lit plus notre objet social aujourd’hui comme on le lisait il y a 35 ans ou même il y a 20 ans. On voit bien qu’aujourd’hui nos collectivités sont, au fond, contraintes, à faire comme l’État, un effort considérable dans le domaine qui relève de notre objet social. Un effort pas seulement considérable mais prioritaire... Nous devons anticiper ce qui va se passer dans les prochaines années dans la mesure où ces sujets sont prioritaires. (...) On va nous demander de faire plus en quantité et en niveau de compétences. (..) Il y a 35 ans, faire de l’environnement faisait bien dans le décor. (...)Il faut donc qu’on change de catégorie et qu’on monte…" a exposé le président Pierre Chassaing.
L’association va donc renouveler une bonne partie de son conseil d’administration et engager son projet associatif Cap 2030. Un projet pour lequel elle veut faire évoluer ses actions. Le coaching des familles en fait partie.
Actualités La Fédération 20.07.23 La mare possède un formidable écosystème à découvrir ! Partez à la découverte de ce monde fascinant et apprenez à reconnaître ses différents habitants avec notre […]
Découvert par podcast "De cause à effets" juin 2023
Le programme 1000 cafés souhaite contribuer à redynamiser les communes de moins de 3500 habitants en rouvrant des commerces de proximité sous forme de cafés
Pourquoi on en parle?
En 1960, la France comptait 500 000 cafés. En 2023, on n’en recense plus que 38 800, décompte le Sénat dans les motifs d’une proposition de loi sur les “Lieux de convivialité en milieu rural” déposée en mars dernier.
Sept communes sur dix sont dépourvues de cafés, pourtant lieux essentiels de socialisation et de discussions.
"La fermeture massive des Cafés, Hôtels, Restaurants (CHR) est visible sur tout le territoire, mais surtout en ruralité", constate encore l’Institution.
Une absence créant une réelle difficulté pour les communes là où 90% des Français considèrent que la présence d’un café, hôtel, restaurant contribue à la vie économique et au lien social, à la capacité d'une commune à garder ses habitants, à l'attractivité touristique, à l'installation d'autres commerces, et à la création d'emplois (IFOP, 2018).
Oui mais comment tenir, notamment dans les petites communes qui peinent à rendre attractif un métier exigeant et soumis à toujours plus de contraintes? C’est pour y répondre justement que le groupe SOS accompagne les communes dans la mise en place de troquets. Un travail qui doit se faire également main dans la main avec les habitants.
Depuis plusieurs mois, Maé Coffre s’active à Saint-Pons, situé dans les Alpes-de-Hautes-Provence. C’est là, dans ce petit village de quelque 700 habitants, que la jeune femme travaille à l’ouverture d’un nouveau café, destiné à redynamiser le village et créer du lien social. Une démarche soutenue par l’association "1000 cafés", mise en place en 2019 et qui a, depuis, permis l’ouverture de quelque 200 cafés sur tout le territoire.
Objectif : désenclaver les territoires ruraux et permettre aux gens qui y vivent de trouver un endroit proposant des services mais aussi où échanger.
Cafés multiservices
Responsable de l’accompagnement en PACA et en Auvergne-Rhône-Alpes, Maé Coffre épaule notamment la mairie du village dans cette démarche.
Mais pas seulement. "Il est central que les habitants adhèrent aussi au projet."
Pour ce faire, ces derniers sont invités à répondre à un questionnaire au début de la démarche, afin d’esquisser, en quelque sorte, les contours de leur café idéal.
"A Saint-Pons par exemple, qui est près de Barcelonnette, on a décidé de se concentrer sur la création d’un lieu convivial pour les touristes, d’un coin épicerie au cœur du café qui permettrait aux gens d’avoir des services en plus."
Un vrai défi dans une ruralité française où le maintien de services de proximité relève toujours plus du casse-tête.
"Ce ne sont pas seulement des cafés bars qu’on ouvre, poursuit encore Maé Coffre. Ce sont des cafés multiservices avec dans l’idée de créer du flux, du passage, des dépôts de relais de colis ou de pain, par exemple."
Viabilité économique
Outre la consultation des habitants, concernant leurs attentes et leurs besoins, l’association "1000 cafés" scrute attentivement le cadre économique et les candidatures.
"Est-ce que ça va être viable? Comment accueillir le nouveau gérant, peut-on lui offrir un logement? Nous nous posons beaucoup de questions", explique Maé Coffre.
Plusieurs paramètres participent au succès de l’entreprise : le choix du lieu, sa fréquentation, la surface nécessaire à la réalisation du projet.
"Chaque commune a ses exigences, poursuit Maé Coffre. Certaines auront déjà les locaux réhabilités, d’autres doivent faire des travaux, d’autres, encore, doivent trouver un espace…"
Un accompagnement est prévu, aussi, pour l’aménagement des lieux, l’obtention de la licence 4, autorisant la vente de boissons alcoolisées et permettant d’obtenir des subventions.
Un investissement de taille au niveau financier pour les communes qui n’hésitent pas, parfois, à débourser des centaines de milliers d’euros.
Besoins des habitants
Une fois que le projet est bien avancé, l’association s’occupe du recrutement des gérants.
Des fiches de poste qui correspondent au projet sont diffusées sur Internet via le Bon Coin ou encore Pôle Emploi.
"On cherche des personnes qui ont de l’expérience dans l’hôtellerie restauration", explique Maé Coffre qui souligne la difficulté que peut représenter une telle prise de poste. Des horaires longs, des attentes fortes des habitants "qui ne comprennent pas que le lieu ne puisse être ouvert 7 jours sur 7".
Pour recruter au plus près des besoins, des entretiens sont menés, des rencontres avec l’équipe municipale aussi.
"Ce qui est important, c’est qu’on les accompagne aussi après l’ouverture du café, poursuit Maé Coffre. On fait des points assez réguliers entre le gérant et la gérante, on regarde quelles activités fonctionnent bien, quel service déployer et on les conseille sur les animations à mettre en place dans le café."
Travailler les relations
L’installation d’un café dans un village peut susciter des remous.
"Dans un village de l’Allier, se souvient Maé Coffre, un projet n’a pu aboutir faute d’entente avec l’opposition."
Les critères de sélection des candidats ont été affinés.
"Les personnes qui n’ont pas énormément d’expérience peuvent se laisser dépasser et arriver à un stade d’épuisement, constatent les membres de l’association. Gérer un café demande aussi de sérieuses compétences techniques, comme la comptabilité. Mais aussi des qualités humaines."
Pour préparer la population, l’association communique aussi sur les difficultés que peut rencontrer un gérant de café rural.
"Ces métiers doivent être revalorisés."
Créer un réseau
Prochainement, l’association compte créer un réseau pour valoriser le partage d’idées relatives à la gestion des cafés. Dans l’optique de créer du lien au-delà des villages.
Les gérants, qui bénéficient d’une formation de deux semaines, gardent généralement contact avec les autres participants. Ils sont encouragés à cultiver l’entraide, d’un village à l’autre.
Un réseau d’élus devrait également voir le jour, afin de leur permettre de partager les difficultés rencontrées.
Pour aller plus loin et joindre l'association "1000 cafés", vous pouvez vous rendre sur leur site https://www.1000cafes.org/
Résines Esterel Azur est un Chantier d'insertion, structure de l'Insertion par l'Activité Économique. Autrement dit, les bâches du festival de Cannes, on va les recycler, même les "upcycler" pour en faire des trousses. C'est écolo, €co et valorisé.
Pour l'ouverture du 76e Festival de Cannes, c'est tout un branle-bas de combat qui s'organise, ne serait-ce que pour l'installation des grandes bâches, affiches officielles du Festival. Si cette année Catherine Deneuve orne l'affiche, une fois terminé, le Festival peut simplement jeter les bâches… Ou bien les upcycler !
Résines Esterel Azur pour "upcycler" les Festival de Cannes
Dans le quartier de La Bocca, à Cannes, Résines Esterel Azur donne un second souffle aux affiches du Festival de Cannes. D'affiches du Festival, elles deviennent sacs, pochettes et paniers qui sont fabriqués et vendus sur place par des personnes en insertion professionnelle. Si le tout est fabriqué dans les ateliers par ces personnes en réinsertion professionnelle, les objets fabriqués à partir de ces bâches sont à retrouver dans la boutique Résines Estérel Azur, rue Saint-Vincent-de-Paul à Cannes-La-Bocca.
Résines Esterel Azur, c'est une association avant toute chose. Du 100 % Made in Cannes puisque l'atelier se trouve non loin de la boutique/point de vente. L'association accompagne des personnes en recherche d'emploi et qui le sont depuis longtemps. L'objectif n'est pas de les introduire dans le milieu de la maroquinerie ou de la mode, mais simplement de leur donner une activité intuitive, intéressante le temps pour eux de retrouver un emploi dans lequel ils retrouveront confiance.
Les pesticides sont des poisons qui détruisent tout ce qui est vivant. Ils sont dans l’eau de pluie, dans la rosée du matin, dans le nectar des fleurs
Renseignements: 07.83.15.17.72., coquelicots.mouans@outlook.fr
Découvert par article
https://www.nicematin.com/vie-locale/mouans-les-coquelicots-oui-les-megabassines-non-844029
Vos repas à emporter dans une boîte en verre consignée, c'est possible grâce à vous et ça se passe sur la Côte d’Azur ! ;) - Réservez vite en ligne - Billetterie sécurisée dédiée aux événements associatifs
Menton et alentours
Nom: A.D.E Méditerranée.
Les principales actions: préservation de la biodiversité et des écosystèmes de la mer Méditerranée. L'action s'appuie sur la création d'Aires-Marines-Éducatives pour permettre aux élèves de CM1, CM2 et jusqu’à la 3e de s’approprier et de gérer de manière participative une portion de littoral. Création de sentiers subaquatiques, pour sensibiliser populations et touristes à la préservation, création du pôle corail, études de la posidonie des espèces endémiques…
Tous les profils de bénévoles sont les bienvenus. Parents, étudiants, retraités...
Contact: ademediterranee@gmail.com
Site internet
Nom: Aspona.Association pour la sauvegarde de la nature et des sites de Roquebrune Cap Martin, Menton et environs.
Actions: œuvrer pour la sauvegarde des paysages, des milieux naturels et marins de Menton, Roquebrune et les environs. Combat contre l'artificialisation du trait de côte.
Contact: info@aspona.org
Site internet
Villefranche-sur-Mer, Saint-Jean Cap Ferrat, Beaulieu
Nom: Anao l’aventure sous marine.
Action: Nettoyage sous l'eau, de Nice à Cap d’Ail. Les bénévoles remontent des déchets immergés dont l’inventaire est explicite : pneus, plastiques, bouteilles, caddie de supermarché, batteries, câbles, chaises, drones, cordages, sacs, matériaux de chantier, barrières, emballages…
Contact: e.duliere@orange.fr
Site internet
Nom: Bleu Gorgone
Action: Préservation du milieu aquatique méditerranéen. De Nice à Villefranche- sur-mer, nettoyage des plages, sous l'eau en plongée bouteille, ramassage de déchets de tous type, tri,, recyclage… Opérations de sensibilisation.
Contact: asso.bleugorgone@gmail.com
Site internet
Nice, Cagnes-sur-mer
Nom: Agirrr
Action: Ramassage hebdomadaire de déchets et sensibilisation sur les plages, à Nice sous le nom de Nice Plogging, à Cagnes sur Mer sous le nom de Cagnes Plogging.
Contact: Tél. 09.50.50.57.30.
contact@agirrr.fr
Site internet
Nom: Project rescue Océan
Action: Sur la plage et sous l'eau, ils invitent les bénévoles à ramasser les déchets.
Contact: arnaudlivet66@gmail.com
Page facebook
Nom: Handi Plogging
Action: Nettoyage des déchets sur la plage, dans la nature, sensibilisation. A Nice, Vence, Cagnes-sur-mer,Cannes.
Page facebook
Antibes-Vallauris Golfe Juan
Nom: Les promeneurs utiles
Action: Nettoyage, chaque week-end, des déchets sur les plages et le long des rivières à Vallauris et Golfe-Juan.
Contact: lespromeneursutiles@gmail.com
Nom: Les Fonds Bleus 06
Action: Tous les mardis, ils plongent pour nettoyer les fonds marins à Antibes Juans-les-Pins.
Site internet
Nom: Project rescue Océan
Action: Sur la plage et sous l'eau, ils invitent les bénévoles à ramasser les déchets.
Contact: antibespro@gmail.com
Page facebook
Cannes
Nom: NaturDive
Action: étudier, préserver, restaurer et protéger l’environnement marin de l'Esterel à Monaco. Les actions se déclinent en plusieurs volets (aires marines éducatives), protection de la Posidonie, retrait de filets fantômes, sciences participatives, etc... .
Contact: contact@naturdive.com
Site internet
Sur tout le littoral
Nom: Surfrider Fondation
Action: Nettoyage des déchets sur les plages et le long des rivières. Sensibilisation du grand public et des décideurs sur les enjeux et impacts du changement climatique.
Contact: med@surfrider.eu
antenne06@surfrider.eu
Tél. 06.98.23.16.06